Pas une journée sans que l’OMS ne tente de relancer la psychose « Covid-19 » ou « coronavirus ». D’abord, il s’agissait de dizaines de millions de morts potentiels qui ont justifié des politiques de confinement inédites pour une grippe, fut-elle féroce. Puis il y a eu la légende de la « deuxième vague », que beaucoup de Français craignent encore, et enfin la théorie du virus « éternel », qui renaîtra tel un phénix ici ou là au gré de l’insouciance des Terriens qui ne se sont pas suffisamment soumis aux injonctions de l’OMS. Et aujourd’hui, c’est le coup du pic de contaminations – 100 000 cas en une journée (historique pour l’OMS) – et l’attaque du Covid chez les pauvres... Ben voyons !
Mais l’OMS seule ne serait rien sans les médias et les États qui ont relayé une psychose qui les arrangeait bigrement : jamais cette organisation véritablement mondialiste et faussement humanitaire (voir les dégâts de la vaccination forcée dans des pays africains) n’a été autant prise au sérieux. Et les résultats de cette attitude sont désastreux, bien plus désastreux que les malheureuses victimes d’une grippe.
« L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait état, mercredi 20 mai, du plus grand nombre de nouveaux cas de Covid-19 dans le monde en une seule journée depuis le début de la pandémie, disant craindre ses conséquences dans les pays les plus pauvres. "Nous avons encore beaucoup de chemin à faire dans cette pandémie de Covid-19. Au cours des dernières 24 heures, 106 000 cas ont été déclarés à l’OMS – le chiffre le plus élevé pour une seule journée depuis le début de l’épidémie", s’est alarmé le directeur général de l’OMS. » (France Info)
La communication de cette officine qui n’a rien de supranational – c’est le cache-sexe de Bill Gates, le vaccinateur fou, qui est lui-même le cache sexe des intérêts des grandes multinationales, les Grandes de ce monde – rappelle celle de l’OSDH, l’Observatoire syrien des droits de l’homme, l’étrange officine basée à Londres et 100 % alignée sur les besoins et les intérêts de l’armée et du renseignement britanniques, c’est-à-dire de l’Empire. Voici ce que déclarait le Syrien Rami Abdurrahman, l’opposant de Bachar al-Assad installé depuis 2000 dans la patrie du MI6 :
« Depuis Coventry, dans le centre de l’Angleterre, j’ai créé en mai 2006 l’Observatoire syrien des droits de l’homme. Mon objectif est de rapporter ce qu’il se passe en Syrie et de le relayer aux médias. Je décompte quotidiennement les victimes des bombardements en Syrie mais aussi les déplacements de population, les combats. Chose extrêmement importante pour moi : je ne fais pas de propagande, je reste objectif et impartial. »
Mêmes buts, mêmes moyens : on exagère le nombre de morts, on désigne l’ennemi à abattre (Bachar/le virus), on taxe toute critique d’anti-humaniste ou de pro-complotiste, voire fasciste, on est relayé par les médias mainstream du monde entier, en majorité néolibéraux, on monte des coups censés affoler le monde ou entraîner l’adhésion de l’opinion publique mondiale (le gazage de la Ghouta, les casques blancs d’un côté, le confinement nécessaire et le déconfinement impossible de l’autre).
Preuve que les médias marchent dans la combine, l’AFP augmente même le nombre de morts dus au Covid-19 dans le monde : 323 370 personnes. Alors qu’on sait tous, les soignants les premiers, que beaucoup de morts ont été floqués « Covid-19 » pour les besoins de la cause (augmentation des budgets et des effectifs), à la fois médicale et politique. On est encore loin des 650 000 morts de la grippe saisonnière 2017 mais ça ne fait rien, ce qui compte, c’est la com’, pas le contenu.
C’est à l’image des films hollywoodiens de médiocre qualité qui comptent sur le marketing et la promotion pour remplir les salles. On sait que le bouche à oreille sera faible, cela condamne le navet à terme, mais le remplissage forcé des salles après une bonne campagne multimédia suffit à amortir la daube. Les spectateurs se font entuber mais ce qui compte, c’est la caisse enregistreuse, pas la colère des gens.
