La Terre pourrait être confrontée à une mini-période glaciaire à partir de 2030 en raison de changements dans les cycles d’activité du soleil, estiment des scientifiques dans une étude publiée par la Royal Astronomical Society et relayée par plusieurs médias britanniques.
D’après ces scientifiques, l’activité solaire diminuera de 60% entre 2030 et 2040, entraînant une "mini-période glaciaire" similaire à celle qui avait touché la planète entre 1645 et 1715. Lors de cette période, appelée le petit âge glaciaire, les hivers étaient particulièrement rigoureux et les étés très courts en Europe et en Amérique du Nord.
Le nouveau modèle scientifique est calculé d’après l’effet dynamo de deux couches de matière composant le soleil. « Nous avons trouvé que deux vagues magnétiques ont pour origine deux différentes couches de matière à l’intérieur du soleil. Elles ont toutes deux une fréquence d’environ onze années, même si elles sont légèrement différentes et sont parfois décalées. Au cours du cycle, les vagues fluctuent entre les hémisphères nord et sud du soleil. En combinant les effets des vagues et en les comparant avec les données réelles du cycle actuel du soleil, nos prévisions montrent une exactitude de 97% », affirme le professeur Valentina Zharkova, qui a présenté ses conclusions lors d’un meeting d’astronomie à Llandudno, au Pays de Galles.

 
		
			 
		
			 
	






 
	 
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		  	 Officiellement, peu importe que le Soleil soit en forme ou pas. Pour le GIEC, les variations d’activité n’ont qu’un rôle très marginal. De fait, elles sont en soi trop peu intenses pour peser suffisamment, mais l’idée d’un phénomène amplificateur via les nuages, pourtant intéressante et argumentée, est balayée d’un revers de la main. Pour une question de cohérence, les chercheurs dans le giron du GIEC se sont ingéniés à faire passer le Petit âge glaciaire, pendant lequel l’activité solaire était franchement basse, pour un phénomène régional et non mondial, strictement européen (faux).
 Officiellement, peu importe que le Soleil soit en forme ou pas. Pour le GIEC, les variations d’activité n’ont qu’un rôle très marginal. De fait, elles sont en soi trop peu intenses pour peser suffisamment, mais l’idée d’un phénomène amplificateur via les nuages, pourtant intéressante et argumentée, est balayée d’un revers de la main. Pour une question de cohérence, les chercheurs dans le giron du GIEC se sont ingéniés à faire passer le Petit âge glaciaire, pendant lequel l’activité solaire était franchement basse, pour un phénomène régional et non mondial, strictement européen (faux).