De la même façon que les réseaux sionistes ont organisé un désordre physique et médiatique autour des spectacles de Dieudonné, afin d’en faire un trouble à l’ordre public, le parti démocrate, lié aux puissances médiatiques et financières du pouvoir profond, organisent le désordre en Amérique pour déclarer que Trump en est responsable.
La question est : le peuple américain, qui ne se limite pas à l’extrême gauche, aux antifas et aux troupes de Soros, suivra-t-il les consignes des ingénieurs sociaux ou osera-t-il encore une fois braver la pensée dominante en votant Trump ?
Vous le saurez dans 100 jours.
Austin, Louisville, New-York, Los Angeles. Partout aux États-Unis, les manifestants se sont réunis ce week-end pour défiler contre le racisme et le déploiement d’agents fédéraux ordonnés par Donald Trump. Des rassemblements qui ont tourné à l’affrontement avec la police dans plusieurs villes du pays. Les forces de l’ordre ont eu recours aux grenades éblouissantes, au gaz lacrymogène et au gaz au poivre.
Les manifestations contre le racisme et la brutalité policière – déclenchées par la mort à Minneapolis de l’Afro-Américain George Floyd – surviennent alors que le président Donald Trump fait face à une bataille de plus en plus difficile pour sa réélection et mène campagne sous le thème « la loi et l’ordre ».
Nombreuses interpellations
Les manifestants ont défilé à Austin, dans le Texas, comme à Louisville dans le Kentucky, à New York, Omaha, Oakland et Los Angeles en Californie, ainsi qu’à Richmond en Virginie, où la police antiémeute aurait lancé des agents chimiques sur une marche du mouvement Black Lives Matter, selon des médias américains.
À Seattle, dans l’État de Washington (nord-ouest), la nuit de samedi à dimanche a été particulièrement mouvementée. Le bruit des détonations a résonné dans certaines rues, et de la fumée s’élevait d’un secteur où des manifestants ont mis le feu à des remorques sur un site de construction d’un centre de détention pour mineurs, selon un journaliste de l’AFP sur place.
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Dans de nombreuses vidéos publiées sur les réseaux sociaux, on voit ces agents, en tenue paramilitaire et sans badge visible d’identification, utiliser des véhicules banalisés pour interpeller des manifestants, attisant les braises de la contestation. Une enquête officielle a été ouverte jeudi par le ministère de la Justice sur l’action très controversée de policiers fédéraux sur place.
Incident à Louisville
Le président Trump, qui fait notamment campagne pour être réélu en novembre sur le rétablissement de « l’ordre », a aussi annoncé mercredi renforcer les effectifs des agents fédéraux à Chicago et d’autres villes après une résurgence de la criminalité et des fusillades.
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Dans cette ville [Louisville], des militants noirs du groupe NFAC, lourdement armés, ont protesté contre la mort de Breonna Taylor, une femme noire tuée par la police en mars dans son appartement. Mais la police était déployée pour éviter tout accrochage avec des contre-manifestants blancs d’un groupe conservateur, également armés.
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