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Ordre de l’Élysée à tous les médias : les cent jours de Trump sont une catastrophe

Le covidisme aura été utile pour une chose : il a révélé aux Français qu’on pouvait leur mentir dans les grandes largeurs, sans honte, sans mea culpa, sans complexes et avec un risque maximal pour leur santé derrière. Depuis, c’est open bar dans la presse de soumission.

 

Exemple ces jours-ci avec une floppée de gros titres hallucinants sur les cent premiers jours de Trump, vous savez, le milliardaire fou qui viole des femmes, extermine des Chinois et détruit l’économie américaine. La presse prend évidemment ses désirs « démocrates » pour la réalité, car personne ne peut encore dire ce qui sortira des mesures choc de l’animal. C’est comme pour le faux vaccin : malheureusement, on mettra des années pour comprendre ce que Pfizer et Moderna ont vraiment introduit dans l’organisme des provax.

Trump, il est vrai, n’y a pas été avec le dos de la cuillère, et en cela, il a appris de son premier mandat (2016-2020) qui a été à moitié réussi, plombé qu’il fut par la contre-attaque covidiste des mondialistes. Il a clairement été piégé par la fausse pandémie, une opération de manipulation de masse exceptionnelle. Pourtant, économiquement, avant que ne s’abatte la grippette de la bande à Gates & Fauci, alliés des boss du Big Pharma, l’emploi était reparti, et les payes avaient augmenté, ce qui est le marqueur principal, pour le peuple.

Le salaire, c’est là où l’on juge une politique, au fond du fond. Le reste, le bas peuple s’en fout. Si le salaire augmente, tout va bien, on fait des projets, on a un avenir, on gagne en confiance, on peut éventuellement être heureux ; si le salaire stagne, on commence à se méfier, à réclamer un peu, l’indexation sur l’inflation, par exemple ; et si le salaire diminue, on sort la colère, et ça peut aller très loin.

Ces préoccupations, nos grands médias n’en ont cure : ce qui les intéresse, c’est qu’un leader populiste se plante et ne reste pas longtemps en place, car les leaders populistes n’aiment pas la presse, en général, qui filtre l’information entre le populo et eux. Elle est anti-peuple, puisque pro-oligarchie.

Avant d’en venir aux titres de la presse canine, on précise que notre accroche n’est pas une invention ou du complotisme : un tel consensus dans l’attaque, un tel concert d’agressivité ne peut venir que d’en haut, par le biais des grands patrons de presse qui ont l’oreille (ou autre chose) du Président. Tous crient à l’unisson : Trump égale cata, Trump égale chaos, Trump égale échec. À peine entend-on quelques petites voix à contre-courant, nous expliquer qu’il est un peu tôt pour juger, qu’une politique de relance industrielle n’est peut-être pas si bête...

Le plus drôle, dans cette opération médiatique pesante, c’est le but, qui n’a rien à voir avec les Américains : discréditer Trump pour faire oublier l’échec absolu (ou volontaire) de l’axe Leyen-Macron sur le plan intérieur ou extérieur. On ne rappellera pas le saccage des économies, des industries, de l’énergie, de la santé, du vivre-ensemble, du sentiment national, bref, de l’esprit européen empreint de paix, de solidarité et de liberté.

En vrac, la manif monstre anti-Trump de New York (1 000 personnes !), l’impopularité, la sidération des alliés, la méthode chaotique, la vanité pathologique (« je dirige le monde »), la foi inébranlable et enfin, clou du spectacle, le maccarthysme !

Trump : cent jours à la Maison Blanche. « Nous ne faisons que commencer », a promis Donald Trump dans un discours, en marquant sur un ton triomphaliste et agressif un début de mandat frénétique, qui a ébranlé le monde et déstabilisé l’Amérique. Après 100 jours dans le Bureau ovale, l‘impopularité rattrape pourtant déjà le 47e président américain. S’il marque sa volonté de continuer pulvériser normes et institutions, 59 % des Américains qualifient déjà d‘« effrayant » son come-back à la Maison Blanche. (Libération)

 

 

 

 

 

Et encore, on n’a découpé que les journaux dits intelligents, ou pour intellectuels. On vous laisse imaginer les autres...

