E&R | Août 2017 |111 | Sociologie |
Le problème est très simple : en pays occidental « avancé », tout est fait pour que les hommes – la définition arrive – disparaissent, non pas au profit des femmes, parce qu’il faut des géniteurs pour assurer la survie de l’humanité, mais au profit d’un nouvel homme. Cet homme nouveau, on le sait, et on le voit chaque jour, s’est vu retirer une à une toutes ses prérogatives masculines, à l’image de la (...)
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J’ai 27 ans et de ma vie, je n’ai jamais entendu des femmes dirent que leur fantasme est de se faire violer !!! Ça me dépasse complètement... Je constate aussi que ces femmes - d’une autre époque - ne prenaient pas soin d’elles. Aujourd’hui, les femmes sont beaucoup plus coquettes.
Et l’autre qui nous raconte avoir eu des expériences sexuelles avec des homosexuels pour mieux comprendre le besoin des hommes au niveau sexuel => une vraie débile qui raconte n’importe quoi !
Toi t’as pas tout saisi.
Réécoute.
D’autre part elles sont à la mode de l’époque : années 80. Soit très moche. Tu juges à l’aune de la mode de ton époque. Aujourd’hui, piercing, tatouages et épilation intégrale, bonjour la coquetterie...
Enfin, t’es une fille. Moi un mec, et le fantasme de viol (sous une forme camouflée (fessée et insultes) ou moins camouflée) est une réalité. Mais un fantasme n’est pas le réel ! Fantasmer être violée ce n’est pas souhaiter l’être. Faut comprendre ce qui est dit avant de parler.
Je crois que tu es un peu dépassée, effectivement.
Bien dit Clara !
C’est comme si on disait que le fantasme des hommes serait de violer une nana..
Tout va bien !
Et en effet, elles sont assez moches, entre la tracy Chapman du pauvre et la clementine autain du clochard, nous avons le choix.
Bah à 27 ans on est encore loin d’avoir tout vu et entendu ...
Les femmes sont redoutables dans leur sexualité , elles sont bien plus puissantes que les hommes et c’est pas parce qu’elles sont discrètes sur le sujet en société que dans le privé ce sont des saintes nitouches !
Moi non plus à 27 ans je ne le savais pas et puis la vie et ses rencontres m’en ont bien appris et fait redescendre de ma bulle angéliste , particulièrement de la part des bourgeoises insoupçonnables et tant mieux car quel panard , elles m’ont tout appris :-)))
Sur la mocheté de l’époque ou coquetterie actuelle c’est quand même bien exagéré , ta mère était moche par ex ?
Les instagrameuses actuelles , je les trouve bien moches aujourd’hui même si bien foutues , tout dans l’artificiel et le paraitre , le néant de l’intelligence et la vulgarité comme armes de séduction ? warrffff !!!
Je ne vois pas pourquoi : " rappel des fondamentaux " , de quels fondamentaux parlez vous ? De ceux de petites bourgeoises des années 80 ? Les fondamentaux n’ont ils pas changé aujourd’hui ?’Et les hommes n’ont ils pas de fantasmes ? C’est quoi ces fondamentaux ?
Les fondamentaux c’est de se rapeller que les femmes aiment les hommes dur en haut et en bas, cultivés, mais aussi avec un membre performant.
Et aussi de rapeller que beaucoup de femmes sont des éternelles adolescentes manipulatrices.
Je ne parle pas des femmes et des hommes en particulier, mais du concept de la femme et de l’homme,concept qu’à repris à son compte un conférencier you tuber (Stéphane Edward), mais qui nous vient de l’écrivain Otto Weininger,auteur édité chez Kontre Kulture je crois.
Le fantasme de viol ou de groupe évoqué est en fait un désir d’être désirée à tel point que l’homme se transforme en non-homme. L’amour avec une bête, devenir saoule après 10 orgasmes en 15 minutes...
C’est le rêve inavoué des féménazies hystériques que de se faire prendre par 10 mecs bien membrés d’un coup, elles seraient ENFIN désirées, prises par des animaux, "ils me veulent tellement qu’ils me violent, hourra !". Alors que non, c’est juste un fantasme (plus un rêve même) cocotte, finir au fond d’une cave du 93 pour voir et on verra ce le résultat.
C’est aussi un peu comme le cocufiage en Jamaïque, la femme blanche bourgeoise veut se faire troncher par 30cm et le mari qui accepte de regarder veut en fait voir SA salope à l’oeuvre.
C’est naturel car chacun peut-être frustré, avoir "envie" de faire l’amour, de décharger cette énergie, ce besoin de se reproduire, saletés d’hormones qui nous jouent des tours. Mais le porno est vraiment un fléau qui dérègle nos comportements, transforment les hommes qui en consomment trop en larves homosexuelles et les femmes en "antiracistes" ultra-hypergame (si le mec c’est pas The Rock et qu’il en a pas une de 20cm mini il vaut rien). Je comprend Bush junior quand il voulait interdire le porno interracial...
