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Noël, toujours sous les coups de boutoir de la culture de l’effacement

En ce 24 décembre, le sujet est d’actualité. Cela fait déjà de nombreuses années que l’on constate l’effacement (le fameux cancel de la cancel culture) de tout ce qui peut y avoir de chrétien dans cette fête... chrétienne ! Que reste-t-il, à part un vieux barbu en rouge Coca-cola, des sapins et des rennes, le blabla habituel sur le vivre ensemble et surtout beaucoup de consommation ?

 

En tout cas, c’est justement cette Cancel culture qui en prend un coup, la veille même du réveillon de Noël, avec un Donald Trump qui fait une annonce terriblement fasciste : « désormais il n’y aura plus que deux genres : les hommes et les femmes » ! Les journalistes de BFMTV frisent la syncope, admirez :

 

 

Mais malheureusement, Trump n’est pas encore le président du Monde (Poutine non plus, hélas). De nombreux pays tentent depuis quelques années d’effacer les marqueurs chrétiens de cette fête célébrant la naissance de Jésus, au nom de la laïcité. Cela n’a aucun sens puisqu’il s’agit originellement d’une fête chrétienne.

 

 

C’est peut-être aussi pour ne pas offenser les autres religions de plus en plus présentes sur le sol national ? Comme le rappelait hier notre premier ministre (sic !) François Bayrou, en France il y aussi les citoyens « qui ne sont pas de la religion qui était, il y a quelques temps encore, dominante en France ». C’est donc acté, le christianisme – en particulier le catholicisme – n’est plus la première religion de France ?!

 

 

Qu’on se souvienne de toutes ces tentatives (souvent réussies), en général à l’instigation des mairies écolo-socialos de grandes villes, de faire disparaître les crèches, d’invisibiliser une croix un peu trop ostentatoire ou encore de renommer... Noël ! A Londres, c’est exactement ce qu’il se passe aussi (vidéo ci-dessous en anglais, sous-titres anglais disponibles sur X/Twitter).

 

Quand le marché de Noël devient « Winter come together » (que l’on pourrait traduire par « L’hiver nous rassemble ») :

 

 

Soyons positifs, tout ces délires vont s’autodétruire comme le capitalisme doit s’autodétruire (il met du temps, cependant...). D’ailleurs, le vent commence à souffler, et l’on entend un doux chant d’hiver, qui vient balayer cette chienlit woke :

 

Joyeux Noël !

Pour ce soir, pour le réveillon !

 






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67 Commentaires

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  • #3469866
    Le 24 décembre 2024 à 21:02 par Koussikoussa Paix Sur Vous
    Noël, toujours sous les coups de boutoir de la culture de l’effacement

    Nimrod, personnage biblique et roi légendaire de Mésopotamie, est souvent associé à la fondation de Babel et à la rébellion contre Dieu. Mais au-delà de la Bible, les traditions et légendes entourant son nom sont nombreuses. Selon certaines sources, Nimrod aurait été un roi tyrannique qui a établi le premier grand empire terrestre. Sa puissance et son influence étaient telles qu’il se serait proclamé divin.

    Après sa mort, sa veuve, Semiramis, aurait perpétué son culte. Pour légitimer son pouvoir et consolider la mémoire de son défunt époux, elle aurait affirmé que Nimrod n’était pas réellement mort, mais qu’il avait été divinisé, devenant le dieu-soleil. Dans cette version des faits, un symbole de sa renaissance aurait émergé : un arbre à feuilles persistantes qui, selon la légende, serait apparu miraculeusement sur sa tombe.

    Cet arbre, souvent interprété comme un sapin, devint un symbole sacré, associé à la vie éternelle et à Nimrod ressuscité. Chaque année, des rituels étaient pratiqués autour de cet arbre pour honorer sa mémoire et célébrer son "retour".

    Lorsque le christianisme s’est répandu, ces traditions païennes ont été progressivement intégrées et réinterprétées pour s’adapter aux nouvelles croyances. Le sapin, autrefois symbole de Nimrod et des anciennes coutumes, est devenu un emblème chrétien, célébrant la naissance du Christ.

    Ainsi, l’arbre de Noël que nous décorons aujourd’hui est l’héritier d’un long parcours historique et symbolique. Derrière ses guirlandes et ses étoiles scintillantes, il porte une mémoire plus ancienne, celle d’un roi ambitieux dont l’histoire s’est mêlée aux traditions des peuples.

