Si le prince Charles, nouveau roi d’Angleterre depuis ce 8 septembre 2022, est devenu un bien-pensant de compétition (mais cela a peut-être un rapport avec ses petits écarts sexuels), il est issu d’une famille qui n’a pas toujours été ultrasioniste. Qu’on en juge par ce sujet révélé par un tabloïd, cette presse dite poubelle qui remonte parfois de drôles de poissons...
Français anti-Rosbifs, attention : la vidéo est en anglais non sous-titrée en français !
La future reine était petite, à cet âge, on ne sait pas ce qu’on fait. On fait comme les grands ! N’oublions pas que la famille royale, à cette époque, a du sang allemand. La noblesse européenne, c’est aussi un mélange de sangs bleus et c’est comme ça qu’on fonde une oligarchie européenne (avant, on disait une dynastie).
La preuve avec Wikipédia :
La maison de Saxe-Cobourg et Gotha (en anglais : House of Saxe-Coburg and Gotha), dynastie britannique devenue la branche aînée issue de la précédente avec Albert (1819-1861), prince consort du Royaume-Uni, et qui règne sur le pays depuis 1901 (sous le nom de maison Windsor depuis 1917) et sur la Saxe-Cobourg et Gotha de 1893 à 1918...
Et n’oublions pas la maison de Hanovre :
La maison de Hanovre est une dynastie royale allemande qui a régné sur le duché de Brunswick-Lunebourg (en allemand Braunschweig-Lüneburg), le royaume de Hanovre, le royaume de Grande-Bretagne, puis du Royaume-Uni. Elle succède à la maison Stuart sur le trône britannique en 1714 et s’y maintient jusqu’à la mort de Victoria en 1901. Elle est parfois appelée maison de Brunswick-Lüneburg.
Décidément, ces Allemands étaient partout !
Ce n’est donc pas pour rien que Hitler a cherché à pactiser avec les Anglais avant que le consortium anglo-américain sous influence ne décide de lui faire la peau. Edouard VII, le roi d’Angleterre, ne cachait pas ses sympathies pour le dirigeant allemand. Gala dévoile un pan de cette histoire royale... très politique.
Le 10 décembre 1936, le roi Edward VIII annonce son abdication, plongeant la monarchie britannique dans une grave crise dont elle a failli ne jamais se relever. Tous les regards se tournent alors vers sa fiancée : la sulfureuse divorcée américaine Wallis Simpson. Celle qui aurait envouté le roi au point de lui faire perdre son trône. S’il veut l’épouser, insiste le gouvernement britannique, Edward VIII doit renoncer à sa couronne et en quelques mois à peine sa décision est prise. Entre la patrie et l’amour, son choix est vite fait. Mais, était-elle la vraie et seule raison de son abdication ? […]
Pourtant, le 12 mai 1937, son petit frère Albert devient le roi George VI à sa place et sa nièce la princesse Elizabeth est désormais héritière au trône d’Angleterre. Les deux divorces et le passé un brin scabreux de Mrs Simpson ont sans doute pesé contre elle dans la balance. Mais, d’après plusieurs historiens, ce sont plutôt les rumeurs d’une ancienne liaison amoureuse qu’elle aurait eu avec le nazi notoire, Joseph von Ribbentrop, ancien ambassadeur de l’Allemagne au Royaume-Uni, qui ont fait trembler les services secrets britanniques. Au point où lorsque le roi George V, le père d’Edward, meurt en janvier 1936, le patron de la MI5 ordonne que Edward et sa nouvelle compagne soient mis sur écoute. Une précaution qui s’avéra fort utile par la suite. […]
Loin de dissimuler leurs liens étroits avec Berlin, en 1937, Wallis Simpson et Edward VIII vont jusqu’à prendre le thé avec Hitler dans sa résidence en Bavière. Le duc de Windsor décrira plus tard le dictateur comme « un type pas méchant ». Par la même occasion, ils dîneront avec plusieurs membres importants du parti nazi, dont Hermann Göring, Albert Speer ou encore Joseph Goebbels. Le couple est convié à faire la visite d’un camp de concentration. Un détail qui étonne bien qu’en 1937, la vraie raison de l’existence de ces camps demeure encore un secret. Durant la visite, les tours de garde sont désignés comme des entrepôts à viande.
Lors de l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler, le prince Edward était parmi les premiers à saluer ses efforts pour relancer l’économie allemande, écrasée par le traité de Versailles. De plus, dans les années 1930, l’antisémitisme est monnaie courante en Europe et ronge de l’intérieur les différents partis politiques au Royaume-Uni. Alors qu’ils sont désormais exclus des cercles fermés de la bonne société britannique, le duc et la duchesse de Windsor sont accueillis par les dirigeants nazis, comme un roi et une reine, lors de leur séjour en Allemagne. Un voyage qui dure près de dix jours et prend des airs de tournée officielle. Une marque d’honneur qui ne manque pas de rassurer l’ego du couple vilipendé partout ailleurs.
- Wallis Simpson, Edward VIII en visite chez Adolf Hitler en 1937
Un hommage du vice au vice
Stéphane Bern nous dira si Charles nIII a des sympathies néonazies, mais en attendant, à part son divorce avec la pauvre Diana, il fait attention à tout ce qu’il dit, cherchant à s’aligner sur l’idéologie mondialiste. Il a même comparé Poutine à Hitler. Connaissant le sang très mêlé des Windsor, faut-il considérer ça comme un hommage ?
On écoute Paris Match :
En 2014, en déplacement à Halifax, au Canada, pour visiter un musée dédié à l’immigration, le prince Charles avait déclaré à propos de l’attitude russe en Ukraine que Vladimir Poutine faisait « exactement la même chose qu’Hitler. »
Une phrase lâchée au détour d’une conversation privée avec Marienne Ferguson, 78 ans, une rescapée de la Shoah qui s’entretenait avec le visiteur royal. Cette dernière venait alors de confier au prince Charles les circonstances dans lesquelles elle avait fui l’invasion nazie en Pologne à l’âge de 13 ans, et perdu plusieurs membres de sa famille dans les camps de la mort. Le prince aurait alors confié : « Et maintenant, Poutine est en train de faire exactement la même chose qu’Hitler », en référence à l’annexion de la Crimée.
- T’as rasé ta moustache, Vlad ?
On signale, en passant, comme ça, hein, que Charles est le frère d’Andrew, qui a été le grand copain d’Epstein, le prédocriminel juif américain international. Ceci explique peut-être cela... Et que Charles avait des liens très étroits avec le pédocriminel de la BBC Jimmy Savile, auteur de centaines de viols sur des mineurs.
Dans le nouveau documentaire Netflix « Jimmy Savile : A British Horror Story », on apprend que le prince Charles a entretenu une relation étroite avec le pédophile Jimmy Savile. Le présentateur de télévision était connu à la base pour son apparence colorée et sa personnalité tout aussi excentrique, mais aujourd’hui on se souvient surtout de lui pour les atrocités dont il a été accusé. L’homme a été reconnu coupable de pédophilie et de viols sur enfants. Au total, 214 cas d’abus commis par Savile ont été signalés à la police. La plus jeune victime avait huit ans... (7sur7.be)