On peut aussi parler du fantasme des hommes, par exemple Conversano quand il dit fantasmer de faire une fellation de temps en temps, quoique, il devrait arrêter le porno pour arrêter de penser ça peut-être enfin pas sûr qu’il ai franchi le pas. Ou comme Soral qui a eu des relations homo et qui dit "fallait vraiment penser fort à une femme pour réussir à jouir".
C’est pour ça que quand une personne (publique ou non) avoue ou revendique son homosexualité je le prends comme une agression, tout simplement car qu’est-ce que j’en ai à faire de ta sexualité ? garde ça pour toi et va dans un bar gay pour pécho point barre. Ca doit rester privé. Et ne parlons pas des genres qui ne sont que des préférences sexuelles, ou maladies mentales pour certains.
Pour rajouter à mon propos :
Je vois beaucoup de commentaires contradictoires, beaucoup d’écart dans les opinions, très bien, parfait mais rappelez-vous le succès de 50 shades of Grey....chez les femmes. Voilà un fondamental...
N’est-ce pas l’histoire d’une femme qui aime être possédée ? Alors pas violée certes mais faire l’amour en se soumettant aux désirs d’un homme, même si ça peut-être parfois ne pas être doux et glorifiant ? Dire non, puis oui, puis connaître l’extase avec un homme, un vrai, enfin. J’ai pas lu le livre mais c’est ça non ?
Alors dire que c’est années 80, à cause de 68, que ces femmes ne sont pas belles alors que la jeune catho est magnifique par exemple, c’est ce moquer du monde. Et ceux qui partent dans une analyse psychanalytique aiment bien se relire, notre temps évolue alors les millénaires de sédentarité avec son Français inauthentique...ils peuvent aller vivre en Mongolie ou dans le Sahara avec les Touaregs si ça leur chante.
C’est la relation perdue avec Dieu depuis 1789 qui nous a façonné tels que nous sommes, il faut faire avec et blâmer ces ********* d’adorateurs du Soleil Noir. Comprendre faux-Juifs, pédo-satanistes adorateurs de Mamon, de Seth et autres Dieux noirs et cruels, les mondialistes sionistes actuels en général quoi. Nous sommes dans le dernier âge de leur Monde, le Kali-Yuga, l’âge de Fer, encore un peu de patience, les tables vont bientôt se retourner.
Tout cela vaut essentiellement pour l’Occident et pour tout ce qui est rappelé ci-dessus quant à la société du désir et du spectacle. Si vous abordez les rapports d’un point de vue tantrique avec celui de la retenue (et donc de la maîtrise), vous n’entendrez plus rien à cela et vos « saleté d’hormones » comme vous le dites, n’auront plus d’emprise sur vous. Ni même le sexe... féminin. C’est en cela, dominer la situation.
Pour ma part, le cheminement initial fut imprégné et guidé par "The Impossible Dream (The Quest)" qui emplissait mes oreilles, mon esprit et l’âme de ses « sens », ainsi que par "If" de Rudyard Kipling qui déroulait ses mots sous mes yeux au quotidien : vint se rajouter à ses deux-là, l’écrivain Eça de Queiroz, apportant cette citation reprise par Compay Segundo : « Pour réussir sa vie, un homme doit faire un enfant, écrire un livre et planter un arbre. »
Fort de ces enseignements aboutis, le reste étant dérisoire, je me suis laissé aller aux aphorismes de Vātsyāyana et il s’avère qu’il n’est pas meilleur fantasme pour soi que d’assouvir ceux des femmes : car le voici sans cesse renouvelé par l’alter-pluralité. À la différence près qu’il convient de les amener ailleurs que l’endroit où elle désirent se rendre et où elles souhaitent vous emmener, à la manière de Bel-Ami (de Guy de Maupassant) quant aux signifiants et aux signifiés. La cerise sur le gâteau étant de dédaigner les faciles pour encenser les revêches, de négliger les jolies de l’extérieur pour transcender les belles de l’intérieur et de toutes les avoir à portée de main, in fine.
Comme par ailleurs certaines de mes activités permettent de graviter autour de ces papillons qui ne demandent que la lumière à coucher sur papier glacé au préalable , voilà qui en fait trop pour un seul homme et offre une sélection draconienne. Et qui permet de faire tout le contraire de ce qui est attendu ou autorisé* : par le bon sens populaire, par la bien-pensance et autres police des mœurs.
Et rémunéré, par dessus le marché ; si ce n’est récompensé...
Quand Saint Exupéry conseillait de faire de sa vie un rêve et d’un rêve une réalité, il ne parlait pas de la cave du 93, hein ?