     

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    • #3470000
      Le Décembre 2024 à 09:14 par humour (je précise pour ceux qui sont encore bourrés de la veille
      Noël, toujours sous les coups de boutoir de la culture de l’effacement

      Ou alors c’est le solstice d’hiver. Et le sapin représentant la force qui ne perd pas ses "feuilles" en hiver, correspond à la famille dans sa chaumière chauffée.

      Mais oui, l’argumentation complètement tirée par les cheveux et forcée de Nimrod tient beaucoup plus la route. D’ailleurs, comme chacun sait, le culte de Nimrod était encore très pratiqué dans l’Orient Romain, aux alentours du IIIeme siècle ap J-C...

      (PS : je déconne, le sapin est un symbole très récent de Noël et quasi-personne sait qui est Nimrod, puisqu’on arrive même pas à dater le gars qui est juste un nom dans la Bible. On ne sait même pas si Nimrod a existé, puisqu’on son nom signifie grosso modo "rebelle" et qu’il est associé à l’épisode de la Tour de Babel. Donc Nimrod, c’est à 90% du symbole historico-religieux et peut-être 10% de gars qui a vraiment existé. Enfin, tout le monde se fout du sapin jusqu’à l’époque moderne, ça existait pas au Moyen-Âge, c’est arrivé à l’époque moderne et ça venait pas de Perse).

      Quand on cherche la vérité, il faut toujours privilégier les démonstrations qui nécessitent le moins d’explications. Il est donc plus logique que le sapin de noël soit un symbole d’une chrétienté "sociale" et "festive", plutôt qu’un obscur héritage religieux d’un très ancien roi babylonien à peine connu, et à peine authentifié.

       
  • #3469867

    pas de crèche dans un lieu public mais Hannouca est célébré sur une place publique à Paris. cherchez l’erreur...

     

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  • #3469872

    Le vieux grigou qui singe saint Nicolas au profit de Coca Cola, qui vient réduire la Nativité du Christ en fête de la consommation et de l’égoïsme, c’est déjà bien une récupération et une perversion de la fête chrétienne.
    Et cela remonte à l’invasion culturelle américaine en 1945.
    Quand cela se conjugue avec la déchristianisation volontaire de la majorité de nos contemporains qui ont crus à l’émancipation morale et au sexe sans règle il y a une génération, et cela ne s’est pas ralenti depuis, on peut dire qu’on arrive à un terme du reniement de notre identité spirituelle et de la soumission à l’esprit du monde.

     

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    • #3470003

      @robert, vous avez compris, le vieux grigou qui singe saint Nicolas, pour le plus grand profit de la société de consommation, même si cela date de 1945, lorsque les américains l’ont importé en europe, puisque le père noel existe, en amérique, depuis le 19è siècle, mais c’est surtout la société de consommation des années 80, les années fric, ou’ la consommation était déjà forte, que le cher père noel, en est devenu l’emblème.

       
  • #3469908

    Les fougères sont les plus anciennes plantes,
    et les plus alambiquées (non, pas l’ alambic)

    Ceci explique peut être le bordel ambiant.

    Comment se fait il que la plante la plus ancienne soit la plus complexe,
    et la moins à même de justifier de sa complexité ?

     

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  • #3469922

    Quelqu’un pourrait donner la partition de "Douce nuit" à l’organiste de Notre Dame ?
    Si y’a des droits d’auteur, je veux bien mettre 100 francs dans le nourrain.

     

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    • #3470001

      @yann, " silent nacht" traduit en français par " sainte nuit, douce nuit" date de 1818, créée par un moine autrichien, qui est une pure merveille, mais il ne faut pas la donner à l’organiste de Notre Dame, qui n’est plus très chrétienne.

       
  • #3469942
    Le 25 décembre 2024 à 06:52 par Thebluehorse
    Noël, toujours sous les coups de boutoir de la culture de l’effacement

    Maudissez satan ! Célébrons la naissance du fils de Marie, et prions pour tous ceux qui souffrent.

     

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  • #3470034

    J’en rajoute une couche à certains commentaires de mes camarades car c’est extrêmement important.

    Noel n’est effectivement PAS une fête chrétienne. En fait c’est la seule fête célébrée sur tout le territoire, avec la fête de la Saint Jean (à une moindre échelle) que l’église catholique n’a pas réussie à supprimer.

    Noel célèbre effectivement le renouveau de la lumière, c’est à dire qu’initialement il marque le solstice d’hiver, comme la Saint Jean le solstice d’été.

    L’arbre de noel (aussi bien la buche de noel que le sapin), symbolisent le feu qui était autrefois alimenté pendant 1 semaine ou deux en continue (le calendrier était changeant donc le nombre de jour aussi), et qui ne devait jamais s’éteindre jusquà la date de la nouvelle année, c’est à dire le 1er janvier pour nous maintenant.

