Un projet de rupture conventionnelle collective est en négociation depuis lundi entre les syndicats et la direction du groupe audiovisuel, qui ne prévoit aucun licenciement.
France Télévisions veut aboutir à la suppression de 1 000 postes d’ici à la fin de l’année 2022 dans le cadre de son projet de rupture conventionnelle collective, sur lequel la direction et les syndicats ont commencé à négocier, lundi 14 janvier, d’après un document interne consulté par l’AFP.
« Les départs se feront uniquement sur la base du volontariat », confirme ce document, qui précise que « le nombre maximum d’ETP [emplois en équivalent temps plein] supprimés est de 1 000 ». Ce chiffre, qui correspond au solde entre les départs et les recrutements qui interviendront durant la période, a été confirmé par le SNJ (Syndicat national des journalistes) de France Télévisions dans un communiqué – le même chiffre avait été révélé, un peu plus tôt dans la journée, par Les Echos.