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Nouvelle avancée sociétale pour les femmes : le droit de péter

Nous ne sommes pas un 1er avril, sauf si nous vivons dans une dystopie où il n’y a qu’une date, qu’un jour, le 1er avril.

 

C’est ce qui nous a frappés en lisant cet article du HuffPost, toujours en pointe du progressisme, comme Le Monde ou Libé. Et comme on va parler cinéma, autant envoyer au préalable la loi du genre.

 

 

C’est clair pour tout le monde : tout ce que Télibéramonde touche se transforme en flop.

Il est donc question d’un film de femmes, Les Femmes au balcon, dans lequel un tabou est définitivement abattu : le droit de péter.

« Je voulais un peu casser le mystère de Marylin
en la libérant par le prout
 » (Noémie Merlant)

 

 

La transgression du tabou ne figure pas dans la bande-annonce, heureusement. Le canard d’Anne Sinclair précise le message :

Dans ce film aux influences résolument féministes, la réalisatrice a choisi de représenter les pets des personnages principaux, allant à l’encontre de l’injonction de la femme parfaite. « Je voulais un peu casser le mystère de Marylin (Monroe) en la libérant par le prout », a expliqué Noémie Merlant sur le plateau de Quotidien sur TMC ce mardi 3 décembre. L’une des trois colocataires, Élise, est en effet inspirée de la star hollywoodienne, érigée en figure de la femme objet, toujours plaisante dans le regard des hommes, l’archétype de la femme fatale et séductrice, « quelque chose qui fait fantasmer ».

On l’aura compris : il s’agit de faire dé-fantasmer les hommes, de les repousser à l’image du putois avec ses prédateurs éventuels. La femme ne doit plus être attirante, sinon on risque d’avoir envie de lui faire des bébés et ça risquerait de repeupler la France naturellement. Pour ça, on a l’immigration de masse et l’avortement, depuis les lois Simone, vous savez, sainte Simone.

La réalisatrice Noémie Merlant est passée chez la Barthès pour faire la promo du proutisme et niquer le patriarcat.

 

 

On vous épargne l’émission entière. Pour le reste, Noémie ne devrait pas tarder à découvrir la dure loi du Splendid.

On illustrera cette chronique culturelle par une note politique sociétale signée Mila, qui devance en quelque sorte les désirs de Noémie.

 

 

On a retrouvé les trois actrices au QI de 150 (en cumulé)

 

Le « cinéma » féministe

 






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88 Commentaires

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  • #3461756
    Le 6 décembre à 00:20 par La nuque roide
    Nouvelle avancée sociétale pour les femmes : le droit de péter

    quand on parle de droit, aboule souvent le devoir.
    C’est bien d’avoir des droits, les droits français, mais n’oublions pas les devoirs, les devoirs envers la France (rance d’aujourd’hui ?), à ce propos, est-ce le droit de péter pour une femme impliquer le devoir d’acter en sourdine...et pourquoi pas en mode inodore, avec un bikini-filtre.
    la seule scène culte qui me reste du film La Confiance d’Étienne Chatiliez réuni Cecile de France et Vincent Lindon côte à côte sur un lit se querellant pour trancher si oui ou non les femmes pètent. Le comédien affirmant oui, la comédienne attestant l’inverse.
    L’autre jour, pipouche me dit : quand un homme pète, il largue une caisse, quand une femme pète, elle libère une entité captive.
    N’importe quoi !
    J’admire les personnes qui n’ont aucune honte pour livrer à leur périmètre les bruits, en fin de compte, naturels, liés à notre métabolisme corporel.
    Parfois, la pudeur, l’éducation, la politesse, le savoir-vivre, la bienséance colportent une certaine hypocrisie, celle de cacher le naturel. Or, « chasser le naturel il revient au galop. »

    À ce qui paraît, les antiques romains se soulageaient en lieux d’aisance aménagés de plusieurs trônes sur un même banc formant au final un carré, certains s’asseyaient côte à côte prolongeant sans interruption leur discutailles, ces lieux promouvaient une socialisation, à cette époque, l’humain, c’est certain, cultivait une autre relation vis-à-vis du corps humain que nous autres contemporains ne pourrions supporter car nécessiteux en intimité salutaire, moi le premier.
    En Inde, les gens font leur besoin dans une rue dédiée pour cette noble cause sinon pour cette cause nécessaire et indispensable.
    N’oublions pas non plus en France : Versailles, demeure du roi, lequel acte ses besoins en public, ce château de la monarchie n’offre point aux visiteurs ni à la noblesse un seul cabinet de toilette, lieu d’aisance, afin de se soulager, en conséquence, les us et coutumes proposent à qui de droit de poser sa pêche sur le carrelage derrière les montées d’escaliers, itou d’uriner au même endroit pourvu parfois de récipients, le comble étant les nobles qui, une fois de retour dans leur pénates provinciales, d’inviter la gente paysanne alentour à se soulager idem à même le sol dans diverses parties de leur nobles demeure afin celle-ci d’exhaler le même parfum (en odeur de sainteté ?) qu’au palais de Versailles la résidence du roi de France, pays dé lors prolixe en parfums de qualités ?

