Vous êtes presque dans le vrai, ce qui fait que vous pensez faux, il faudrait un développement philosophique spirituel. Les terrasses, c’était vrai, c’est faux aujourd’hui, les terrasses, c’était un deux trois petits verres, la clope, les blagues de cul, de la politique, et le monde se faisait des amis, des copains, aujourd’hui et c’est mon métier, pour une majorité bien sûr, c’est deux trois copines avec un café, un soft drink a raconter les malheurs de la vie. Des mecs qui sont des enfants sages, un peu comme ce que vous dégagez !? Il n’y a pas longtemps, c’était un autre monde, aujourd’hui la terrasse fait partie du monde. C’est simple, regardez un terrasse blindée ? Rien, c’est des homos economicus. La culture gastronomique française, c’est du transformé, c’est de la biologie, quand soral prends son entrecôte frite béarnaise, il prend une viande bien grasse avec une sauce beurre jaune d’oeuf, des frites à l’huile, jamais on devrait se poser la question ??? Il doit juste être en accord avec son esprit. Les vieux qui restent de la France des jours heureux, si des gamins, de la famille, les relous stressés, disent " manges pas ça, c’est pas bon pour...,tu dois faire attention à...tu bois beaucoup...etcetc " .Ils répondent " fais moi pas chiez, il faut bien crever de quelque chose, occupe toi de ton cul " .les autres subissent et attrape le mal être de l’autre. La véritable habitude des français que le monde entier nous enviait, c’était " c’est la vie " ,en Chine, aux États-Unis, au Danemark, " c’est la vie " la France était vraiment un exemple de vivre, de santé, du on s’en fout, c’est la vie. Aujourd’hui, une partie du peuple s’est transformé en " c’est la merde " . La réalité, c’est que c’est une balance de son esprit et de son corps, mais pas en apprenant, un tout, avec dès le départ avec la vie que l’on vous donne pour bien commencer, et j’ai remarqué que c’est plus facile pour ceux qui n’ont pas été des gâtés extrêmes, le stress détruit tout ce qui devrait être bon, la maladie mentale du siècle. Une autre habitude qui devrait être dans la liste, être cochon dans la pensée exprimée, aujourd’hui, les gens sont moins cochon quand ils parlent, ce qui veut dire que c’est intérieure, hypocrite, une frustration grandissante, une peur du jugement. Tout fait partie de notre destruction.
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