Éric Zemmour n’est pour rien dans l’hospitalisation de Jean-Marie Le Pen, mais on ne peut s’empêcher de rapprocher les deux informations : selon le site people Closer, 20 policiers protégeront la séance de dédicaces du journaliste du Figaro dans la Nouvelle Libraire de François Bousquet. Une librairie qui remplace, pour l’instant, de manière très siono-compatible, la libraire Facta de feu Emmanuel Ratier. La séance aura lieu ce mercredi 26 septembre 2018.
« Pour cette rencontre, un très important dispositif de sécurité est prévu, selon les informations de Closer : au total, selon nos informations, près d’une vingtaine de policiers seront mobilisés, en tenue de maintien de l’ordre, commissaires et officiers compris. Il s’agit d’éviter, comme l’indique une note de la Préfecture de police que Closer a pu consulter, "une éventuelle perturbation des militants de la mouvance contestataire radicale de la séance de rencontre dans un établissement proche des milieux d’extrême-droite". »
20 policiers pour protéger l’extrême droite contre l’extrême gauche, c’est louche.
Ce n’est pas du tout l’esprit Esteban-Méric !
Mais peut-être que quand c’est l’extrême droite… sioniste, c’est différent ?
Mardi 25, soit la veille, le communiqué suivant, signé par Lorrain de Saint Affrique, était diffusé sur le site de Jean-Marie Le Pen :
Pourquoi rapprocher ces deux événements, qui n’ont en apparence rien à voir ?
Parce que Zemmour a repris sans soucis médiatiques et juridiques le discours que Jean-Marie Le Pen tient avec courage depuis plus de 40 ans, un discours qui a prouvé sa valeur dans le temps. Un discours de patriote, de pur patriote, ce qu’on ne peut pas dire de Zemmour. Car si Zemmour est un patriote français, et le fait qu’il soit de confession juive n’enlève rien à son patriotisme, Zemmour est ce qu’on appelle aujourd’hui un national-sioniste, c’est-à-dire un agent qui essaye de récupérer la montée du sentiment national en France, après un demi-siècle de gauchisme désastreux et d’interdiction du sentiment national, pour le rendre compatible avec le sionisme qui règne malheureusement chez nous.
Maurice Szafran pourra postillonner toute la salive de son palais, les faits sont là : les officines communautaires que sont le CRIF et la LICRA tiennent la justice et la politique dans notre pays. La LICRA dispose même de son prolongement officiel dans le gouvernement qui s’appelle la DILCRAH et qui est nantie d’un trésor de guerre de 100 millions d’euros triennal, un budget qui sert à censurer et détruire tout sentiment national en France.
Une association comme l’UEJF, l’Union des étudiants juifs de France, dont on pourrait s’attendre à ce qu’elle s’occupe d’affaires d’étudiants, soit les cours, la sécurité sociale, les stages, cible en réalité uniquement les vrais patriotes et intente procès sur procès aux vrais défenseurs des Français. Une officine qui a réussi à bloquer la vente de l’application E&R sur les plateformes Apple et Androïd. On est là bien loin des préoccupations des étudiants... Des étudiants qui dans leur grande majorité ne croient plus au pipeau des élites en place.
Le rapprochement entre un Zemmour protégé par la force publique contre d’éventuels troubles à l’ordre public dus aux antifa – alors que les antifa sont les sbires du pouvoir profond, doublant en cela la police politique – et Le Pen n’est donc pas incongru : le premier a repris à son compte et à son bénéfice tout le discours du premier, qui a sacrifié sa carrière politique pour la vérité. Un discours porté par un nombre grandissant de juifs français ou de Français juifs qui, de Zemmour à Finkielkraut en passant par Goldnadel, ont raflé le public de Le Pen. Enfin, la partie non lucide de celui-ci.
Nous voyons actuellement deux courbes se croiser, celle montante de Zemmour et celle descendante de Le Pen, le premier chipant à l’autre son œuvre. Si le but de Jean-Marie Le Pen a toujours été la défense du petit Français écrasé et ignoré par l’oligarchie et la gauche culturelle, celui de Zemmour ne l’est qu’en apparence : depuis que Marine Le Pen a hérité du FN, Zemmour a lancé son OPA sur le grand parti national. Et il le fait pour les forces atlanto-sionistes en embuscade, des forces incarnées par Nicolas Sarkozy, l’homme du grand capital et du bombardement de la Libye, l’homme du faux combat contre la racaille, l’homme du Pauvre Con. C’est ainsi que ces occupants voient les Français.
Que ceux qui ont des oreilles entendent...