C’est avec sa voix de grand-mère que l’animatrice mollassonne de France Cucul – Sonia Kronlund – nous (re)fait la retape du Système en démontant les « complots » sans les démonter, en affirmant juste que les complotistes sont soit idiots soit dangereux, et que parmi eux, certains croient que « la Terre est plate et il y a des gens vivent à l’intérieur ». L’émission s’appelle pompeusement Les Pieds sur terre, mais pas la plate, hein. Nous on croit dur comme fer qu’il y a des collabos à Radio France, et c’est pas du complot.
La vioque, qui fait croire que l’émission ne commente pas mais « tente d’écouter sans analyser, de comprendre sans commentaire, d’ouvrir une petite fenêtre sur ce réel qui nous échappe ou qui nous parvient toujours formaté », s’appuie sur « l’étude » sur le complotisme réalisée fin 2019 par l’IFOP et le voleur de patates Reichstadt. On a téléchargé ce tissu de mensonges d’une oligarchie en panique devant la montée de l’info horizontale, et Belliot a raison de pourfendre tout le réseau tentaculaire du fonds Marianne, ce détournement manifeste de l’objet originel, la lutte en ligne contre le djihadisme, pour refiler du fric aux officines de la Kommandantur qui s’attaque aux résistants d’aujourd’hui.
Kronlund : « En effet, 43 % des sondés sont d’accord avec l’idée que, je cite, le ministère de la Santé serait de mèche avec l’industrie pharmaceutique pour cacher au grand public la réalité sur la nocivité des vaccins. »
Passons sur le coup de la Terre plate, la « théorie » grotesque mise en avant par les larbins du Système pour décrédibiliser les théories valides sur les grands événements préparés par l’oligarchie mondialiste et ses déclinaisons nationales : pandémie du trio Gates-OMS-Big Pharma, terrorisme israélo-américain, trucage des élections importantes, 11 Septembre et compagnie.
Au lieu d’analyser sérieusement les interprétations non officielles sur les grands événements, la Kronlund préfère interroger des enfants de complotistes, un véritable parti pris. En plus ils balancent leurs parents !
Et après on s’étonne que les enfants deviennent sauvages à l’école, avec une telle propagande ? Justement, à ce propos, un titre du Monde nous a fait sursauter, sans nous surprendre :
Les jeunes cons, ça existe (Choron avait raison)
Comprendre que les enseignants, qui sont devenus à leur corps défendant (ou pas) des propagandistes d’un Système pourri et violent, se prennent maintenant les mômes dans la gueule. Et là on ne parle pas uniquement de l’assassinat glauquissime du pauvre Samuel Paty, qui a été lâché par l’ÉducNat et qui avait pour seule défense un marteau dans son sac, mais de la déglingue allant dans le sens de l’ultralibéralisme de l’école publique, avec sa violence intrinsèque, ses incivilités, l’effondrement de l’autorité et tous les wagons branlants du train de Mai 68.
La Kronlund se fonde sur trois témoignages (!) de rejetons qui ont souffert du complotisme de leurs parents. On se retient de rire, dans la classe R&R. À quand une cellule psychologique de décomplotisation chez Conspire Watch, qui pourra ainsi pomper plus de fric aux Français ? Où est passée Schiappa ? Macron l’a coulée dans le béton de ses mensonges ?
Moralité : quand on ment aux gosses, ils deviennent bêtes et méchants.
L’émission malhonnête est ici (cliquez pour écouter)
Extraits de l’article (payant) du Monde
Le rapport annuel d’activité de la médiatrice de l’Éducation nationale et de l’enseignement supérieur offre une photographie des maux qui parcourent cette institution, à travers l’analyse des saisines que son réseau de 87 médiateurs reçoit. Dans cette nouvelle édition, portant sur l’année 2023, baptisée « Faire alliance, redonner confiance » et publiée mercredi 17 juillet, Catherine Becchetti-Bizot s’inquiète d’une « dégradation de la relation entre l’école et les familles » et de « l’agressivité montante » dont les personnels font l’objet, « phénomène que l’usage des réseaux sociaux contribue fortement à amplifier ». […]
La médiatrice souligne le rôle particulier des « éducations à… » – la sexualité, la citoyenneté, aux médias… Ces enseignements transversaux, qui font sortir les enseignants de leur discipline stricto sensu et pour lesquels la pression des parents est plus palpable, sont « à l’origine d’un sentiment croissant d’insécurité ou d’incompétence chez de nombreux professeurs ». La médiatrice de l’éducation nationale propose de renforcer la formation initiale et continue des enseignants sur ce point.
Notre conclusion : les responsables de l’Éducation nationale n’ont rien compris. En conséquence, d’autres Samuel Paty sont malheureusement à prévoir.