     

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  • #3461770

    Ce n’est pas comme ça qu’on va relancer la natalité.

     

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  • #3461785

    On peut d’ores et déjà suggérer un autre acte libérateur pour le prochain film de cette dame : roter bruyamment à table devant ses parents.

     

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  • #3461833
    Le 6 décembre à 08:30 par Musk l’incorruptible
    Nouvelle avancée sociétale pour les femmes : le droit de péter

    La femme d’aujourd’hui a des tatouages sur les bras comme les motards, elle consomme des sacs de protéines (poudre qui fait péter plus qu’autre chose) pour compléter son programme de muscu digne d’un légionnaire du 2eme REP et elle passe son temps sur son téléphone.

     

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  • #3461890
    Le 6 décembre à 10:49 par baronsamedi
    Nouvelle avancée sociétale pour les femmes : le droit de péter

    Qu’elles pètent, on pourra leur dire que "c’est pas bon pour la planète"....eh oui, c’est essentiellement du méthane ( ch4 ) qualifié comme "GES" soit Gaz à Effet de Serre !

    Plus tard, les écolos viendront leur réclamer une taxe !

    LOL !

     

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  • #3462054

    La femme a eu les mains jointes pour la prière puis le balai dans la main, puis le droit de vote dans la main, puis la cigarette dans la main puis le portable, le chibre, le micro, mais où vont-ils chercher tout ce qu’elle peut avoir en main ? un pantalon à une jambe aussi ? si si, dans la main !....tant que ça fait vendre, bref, rien de neuf dans le cerveau d’une femme, même 21 siècles plus tard.

     

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  • #3462058

    Que c’est navrant de constater que certaines femmes deviennent aussi vulgaires que certains hommes (heureusement, pas tous... et pas toutes !)
    Nous avons tous/toutes notre fonctionnement biologique, qui parfois dérange les autres. Ou pas. C’est à chacun/chacune de savoir discerner dans quelle mesure l’on peut avoir des propos plus ou moins grivois, et avec qui, cela va tout autant avec les attitudes de laisser-aller ou pas.
    Je n’appelle pas ces femmes des "féministes", mais au contraire j’aurais tendance à les traiter de "masculinistes" puisqu’elles ne veulent plus d’enfants à aimer, qu’elles ne veulent plus tolérer ou admettre les différences qu’il y a entre les hommes et les femmes.
    Et pour clôturer le tout, ce que je trouve plus que navrant, c’est qu’elles affichent cela sur des écrans de cinéma ! Pas vraiment étonnant que le monde aille si mal !
    Fort heureusement, sans que j’aie eu à faire quoi que ce soit d’autre que d’avoir une attitude personnelle comme exemple, mes filles ne sont pas vulgaires de la sorte.

     

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    • #3462385

      Je ne sais pas si je passerais la barrière de la modération, mais je pense que le retrait (aucun rapport avec la sexualité) de canal+de la tnt et la suppression de son obole au cinéma français aura au moins le mérite de nous libérer de ce genre de film. Parce que même si nous ne sommes pas assez masochiste pour aller les voir, ils viennent polluer les fils des réseaux dit sociaux, et entretiennent un troupeau de 1/2 instruits iceux polluant l’esprit de gens que l’on pourrait "rattraper"

       
  • #3462277

    Une petit récapitulatif de ce que l’on peut lire sur les RS Instagram et autres montre clairement que les femmes aujourd’hui sont totalement matrixées du cerveau. C’est aberrant à quel point le féminisme a détruit la vision de l’homme chez la femme. Ça fait froid dans le dos. Ce qui se passe est incroyable … jamais vu autant de couple depuis 3/4 ans qui explosent sur demande de la femme, pour des raisons totalement délirantes …
    les attentes des nanas envers les hommes sont inatteignables sous couvert de lutte contre le patriarcat elles ont transformé les hommes en véritable FDP ! Elles s’en dégoûtent même. Alors qu’elles mêmes sont devenues puantes au possible. Je sais pas où on va, je sais qu’il reste des femmes bien dans ce pays … mais la majorité franchement fait vraiment flipper.

     

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  • #3463308

    On est loin du prout de madame, savez-vous ce que disent les anglaises mal élevés quand ils sont dingues d’une nana ? « I could eat her sh.t »

     

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    • #3463641

      Correction, ce n’est pas les anglaises mais les anglais, mais ça pourrait en fait être aussi le cas car les anglaises n’ont pas froid aux yeux. Les anglais pour ceux qui ne les connaissent pas sont d’une rudesse incroyable une fois qu’ils ont la bride sur le coup spécialement après avoir bu, la main directement au panier sans préavis avec les femmes.

       
  • #3464145

    Brassens à chanté « tout est bon chez elle il n’y à rien à jeter « un connaisseur !

     

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