Soros n’est rien sans son mentor karl Popper l’inventeur de la société ouverte, un pseudo philosophe touche à tout et bon à rien arriviste ( sa bio est un régal), un prince du pilpoul qui dans sa "théorie de la connaissance" nous explique que la théorie doit précéder l’expérience et contredit totalement sa thèse "dans la société ouverte et ses ennemis" en attaquant trois ennemis, comme par hasard, trois piliers de la philosophie européenne Platon, Hegel et Marx pour nous dire qu’en histoire tout est possible, pensons printemps, il n’y a aucun sens à l’histoire, aucune logique, elle se construit au jour le jour, en tâtonnant.
Pour Platon ,ce qu’il lui reproche c’est que dans son système politique le collectif l’emporte sur l’individu,( et oui c’est un libéral le Popper) par contre sa philosophie de l’élite, des meilleurs, ne le dérange pas.
Pour Hegel et Marx c’est plus simple, il combat leur philosophie de l’histoire (sans les avoir vraiment lus, simplement en prétendant que l’histoire n’est pas une science donc incapable de prévoir l’avenir (par contre c’est une groupie du Nobel d’économie Hayek un prince de la "science" économique (libérale, bien sûr, celle qui prévoit les crises ?)
Ce monsieur étant fervent partisan de la démocratie mais pas dans son sens étymologique puisqu’il rejette avec horreur la démocratie directe et la proportionnelle. je vous le dis : ce type était une synthèse (un genre de BHL)
le lien physique entre Soros et Popper étant la London School of Economics excroissance de la Fabian Society, une sorte d’ENA britannique qui collectionne les prix Nobel d’économie
Répondre à ce message