    Le Père noel nous vient des pays nordique, et symbolise Odin sur son traineau, avec Sleipnir son cheval à 8 pattes ... qui deviendront 8 chevaux, puis 8 reines. Qui affronte l’obscurité dans le ciel et qui rapporte la lumière en gagnant son combat. Combat qui dure depuis le solstice d’hiver jusqu’à l’équivalent du 1er janvier.

    L’église catholique qui a pourtant essayé durement, n’a jamais réussi à supprimer le sapin de Noel ni le père noel.

    Noel (Julle ou Noel pour les langues latine), est célébrée dans toute l’Europe depuis 10 000 ans.

    C’est la fête primordiale de notre civilisation.
    Noël a englobé la religion chrétienne, et non l’inverse. Jésus est devenu pour les chrétiens l’apporteur de lumière à la place d’Odin ou d’autres représentations.

    Personne ne peut effacer Noel de notre mémoire collective, c’est une mémoire Adn-énique.

     

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    • #3470205
      Le Décembre 2024 à 20:09 par The blue horse
      Noël, toujours sous les coups de boutoir de la culture de l’effacement

      La première preuve archéologique de la célébration du solstice d’hiver, se trouve à Karahan Tepe en Turquie. Elle date d’environ 10 000 ans avant Jésus-Christ.

       
    • #3470642

      @the blue horse

      La preuve qui te fait plaisir, peut-être, pour le reste, l’équinoxe d’hiver est célébrée par une multitude de peuples depuis la nuit des temps.
      La tradition de l’arbre de noel et du père noel sont par contre purement européenne. Ces traditions viennent des celtes et des scandinaves.

      Le fait de la célébrer par le Feu qui brûle l’arbre (feu symbolisé par les guirlandes et boules de noel "le sapin qui brille de 1000 feux") et apporte la lumière prend une signification beaucoup plus intense chez nous les nordiques, pour une raison purement pratique : l’hiver avec son froid donc l’absence de culture et la perte de la durée d’ensoleillement nous affecte évidemment bien d’avantage que d’autres populations.

      Entre autres exemple, on peut prendre la Chine. Qui faite bien évidemment l’équinoxe d’hiver, mais nulle arbre de noel ni pere noel ;) (même si eux aussi, et surtout pour les chinois "originel" de la moitié nord, connaissent tres bien les hivers froids et longs)

       
  • #3470064
    Le 25 décembre 2024 à 12:17 par Xavier Jaffré
    Noël, toujours sous les coups de boutoir de la culture de l’effacement

    De toute manière et c’est à savoir, les chrétiens ne sont pas morts du tout. En fait, nous sommes une véritable armée secrète prête à se soulever le jour où il le faudra.
    Je crois en la France profonde où nous avons encore de bons chrétiens. Nous sommes toujours la majorité, jamais ils ne pourront nous écraser voir nous éteindre. Nous sommes plus de français que d’étrangers en France et donc plus de chrétiens que d’autres religions. Nous devons juste nous lever et nous rassembler. Et vous verrez qu’ils vont vite se taire et même à reculer. Tout simplement dans la paix du Christ.

     

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  • #3470252

    Le marché de Noël n’avait de toutes façons aucune raison d’être. Noël c’est la nativité, le renouveau, la vie qui reprend le dessus. Le "marché" c’est l’antithèse de ça. On ne célèbre pas la naissance de Celui qui a chassé les marchands du temple en se rendant justement au marché. Qu’ils aillent au diable.

     

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    • #3470375

      Tu parles des marchés de Noël en France, sors un peu. En Allemagne et Autriche ce sont des Chrstkindlmarkt (marché de l’enfant Jésus). Et joyeux Noël se dit Frohe Weihnachten, "joyeuse sainte nuit", on est loin des "joyeuses fêtes " de la "fille aînée de l’église " !

       
  • #3471011
    Le 27 décembre 2024 à 15:42 par Arc non démocratique et meurtrier
    Noël, toujours sous les coups de boutoir de la culture de l’effacement

    Je retiens la 1ère de BFMTV qui essaie de stigmatiser ceux qui pensent qu’il n’y a que 2 sexes à enseigner à l’école avec 47 meurtres sur 400 millions d’Américains normaux.

    Remplacez "2 sexes" par n’importe quoi de droite ou de conservateur, et vous aurez la matrice de tout les médias grand public, et de tout les messages que reçoivent les enfants gaulois.

     

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