* C’est en cela que je ne comprends pas la propension des hommes riches ou de pouvoir à partir en cacahuète et d’en forcer la gente féminine pour obtenir leurs faveurs, quand un simple déclic suffit : sauf à l’expliquer par une déviance mentale et la volonté d’annihiler ou d’asservir l’autre.
@Sedetiam : Votre prose me transporte d’horreur. Qu’est-ce que c’est que ce baragouin New Age, sirupeux, nébuleux, utopiste et confus, tout droit sorti de la ZAD de Woodstock ?
"il n’est pas meilleur fantasme pour soi que d’assouvir ceux des femmes " : Cette attitude réceptive et oblative fait de vous une femelle au plan psychologique. Vous demandez aux femmes de lister leurs fantasmes avant d’entreprendre ?
"l’alter-pluralité" : Une traduction en VF serait appréciée. Ce galimatias est un concept ?
"il convient de les amener ailleurs que l’endroit où elles désirent se rendre" : Ah, bon. Moi qui croyais que votre but était de répondre à leurs attentes.
’’à la manière de Bel-Ami (de Guy de Maupassant)" : En mode crevard de bellâtre parasite et opportuniste, donc. Ça donne envie.
"encenser les revêches" : Vous tombez à pic, Amber Heard a du temps à tuer, en ce moment.
"négliger les jolies de l’extérieur pour transcender les belles de l’intérieur" : La beauté plastique d’un visage est incompatible avec la bonté du cœur ? Ce stéréotype est passé de mode.
"toutes les avoir à portée de main, in fine" : Ceci ne contredit-il pas votre projet d’en négliger certaines ?
Sauf votre respect, pour tenir un amphigouri aussi halluciné, vous devez être sexuellement à jeûn depuis au moins le début de la pandémie.
@ ProtégeonslaPalestine,
Vous avez négligé la notion de signifiant et signifié, la seule que je considère valable chez Bel-Ami pour la transposer ailleurs : le reste, je vous l’accorde, c’est de la daube ; cependant c’est vous qui avez amalgamé mon propos disséqué à la totalité de bouquin. Ainsi, le compliment « Le pantalon que vous portez vous sied à merveille » équivaut à « Vous avez un beau cul », sauf qu’il est préférable de ne pas le dire, surtout si l’on ne connait pas la taille du pantalon et s’il est à une jambe. Voilà ce que cela voulait dire.
Pour le reste et en restant sur votre seule entreprise (dont on se fout sauf si l’on a entre 20 et 30 ans et que l’on n’a pas - encore - de gosses) l’immense majorité des nénettes se foutent bien plus de l’acte sexuel en lui-même que de se l’imaginer : surtout lorsqu’elles ont eu ou ont encore leur mouflets et que vous n’êtes plus celui dont elle s’occupait au préalable, comme un mère coiffée d’une amante pour vous figer dans sa toile, au sens du film qu’elle s’est mise en tête à votre égard.
Dans le reportage, l’une s’imaginait même emportée par les mots : il y a un peu de cela.
Pour ce qui me concerne l’acte sexuel seul demeure dérisoire dans la vaste étendue des possibilités. Être invité par une belette à réaliser ses fantasmes, c’est déjà l’avoir baisée et si vous le réalisez en totalité, vous dégagez : de fait, car c’est la fin du rêve. Pour l’alter-pluralité, vous offrirez un terme qui vous convient au fait de s’acoquiner avec plusieurs cerveaux différents du votre pour écrire les cheminements oniriques à mettre en œuvre, tant sur ce sujet particulier un seul cerveau - masculin - même très imaginatif, à vite fait le tour : celui des femmes en revanche... Alors plusieurs et chacun avec son histoire particulière.
Par ailleurs, si vous aviez lu correctement, vous auriez noté que j’écris que : « Si vous abordez les rapports d’un point de vue tantrique avec celui de la retenue (et donc de la maîtrise)... », on se tamponne d’être à jeun sexuellement (au sens d’arriver à ses fins, toutes simples), puisque ce n’est pas le but recherché. Je laisse même cela à ceux qui en ont besoin. Lesquels n’embarquent aucune des miennes, qui sont parfois les leurs. Sans qu’ils soient pour autant cocus, au bon sens populaire du terme.
C’est dire si la pénétration des belettes ne se fait pas toujours par où l’on croit.
Plus loin, vous chercherez combien de maris ont leur femme à portée de main tout en la dédaignant.
