J’ai regardé un "live" de ce jeune homme et d’une de ses collaboratrices. Ces deux-là ne cesse d’affirmer leur qualité de "journaliste", de parler de "leur métier". Le tout filmé à l’arrache. Scénarisation de l’underground dissident d’antan, quoi. Leurs enquêtes "coups de poings" dans des quartiers remplacés sont des provocations sous couvert de "militantisme". En réalité, la "doxa dissidente" est en phase terminale de récupération.
Mais moi, Charles Gaves et consorts ne m’inviteront pas chez eux pour prendre le thé. Je n’aurai pas d’invitation pour voler jusqu’en Hongrie et tendre un micro aux VIP du droitardisme européen.
Ces gens-là, tous, se servent de notre envie de dégager les racailles et autres migrants pour détruire notre "modèle social". Mais au bout du compte nous aurons toujours les racailles et ce sont les petits blancs qui vont payer avec leur chair. Il n’y aura pas de marche arrière. La France d’aujourd’hui et encore plus celle de demain, elle est définitivement multi-culti.
Cette doxa pseudo-dissidente est à combattre.
Je préférais les youtubbeurs amateurs qui sortaient des énormités, dans leur piaule, il y a quelques années. C’était tellement plus créatif et vivant que ces faces de petits-bourges pistonnés.
Quand je vois ce mec tendre son micro à des "vendeurs de clopes" algériens qui baragouinent à peine trois mots de français, j’ai mal. Ce mec, il connait quoi de la rue ? Quoi de la galère ? Quoi de ce qui se passe dans la réalité quand tu n’as rien, ni formation, ni argent, ni culture. C’est inscrit sur sa face son "privilège blanc", ses pistons, le cocon familial etc.
A choisir, je préfère le blédard.
Cette "dissidence intégrée et récupérée", je commence à bien la vomir.
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