Nous ne sommes pas un 1er avril, sauf si nous vivons dans une dystopie où il n’y a qu’une date, qu’un jour, le 1er avril.
C’est ce qui nous a frappés en lisant cet article du HuffPost, toujours en pointe du progressisme, comme Le Monde ou Libé. Et comme on va parler cinéma, autant envoyer au préalable la loi du genre.
"Quand on fait un film populaire et qu’on a une bonne critique dans Libé ou Le Monde, ça veut dire que le film ne marchera pas…"pic.twitter.com/vgS3oKeH0p
— Destination Ciné (@destinationcine) December 2, 2024
C’est clair pour tout le monde : tout ce que Télibéramonde touche se transforme en flop.
Il est donc question d’un film de femmes, Les Femmes au balcon, dans lequel un tabou est définitivement abattu : le droit de péter.
« Je voulais un peu casser le mystère de Marylin
en la libérant par le prout » (Noémie Merlant)
La transgression du tabou ne figure pas dans la bande-annonce, heureusement. Le canard d’Anne Sinclair précise le message :
Dans ce film aux influences résolument féministes, la réalisatrice a choisi de représenter les pets des personnages principaux, allant à l’encontre de l’injonction de la femme parfaite. « Je voulais un peu casser le mystère de Marylin (Monroe) en la libérant par le prout », a expliqué Noémie Merlant sur le plateau de Quotidien sur TMC ce mardi 3 décembre. L’une des trois colocataires, Élise, est en effet inspirée de la star hollywoodienne, érigée en figure de la femme objet, toujours plaisante dans le regard des hommes, l’archétype de la femme fatale et séductrice, « quelque chose qui fait fantasmer ».
On l’aura compris : il s’agit de faire dé-fantasmer les hommes, de les repousser à l’image du putois avec ses prédateurs éventuels. La femme ne doit plus être attirante, sinon on risque d’avoir envie de lui faire des bébés et ça risquerait de repeupler la France naturellement. Pour ça, on a l’immigration de masse et l’avortement, depuis les lois Simone, vous savez, sainte Simone.
La réalisatrice Noémie Merlant est passée chez la Barthès pour faire la promo du proutisme et niquer le patriarcat.
Quotidien recevait hier Noémie Merlant
Elle faisait la promo de son film où il s’agit de « découper le patriarcat en petits morceaux »Résultat l’émission s'effondre par rapport à la veille : - 660 000 téléspectateurs
Soit 1 1915 000 largement battu par Cyril Hanouna : 2 270 000 pic.twitter.com/EFA0v5Hgwm— Destination Télé (@DestinationTele) December 4, 2024
On vous épargne l’émission entière. Pour le reste, Noémie ne devrait pas tarder à découvrir la dure loi du Splendid.
On illustrera cette chronique culturelle par une note politique sociétale signée Mila, qui devance en quelque sorte les désirs de Noémie.
"pet contenu, furoncle au cul." pic.twitter.com/vhhsRoJZD3
— Arthur Sapaudia (@ArthurSapaudia) September 23, 2024
On a retrouvé les trois actrices au QI de 150 (en cumulé)