Idem avec l’OMS qui crie au loup depuis le début : les peuples sont en train de se rendre compte que le Covid-19 n’est ni la grippe espagnole de 1919 ni la peste noire de 1347, malgré le coup de pouce Jérôme Salomon, notre pseudo-directeur de la Santé. Le Covid-19 version OMS, c’est un navet, une fake news, mais bien enveloppés et remarquablement vendus à tous les pays qui voulaient se débarrasser de leur opposition interne ou de leur contestation populaire. La grippe a bien servi des objectifs politiques, et la destruction de valeur (exactement comme dans une guerre) dans nos pays va servir des intérêts qui échappent au commun des mortels : c’est la Dette, donc la Banque, qui sortira vainqueur de ce conflit haut/bas. Il s’agit d’une reprise en main mondiale de la part des pouvoirs profonds que les peuples en colère commençaient à désigner, à circonscrire, à viser. Et là, la réponse devient subitement sérieuse : une guerre contre les peuples, pour reprendre l’expression de Claire Séverac !
Pour ceux qui douteraient encore de la réalité de cette entourloupe, de cette ingénierie monstre, voici un article qui remet en question le dogme du confinement imaginé par un certain Neil Ferguson...
Et si la décision d’imposer le confinement était basée sur des conjectures mathématiques approximatives ?
Docteur en philosophie, éditorialiste et chroniqueur de grands journaux et vulgarisateur scientifique, Matt Ridley est l’auteur d’une série de best-sellers dans le domaine anglo-saxon. Il se définit comme un « rationaliste optimiste ». Après la démission de Neil Ferguson, il a cosigné avec le député David Davis une interpellation concise, mais essentielle sur les méthodes « scientifiques » par lesquelles on a poussé les gouvernements à prendre une mesure d’une violence extrême et historiquement inouïe : mettre en quarantaine les populations saines de pays entiers.
Le professeur Neil Ferguson, de l’Imperial College, s’est « mis en retrait » par rapport au groupe SAGE (Scientific Advisory Group for Emergencies, NdT) qui conseillait les ministres après qu’on eut révélé ses entorses galantes à la règle du confinement. Peut-être aurait-il dû en être écarté pour un faux pas plus conséquent. Les détails du modèle que son équipe a échafaudé pour prédire l’épidémie se font jour et ils ne sont pas beaux à voir. Selon les mots respectifs de quatre modélisateurs expérimentés, son code est « profondément criblé de bogues », c’est « une machine de Robinson assez arbitraire » qui charrie « d’énormes blocs de code — une mauvaise pratique » et constitue « très probablement le pire code de production que j’aie jamais vu ».
Lorsque les ministres font des déclarations politiques en matière de coronavirus, ils affirment invariablement qu’ils « écoutent la science ». Mais la science de pointe est désordonnée et peu claire, c’est une joute d’idées arbitrée par les faits, un processus de conjecture et de réfutation. Cela n’est pas nouveau. Il y a près de deux siècles, Thomas Huxley décrivait la « grande tragédie de la science » comme « l’assassinat de belles hypothèses par des faits moches. »
En l’occurrence, « la science » désigne en fait le modèle du Collège Impérial, qui prédit potentiellement des centaines de milliers de morts, et sur la base duquel le gouvernement britannique a instauré le confinement en mars. Les conseils de la commission SAGE ont un impact énorme sur la vie de millions de personnes. Pourtant, la commission se réunit en privé, ne publie aucun compte rendu et, jusqu’à ce qu’elle ait été mise sous pression, ne publiait même pas le nom de ses membres. Nous avons pris des décisions sur la base des oracles d’une boîte noire, verrouillée qui plus est.
Il est devenu courant pour les pronostiqueurs financiers, le Trésor, les climatologues et les épidémiologistes de citer les résultats des modèles mathématiques comme s’il s’agissait de « preuves ». Une utilisation correcte des modèles consiste à passer les théories de systèmes complexes au crible des faits. Si d’aventure nous voulons fonder des prévisions et des politiques sur des modèles, nous devons être en mesure de vérifier leur exactitude, en particulier lorsqu’ils sont à l’origine de décisions impliquant la vie et la mort. Tel n’a pas été le cas avec le modèle du Collège impérial.
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