Pour le premier tour de la primaire de la droite, ce dimanche 20 novembre, les sondages se sont trompés lourdement. Comme lors du vote en faveur du Brexit, comme lors de l’élection de Trump...
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Dans les sondages publiés en novembre, François Fillon naviguait entre 17 % et 30 % : il explose finalement à 44,1 % des suffrages. Sarkozy devait réunir entre 26 % et 31 % des voix ? Il atteint péniblement 20,6 %. Pas plus de précision pour Alain Juppé, qui devait réaliser entre 29 % et 39 %, et fait 28,6 %.
Evidemment, aucun institut n’avait prévu l’ordre d’arrivée des candidats, à l’exception d’Ipsos qui a placé le 18 novembre François Fillon en tête... avec seulement 1 % d’avance sur Alain Juppé et Nicolas Sarkozy. Soit dans la marge d’erreur.
Même les petits candidats réalisent des scores inattendus : Nathalie Kosciusko-Morizet passe devant Bruno Le Maire, avec 2,6 % contre 2,4 %. À en croire les derniers sondages, le député de l’Eure aurait pourtant dû faire entre 5 % et 9 %...
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