La lumière est (peut-être) au bout du tunnel. Les derniers indicateurs de l’épidémie semblent esquisser une décrue de la vague hivernale de Covid-19. La situation à l’hôpital pourrait être finalement moins grave qu’annoncé initialement. Pour le Dr Stéphane Gayet, médecin infectiologue et hygiéniste, c’est l’immunité naturelle engendrée par le variant Omicron, et non les mesures gouvernementales, qui permet d’envisager une sortie de crise.
Probablement, en 2022, cette épidémie va s’atténuer de façon très intense c’est-à-dire pour atteindre un plancher et il est possible ensuite qu’on ait des petites vaguelettes, des petites reprises épidémiques, mais sans comparaison avec ce qu’on a connu avec la première et la deuxième vague. Et c’est effectivement ce à quoi il faudrait s’attendre, à moins que des effets secondaires des vaccins à ARNm – parce qu’il y a énormément de gens qui les ont reçus – nous réservent des surprises, parce que ces vaccins à ARNm perturbent l’immunité, l’immunisation, et il est possible que ça nous réserve de mauvaises surprises. Mais à part cette éventualité défavorable, on devrait s’attendre à ce que cette épidémie régresse d’une façon importante et prolongée au cours de cette année.
Maintenant que l’industrie a empoché des milliards, que le nombre de bénéficiaires de tout ce théâtre sanitaire a explosé – le nombre de milliardaires étant devenu indécent et leur fortune s’étant envolée – et qu’une bonne partie de la population mondiale est numérisée et détentrice d’un pass électronique, on peut effectivement imaginer, en particulier devant la grogne populaire qui monte, que le système va relâcher un peu la bride.
Jusqu’à la prochaine saison d’une série sans fin si l’on ne s’y oppose pas, selon l’adage qui rappelle que le pouvoir ne s’arrête que lorsqu’il trouve une limite.