Le plus pénible ce n’est pas de Maurice se prenne un vent, que dis-je une tornade. Même si c’est assez jouissif. Il faut reconnaitre toutefois son professionnalisme, le mec tient la mesure là où perso j’aurais quitté les lieux en montrant mon cul à ceux qui m’insultent (et en détalant vite fait bien fait pour éviter le lynchage bien entendu :).
Le plus pénible c’est qui s’accapare des morceaux comme "Mon amant de Saint-Jean", et qu’il glisse ça dans son répertoire de chansonnette pour pisseuses décérébrées. Bientôt, si ce n’est pas déjà le cas, on dira : Mon amant de Saint-Jean de Patrick Bruel ... et j’ai les oreilles qui saignent.
A son crédit il présente la chanson comme : "une valse populaire" (merci pour les auteurs/compositeurs quand même). A ce que je sais dans les années 30/40, les musiciens de studios était payés 20 Francs par séance de studio, sans royalties. Imaginez quand même que Stéphane Grappelli dans un autre genre n’a jamais touché aucune royalties sur ses fameuses improvisations époque Quintette du Hot Club de France.
Tout ça pour dire qu’il est mathématique de prétendre que Bruel s’en ai collé bien plus dans les profondes (dont une partie vas à l’armée Israëlienne) sur cette "valse populaire", que les musiciens qui ont produit les premières versions, en l’occurence en 1942. Pourtant en 1942, les gens avaient besoins de pognon, plus que Bruel de nos jours.
Consommer de la musique de Patrick Bruel, c’est financer l’armée Israëlienne et donc favoriser la politique Israëlienne. CQFD.
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