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De ce que j’ai compris par mes recherches, l’intensité sur la durée dépend :

 théoriquement, de la santé et de la puissance de travail,

 pratiquement, de la résistance aux / ou survol des émotions fortes (évènementielles, passagères, épi-phénoménales), et du courage des décisions surtout celles qui risquent de bousculer notre routine ou confort.

Mais à la base de tout, il y a la vision / direction / intention : VOULOIR n’est pas seulement dire ce qu’on souhaite, mais se le représenter / visualiser avec force - ce que les psy ont renommé « projection ». Et en déterminer la manière la plus réalisable d’y arriver selon le contexte politique.
L’effort est la seule source certaine de liberté et d’idéal contre l’anarchie intérieure des instincts et des appétits égoïques.

Pour ce qui est du tragique, elle m’apparaît comme un effet égocentrique, je citerai juste cette citation relativiste du Maréchal Foch : « Ne pas prendre au tragique les choses simples, et simplifier les choses tragiques. »
Laisser toujours une place à une certaine distanciation ou auto-dérision.

*Aux jeunes je conseille les livres de Gaston Courtois en commençant par L’Art d’être chef [de sa vie]. Tout est question de contrôle.

Soyez comme des lions qui dansent (Nietzsche) face aux moutons qui nous dirigent.

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On aime Cousin, et son érudition, mais le coté monodeterministe strict est chiant ! On est bien d’accord Alain !

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Merci, Président je me demandé pour les trois cités du mondialisme : Washington (pouvoir militaire), la City (pouvoir financier) et quid du Vatican (pouvoir spirituel). Alors qu’en terre d’islam le statut de dhimmi, certes le terme aujourd’hui est péjoratif, mais les dhimmis (Gens du Livre) en terre d’islam avaient leur propres lois et juridictions en lien avec leur religion. L’islam comme le christianisme sont universel ...

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Ravie de retrouver ce duo !!! Merci pour ces questions pertinentes de monsieur ACHACHI .. merci à AS pour ces analyses…

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La réalité est de nature spirituelle, c’est-à-dire qu’elle a d’abord été conçue dans notre esprit. Tout ce que nous voyons autour de nous est le fruit de l’imagination — ou de la créativité, pour employer un mot cher à notre ego. La voiture, l’immeuble, la ville, le capitalisme, la guerre, l’amour ont tous été, d’abord, une idée conceptualisée dans l’esprit humain. Tout ce que l’on fait, on l’a d’abord imaginé. Consciemment ou inconsciemment. Ne me croyez pas sur parole. Faites le test. La prochaine action que vous voulez accomplir, vous la visualisez d’abord avant de passer à l’action !

Est-ce que l’imagination est d’essence humaine ou divine ? J’opterais pour la seconde option, tout en sachant que, pour moi, nous sommes des particules de Dieu dans le grand tout, des petites gouttes dans l’océan divin.

« Tu n’es pas une goutte dans l’océan. Tu es tout l’océan dans une goutte », disait Rûmi, le sage musulman soufi d’origine persane (vraisemblablement de l’Afghanistan actuel. Quelle déchéance, quand on pense aux fameux talibans !) Mais un musulman capable de tant de profondeur, ça ne passera jamais sur CNews. Mais ici, on s’en fout des journalopes.

Nous nous faisons un film de ce que l’on voit dans la réalité qu’on croit tangible, mais qui n’est en fait que "virtuelle", parce qu’issue de notre interprétation. Il n’y a pas une voiture, un immeuble ou un boulevard dans notre tête, mais une interprétation de la voiture, de l’immeuble ou du boulevard, fabriquée par la magie de nos neurones.

Nous ne voyons pas la "réalité" (mouvante par nature) telle qu’elle est, mais tels que nous sommes ! « Les faits sont têtus » est une conception de l’esprit humain. Les faits ne dépendent que de l’interprétation de leur observateur ! Ils peuvent l’être… ou ne pas l’être. Ça dépend de nous. Jean Moulin passe de "terroriste" pour le régime de Vichy à "résistant" après la Libération.

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La physique quantique a définitivement prouvé que les "particules élémentaires de la réalité" se transforment en ondes ou en atomes en fonction de l’observateur ! C’est-à-dire que nous sommes les seuls créateurs de notre réalité. Comme si Dieu nous avait délégué une partie de son pouvoir — en fonction de notre éducation, de notre culture, de nos croyances, de nos valeurs et de nos expériences de vie — pour naviguer dans l’océan de la vie.

Mais dire cela provoquerait la ruine du "matérialisme historique", qui veut faire de l’Homme-Dieu (partie divine du tout divin) une victime des circonstance

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La physique quantique a définitivement prouvé que les "particules élémentaires de la réalité" se transforment en ondes ou en atomes en fonction de l’observateur ! C’est-à-dire que nous sommes les seuls créateurs de notre réalité. Comme si Dieu nous avait délégué une partie de son pouvoir — en fonction de notre éducation, de notre culture, de nos croyances, de nos valeurs et de nos expériences de vie — pour naviguer dans l’océan de la vie.

Mais dire cela provoquerait la ruine du "matérialisme historique", qui veut faire de l’Homme-Dieu (partie divine du tout divin) une victime des circonstances, alors que nous sommes les seuls créateurs de nos circonstances. Mais une fois qu’on a compris notre pouvoir "délégué" par Dieu en nous…

Je viens de perdre 95 % de mes lecteurs. C’est bien, parce que seulement 5 % de notre réalité est comprise par notre intellect. Les 95 % sont gérés par notre esprit divin : comme notre respiration, les battements de notre cœur, notre digestion, ou les rêves que nous faisons pendant notre sommeil. Cela dépasse le "matérialisme historique", notion qui dépend d’une interprétation produite par les 5 % de nos capacités. Autrement dit : une vision étriquée, partielle et partiale… comme la communauté de son auteur.

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