Il y a des rapprochements fertiles ! Cette semaine, sur YouTube, deux vidéos d’actu font un carton : celle d’Alain Soral dans la deuxième mouture du Couillonavirus, intitulée « SAPTR – Couillonavirus, la suite ! », et celle de Vincent Lindon, qui a pris sa plus belle plume (de nègre) pour s’en prendre au Président Macron, qui serait responsable du bordel actuel.

Quand on connaît les qualités réelles d’écriture du « fils de » et du « petit-fils de », pourtant issu de grandes familles de l’édition et de la bagnole, on peut se poser des questions sur cette coïncidence :

« Vincent Lindon est le fils de Laurent Lindon, dirigeant de la firme Audioline, et le petit-fils de Raymond Lindon, magistrat et maire d’Étretat entre 1929 et 1959 ainsi que le neveu de Jérôme Lindon, patron des éditions de Minuit. Il est par ailleurs l’arrière-petit-fils de Fernande Citroën, sœur aînée d’André Citroën et épouse d’Alfred Lindon (né Abner Lindenbaum) un joaillier et collectionneur d’art moderne originaire de Cracovie. Sa mère, Alix Dufaure, journaliste de mode à Marie Claire, descend de Jules Dufaure et du maréchal Exelmans. Alors qu’il a cinq ans, sa mère divorce pour épouser le journaliste Pierre Bénichou. Un séisme pour lui, à l’origine de ses tics. [...]

Après des études au lycée Victor-Duruy, il obtient son baccalauréat C. Il s’inscrit alors en prépa Sup de Co. Comme il s’en lasse au bout de 22 jours, sa mère lui trouve en 1979 un stage d’aide costumier sur le tournage du film “Mon oncle d’Amérique” d’Alain Resnais où il s’occupe notamment de Gérard Depardieu. [...]De retour à Paris, son beau-père Pierre Bénichou lui trouve un autre petit job : branche-micro sur les tournées de l’humoriste Coluche en 198110. Il est également coursier au journal Le Matin de Paris avant d’entrer au Cours Florent. » (Wikipédia)

Vincent Lindon débute au cinéma en 1983 dans Le Faucon de Paul Boujenah.

Son grand-père, Raymond Lindon, est magistrat et maire d’Étretat de 1929 à 1959. Il participe à la création de l’État d’Israël.

Sa cousine Rachel Lindon est membre du Bureau exécutif de la LICRA.

C’est ainsi qu’on devient comédien, quand on est de la haute : il suffit de demander, le piston fonctionne de partout, inutile de s’emmerder à manger de la vache enragée comme les pauvres. Depuis, Vincent a fait du chemin, il a trouvé sa place dans le cinéma français, celle de l’antihéros au grand cœur et à la larme facile.
Côté vie civile, c’est un grand consommateur de pouliches, qui s’est occupé de la fille Chirac et de l’époustouflante Sandrine Kiberlain, l’actrice qui pleure quand elle évoque sa famille polonaise qui a survécu à la Shoah. Bref, on est bien dans la grande famille du cinéma communautaire, et les fées sionistes ont accompagné la carrière du grand séducteur, accessoirement copain de Patrick Bruel.

Côté politique, ou plutôt lobby, Vincent est discret mais le site du CRIF ne peut pas se retenir de faire la liste de ses soutiens de poids du show-biz, et du pouvoir profond, bien entendu :

« Le lundi 2 février 2009, à l’occasion de la fête de Tou-Bichvat 5769 le Keren Kayemeth LeIsraël ou “fonds pour l’existence d’Israël” a organisé son grand dîner de Gala sous le parrainage de l’acteur Vincent Lindon au profit de la “Maison des Enfants” de Kyriat Yeaarim. Ariel Goldmann, vice-président du CRIF, a représenté l’institution au dîner annuel du KKL. [...]