Un fantasme réalisé, n’est plus un fantasme
Pour le viol, c’est l’imaginaire bestial qui parle , être traitée comme un objet sexuel
Mais une femme qui se fait réellement violée, c’est autre chose
Là on parle de fantasmes
Et un fantasme n’est appréciable, que si c’est un fantasme
Il faut éviter de les réaliser, ça ne peut qu’aller crescendo, et c’est ainsi qu’on se retrouve avec des double, triple voir quadruple pénétration, des bras dans l’cul, des gang-bang avec des taureaux, ou des chaussures coincées dans le rectum
Le fantasme, doit rester un fantasme, et rester personnel (uniquement pour soi)
Réaliser ses fantasme, ça donne la société actuelle
Ce qui me marque le plus finalement, c’est :
d’un côté la parole finalement libérée de ces femmes il y a 40 ans
et de l’autre, la baisse de niveau intellectuel sur cette même période écoulée... Impressionnant, comme l’expression de notre français s’est considérablement appauvri !
Faut distinguer viol et désir de se faire dominer par un inconnu, se faire souiller et humilier contre son plein gré, et consentir à se faire prendre virilement par un inconnu.
Les femmes interviewées dans cet extrait n’ont aucune idée de la réalité du viol ! Un viol, c’est violent ! la femme refuse, se débat, se démène pour échapper à son agresseur ; l’homme est obligé de la neutraliser brutalement, de la menacer avec une arme ou encore de la cogner pour la maintenir immobile afin de la pénétrer. C’est violent physiquement et psychologiquement. D’une certaine manière ces femmes érotisent et romantisent le viol, elles ont une vision « bovaresque » de la chose en évacuant le caractère traumatique et toutes les séquelles que cela induit. Aucune femme ne ressort indemne d’un viol.
De plus, le désir de viol est un non-sens puisque par définition, le viol c’est l’absence de consentement. Ainsi consentir à ce que l’on ne consent apparait comme une absurdité totale. Le viol consenti est une contradiction en soi.
La nuance réside donc dans le fait que certaines désirent se faire violenter, et non violer. Et cela porte un nom : le masochisme. Ce qui reste assez rare, et relève de la pathologie mentale. Désirer la douleur et la souffrance comme fin en soi est une aberration eu égard à l’instinct de conservation.
M’étonnerait fortement que leur fantasme ressemble au viol de Monica Bellucci dans le film Irréversible de Gaspard Noé.
en tout cas , cette série d’ interview -même si elle est cadrée : la libération sexuelle de la femme classe moyenne- est très charmante , et les aimant avec courtoisie aussi, je suis sensible aux propos de chacune..
Janice (la noire) est particulièrement réaliste et marrante , lorsqu’ elle dit "la femme est assez maso , elle aime bien se prendre une bonne trempe de temps en temps" c’ est vraiment drôle..
et ça m’ évoque une scène quotidienne de la basse-cour , ou l’ on voit les poules s’ affairer à leurs tâches -plus ou moins désuètes- avec perfectionnisme , et vas-y que je désherbe , gratte , pond , couve , picore et papote , le tout avec grâce et expertise.. lorsque tout à coup sans prévenir , le coq qui traîne sa superbe inutilité , saute sur l’ arrière de la bourgeoise la maintien en lui tirant les cheveux , et la bourre violemment !
le plus drôle étant l’ après , lorsque la poule , légèrement étourdie , réajuste ses plumes en râlant un peu , elle clampine sur quelque mètres et puis reprend fièrement son train train.. c’ était parfaitement inutile (car la poule n’ a besion d’ être fécondée qu’ une fois , ensuite elle fait ses oeufs sans nouvel apport) mais on voit que ça lui a fait du bien au moral !
Petit retour d’expérience :
J’ai mon meilleur ami, qui est passé par une phase utopique de rêves gauchistes, en clair il a fini à la ZAD de notre Dames des Landes.
Donc j’y suis allé pendant au moins 2 à 3 semaines.Me connaissant très bien , mon ami m’avait interdit d’aller discuter avec les féministes, qui fessaient la loi là bas, car il me disait que je finirai attaché à un arbre comme un méchant macho (c’est arrivé à certain qui se sont fâchés avec elles).
Bref tout cela pour dire que TOUTES ces féministes ultra, une fois la nuit tombée, savaient très bien où allez chercher un sexe bien dur, et celui ci se trouvait souvent dans le pantalon d’un homme qu’elles disaient ne pas supporter pendant le jour.
« Les féministes fessaient la loi" ? C’est à dire qu’elles faisaient appliquer la loi à coup de fessées :-) ?
Monsieur Soral avait 26 ans à l’époque de cette vidéo, peut-être a t il fait le bonheur de certaines.
Fruit pourri de la société bourgeoise...du capitalisme...du pognon...de l’oisiveté... de la modernité !
Nos sociétés modernes sont vouées à l’échec, à disparaitre, à s’auto détruire
Comme la Grèce antique, comme les pharaons, comme l’église catholique, la monarchie, la république, comme tout ce qui fonctionne avec le fric, la banque ,les marchands du temple disparaîtra