L’actu pas pour les ânes

 






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40 Commentaires

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  • @yacine, les médias français, il faut absolument leur couper les subventions, il faut toujours une bonne leçon, il y en a marre que cette " presse" critique, toujours les mêmes comme, Donald, et bien sûr Vladimir, ou’ l’Asie, la Chine, etc,

     

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  • Pendant le covid, trump promouvait les labos américains et accélérait la sortie du "vaccin" !

     

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    • Il est vrai qu’il voulait un vaccin, mais il ne savait rien de ce que les labos allaient sortir. Bourla et Bancel ont attendu une semaine après les élections pour annoncer qu’ils avaient un produit à vendre parce que, justement, il ne fallait pas que ça lui profite.

      Cela parce que le cochon psychopathe ne l’avait pas à la bonne, DT ayant refusé d’envoyer des soldats américains mourir contre l’Iran sur sa demande.

       
    • @ anonyme

      Le conseiller de la Maison Blanche était Fauci...
      Trump aujourd’hui renverse la vapeur en mettant Robert Kennedy au pouvoir. Il a déjà interdit des vaccins dangereux et va continuer à faire transpirer Big Pharma en promouvant la santé plutôt que la maladie.

       
    • faux. Pendant la plandémie du covid, Trump a été quasiment le seul à défendre la chroroquine, et a même été traité à la chloroquine par le Pr Rodenko, ainsi que tout l’establishment qui incitait aux vaccins, et tous les rabbins de New-York et d’ailleurs. ça n’est que bien après qu’il a été contraint et forcé de défendre les vaccins, suite à de nombreuses menaces. De même il a été le seul à mettre en cause la théorie du 11/9, ceci le jour même des attentats, car étant lui-même un excellent promoteur immobilier (j’ai lu Donald Trump) il était parfaitement conscient que l’écroulement des 2(3) tours était physiquement impossible sans démolition contrôlée.

       
  • @comm’enterre, ce n’est pas depuis l’arrivée de Donald, c’est surtout depuis 1990, le nom, le nouvel ordre mondial, même si c’est surtout albert einstein, dès 1945, qui en avait bien parlé, donc rien de neuf sous le soleil.

     

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  • Stigmatiser l’opposition et augmenter les impôts telles sont les "actions" de l’oligarchie.
    C’est tellement simple à comprendre car, au-delà du TAM TAM merdiatique, mals mais la masse des esclaves avachis ne veut pas voir car c’est objectivement sa fonction de servir volontairement avec plaisir, c’est tant pis pour eux.

     

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  • Les sociétés occidentales, larguées à coups de délocalisations et de restructurations, paient le prix des choix de leurs dirigeants politiques entre idéologies et réalisme. Machines à échouer, les appareils d’état qui perdent pied se refusent pourtant à admettre leur toxicité et à quitter la place. Sous la protection du déni de réalité, ils imposent l’accroissement des mesures qui ont conduit au marasme, comme des solutions. Les Kmers Verts savent que le moindre renoncement les disqualifiera définitivement et avec eux d’une part, tous ceux qui ont adoptées les dérives sociétales ignobles comme fond de commerce et de l’autre, les influenceurs/commanditaires transnationaux qui ont organisé ce marasme socio-économique à l’échelle planétaire comme machine à cash. Les enjeux sont énormes et déterminants. Il est aisé de constater tout ce qu’il faut d’énergie pour venir à bout de ces malfaisances, qui se défendent pied à pied avec acharnement et ne reculent devant rien pour perdurer.

     

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  • Les plus romantiques lunes de miel ne durent pas toute la vie. Le marketing emporte toujours avec lui son lot de déceptions, inhérentes aux exagérations qui ont fait son succès. Les nouvelles autorités US semblent s’enliser dans le marais qu’elles sont sensées draîner. Les tonitruantes déclarations des entrées en fonction font place au dilatoire. Le sensationnel a une durée de vie éphémère, qui ne saurait retenir les foules désabusées devant ses estrades, qu’à condition de démontrer son bien-fondé. Rien de tel qu’un décompte de banque pour ramener au sens des réalités car les factures, elles, ne suivent pas le cours des bourses aux ragots ; l’épicier ne se paie pas de mots ; l’employeur a besoin d’une marge, ce que l’idéologie n’a jamais pu lui procurer, de goche ou de drouate extraire une livre d’acier demande la même quantité d’énergie et seules les modalités de rémunération comme variables d’ajustements déterminent la rentabilité. Batifoler à la marge en lançant les slogans de son fond de commerce, finit toujours par une tentative de fuite.