De nombreux participants ont assisté a ce dîner, parmi lesquels le Grand Rabbin de France, Gilles Bernheim, dont c’était la première sortie officielle depuis son investiture, David Kornbluth Ambassadeur d’Israël près l’Unesco, Samy Ravel Ministre plénipotentiaire de l’ambassade d’Israël, le Professeur Arnold Munich, Conseiller auprès du Président de la République, Vincent Lindon et l’acteur Tomer Sisley. La soirée a été marquée par l’intervention de Mina Goldwasser, de la famille d’Ehud Goldwasser, le soldat israélien assassiné par le Hezbollah. Dans son discours le Président du KKL a salué la présence du CRIF à ce dîner auquel participait également Raoul Ghozlan, membre du Bureau exécutif de l’institution. Interrogé par la newsletter du CRIF, Ariel Goldmann témoigne : “ce dîner a été particulièrement émouvant, notamment lorsque nous avons entendu le témoignage de Vincent Lindon, retraçant l’œuvre de son grand-père Raymond Lindon. Par ailleurs, le témoignage de Mina Goldwasser a été bouleversant”. »

Finalement, que ce soit au boulot ou dans le civil, Vincent fait dans le bouleversant. Après cette longue parenthèse siono-biographique, on comprend mieux l’étrange sortie politique de celui qui auparavant appelait à voter Bayrou, pas vraiment un révolutionnaire, donc.
Voici maintenant l’appel de Vincent Lindon, à qui personne n’avait rien demandé, mais dont la voix, portée par Mediapart et ses journalistes anti-pouvoir visible mais pro-pouvoir profond, a créé le buzz avec plus de deux millions de vues en 48 heures :

La simultanéité des deux vidéos, dont l’une est volontairement sous-estimée par YouTube et l’autre promue comme jamais par toute la planète mainstream, est peut-être une coïncidence.

Mais quand on s’intéresse à la politique, et plus particulièrement à la politique profonde, on découvre souvent qu’il y a plus d’ingénierie que de hasard, et que l’ingénierie réussie est celle qui se fait passer pour du hasard, ou de la coïncidence. Au moment où l’on parle de l’éviction possible du couple Kohler-Philippe, collé aux intérêts du pouvoir profond (un peu plus que Macron, dirons-nous), le Président se prend une charge violente de la part d’un acteur populaire...

Il est clair que l’épisode de terrorisme sanitaire qui touche le peuple français a été assimilé à une organisation composée de membres du Big Pharma, du pouvoir visible et du pouvoir profond. Le peuple français, dans sa grande naïveté et dans sa grande sagesse, a retenu des informations assez simples et les a amalgamées : le couple Lévy-Buzyn, le directeur de la Santé Jérôme Salomon, le directeur général de l’AP-HP Martin Hirsch, et toute la pléiade des agents ou relais médiatiques qui ont tiré dans le même sens, celui de la répression, de la culpabilisation et de la punition du peuple français.
Que ceux qui ont des yeux et des oreilles...

L’émission « Soral a (presque toujours) raison – Couillonavirus, la suite ! » est entièrement disponible gratuitement (durée : 1h37) !

La version longue non censurée de cette vidéo est disponible en VoD (vidéo à la demande), c’est-à-dire accessible en paiement direct par carte bleue (à partir de 3 euros).

Rappel : les abonnés au financement participatif d’Alain Soral à partir de 20€/mois ont directement accès à cette version longue non censurée.

 00:35 - Introduction

 03:31 - D’où vient finalement ce virus ?

 06:03 - Virus naturel ou de synthèse ?

 13:16 - La réaction du nouveau pouvoir chinois

 17:17 - C’est quoi le Covid-19 ?

 21:39 - Covid-19 et SIDA

 33:52 - SIDA, Covid-19 : du préservatif au confinement

 39:09 - Ni masques ni chloroquine : l’épidémie comme volonté gouvernementale

 43:35 - Big Pharma : du serment d’Hippocrate au business du médicament

 47:29 - Du médicament au poison : le scandale de l’OxyContin

 50:07 - Bill Gates : quand le danger n’est pas le virus mais le vaccin !

 01h03:21 - La Chine de Xi Jinping ou le nouveau méchant

 01h10:30 - Effondrement économique occidental : la Chine devra payer ?

 01h15:05 - L’empire chinois rétif à la Shoah

 01h17:50 - Synthèse 1 — France : la dictature macronienne par la pandémie

 01h23:22 - Synthèse 2 — États-Unis : empêcher la réélection de Trump

 01h31:35 - Synthèse 3 — Russie : Poutine toujours aux commandes

 01h33:22 - Conclusion — De défaite en défaite jusqu’à la victoire !

Version Dailymotion en deux parties :

La version longue (1h57) de cette vidéo est enrichie de trois chapitres :

 Covid-19 et 5G

 Le projet Blue Beam

 Logos grec & logos chrétien

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