Alors qu’elle enregistrait des séquences de la future série Une femme d’exception, une équipe de professionnels a essuyé des tirs de mortiers de feux d’artifice tenus par une vingtaine d’adolescents. Il pourrait s’agir d’une tentative de racket.
Une scène violente s’est déroulée dans la soirée du jeudi 29 septembre en plein Paris, dans le quartier de Belleville, selon les révélations du journal Le Parisien du 1er octobre : un groupe de jeunes âgés d’une quinzaine d’années a attaqué au moyen de mortiers de feux d’artifices des membres de la société de production Cinétévé, qui étaient en train de filmer des scènes de la série Une femme d’exception, qui doit être diffusée prochainement sur la chaîne TF1. Les agresseurs ont également donné au moins un coup de poing des techniciens. Au total, cinq de ces derniers ont été blessés dans cet assaut brutal.
D’après le journal, la piste la plus plausible serait celle du racket : quelques heures avant l’attaque, en effet, deux jeunes individus étaient venus réclamer de l’argent à l’équipe de Cinétévé, en échange de... leur « protection ». En outre, le lendemain de l’agression, vendredi 30 septembre, la police a interpellé au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) un jeune homme de 18 ans qui pourrait être lié à celle-ci.
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Cela n’a probablement rien à voir avec l’agression, qui a des motifs crapuleux, mais la série de TF1 est une série avec une héroïne... transgenre. La productrice en est Fabienne Servan-Schreiber, très connue dans le milieu, et le pitch est tout simple : « l’ex-mari d’un couple divorcé réapparaît après des mois d’absence en s’assumant en tant que femme ».
Pas de chance pour TF1, qui tentait, avec ce tournage, de changer un peu son logiciel familial, dans le but de faire accepter la souffrance des transgenres (des travs, quoi) à la France profonde. Espérons que les ennuis de tournage seront passagers, et que le public de TF1 pourra découvrir les joies du changement de sexe en prime time.
Ce tutorial explique aux Français étroits d’esprit comment s’adresser correctement à un (ou une ?) transgenre, sous peine d’amende pour discrimination sexuelle, ou sexo-centrée, ou sexo-transgenré-e :