     

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  • #3526719

    Tous ceux qui rêvent du Messie qui terrassera Netanyahu et ses sbires et fera de la terre une planète où l’humanité vit en harmonie d’un coup de baguette magique peuvent prier (je respecte) ou alors doivent sortir de l’infantilisme du "tout et tout de suite". Trump en tant que tel, je m’en fous (c’est surtout Musk qui me deplaît), mais en comparaison de ce que prônent les mondialistes, son action même symbolique est positive : Kennedy à la santé, le traitement de l’affaire Ukrainienne (50 millions de dollars c’est peanuts par rapport aux milliards de l’UE), la remise en avant du protectionnisme et de l’intérêt national,... sont des tentatives, des messages qui vont dans le bon sens. On verra sur le temps long. J’avoue ne pas bien connaître Poutine mais on peut certainement dresser une liste à rallonge de ses limites, sa propagande, son inaction face à Israhell, etc... il n’empêche qu’il n’y a pas photo avec Brejnev ou Eltsine.

     

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  • Trump, c’est une lueur vacillante d’espoir dans un monde capitaliste qui n’accumule plus assez de capital. L’industrie du luxe a mangé son pain blanc. Pour éliminer les dettes des états, ce sera soit une monnaie digitale pour contrôler les dépenses de consommation et d’investissements, soit une guerre pour détruire du capital et instaurer une société de surveillance. Trump a tort de passer en pertes et profits les massacres par Israël des dizaines de milliers d’enfants, véritable relève démographique d’un peuple palestinien aux abois qui n’aspire qu’à vivre enraciné sur la terre de ses ancêtres alors que la mort d’un otage juif, victime collatérale des bombes israéliennes, suscite chez Trump, à l’unisson avec les journaux sionistes versant dans la compassion la plus extrême , une série d’atermoiements qui suffisent à le ranger indéfectiblement dans la catégorie des sionistes. L’Amérique doit cesser toute aide à Israël qui doit se débrouiller seule, comme l’UE privée du financement américain à l’Otan. Son intérêt commande de rechercher l’équilibre au MO pour se recentrer sur le développement de son marché intérieur. Après 100 jours, la croissance patine, l’inflation augmente, la FED veille à ce que les taux d’intérêt ne baissent pas, les droits de douane se réduisent comme peau de chagrin sous la pression de la haute finance mondialiste qui a fait chuter Wall Street. L’ouvrier avec l’ingénieur et le paysan sont les piliers d’une nation. Ce sont eux les héros, pas les stars sur papier glacé . L’Amérique doit aller chercher sa MO qualifiée au Sud pour réindustrialiser VITE en attendant de revaloriser le travail manuel dans l’esprit des WASP pour former la jeunesse à ces métiers en les payant suivant leur valeur ajoutée. La création de la valeur doit être la variable d’ajustement des salaires. L’Amérique doit concevoir sa frontière sud comme une écluse ne laissant filtrer qu’une immigration de travailleurs qualifiés ou capables pour rouvrir ses industries. Le redressement passe par l’expulsion des clandestins, des parasites et autres incompétents. Quand il y aura des bras forts dans les usines, le wokisme s’étiolera face à l’image puissante du prolétariat que rejoindront des américains de souche formés aux techniques de production, rendant l’immigration de moins en moins utile. Bref, mettre l’Amérique sur les rails d’une dynamique industrielle suppose des relations équilibrées avec le Sud des US et entre les nations du MO

     

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  • Entre le DOGE qui supprime l’USAID et le département lgbt-wokiste d’éducation, et l’arrivée de Robert Kennedy à la Santé, Trump nous régale !

     

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  • La seule question sur Trump concerne les travailleurs américains
    Parviendra til à reindustrialiser l’Amérique et à améliorer leur condition de vie ?
    Et arrivera t-il à repousser l’enfermement mentale du wokisme ?
    Son interventionnisme mondiale me laisse perplexe.

     

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