Nommée directrice de la rédaction de Marianne au moment de son rachat par le milliardaire tchèque Daniel Křetínský, la journaliste qui est loin d’être au chômage Natacha Polony (LCI, C8, France Inter, Sud Radio) a mis les bouchées doubles nationales-sionistes en consacrant le dernier numéro de l’hebdomadaire à la « quenellisation des esprits » !
Un dossier (complètement creux et automatisé) en Une et sur plusieurs pages dédié aux « amis des négationnistes et des ayatollahs, les extrémistes Alain Soral et à l’ex-humoriste Dieudonné ».
Rappelons que Marianne (dont les principaux actionnaires sont Yves de Chaisemartin, Maurice Szafran, Paul Lederman, Guy Sitbon, Thierry Verret, Franck Ullmann) bénéficie d’importantes aides financières de l’État et que, malgré cela, le magazine a été placé en redressement judiciaire et en plan social en 2017. Tué par sa trahison de la question sociale, le journal originellement « de gauche » mise désormais sur le national-sionisme pour subsister.
Certainement complexée par rapport à son mentor Éric Zemmour, la maçonne sans tablier liée au Comité Laïcité République (courroie de transmission idéologique du Grand Orient de France) compte donc en faire des tonnes pour exister... et pour faire oublier ses rapports avec Stéphane Blet, pianiste et auteur Kontre Kulture.
C’est ainsi que la « souverainiste » d’origine polonaise qui dit vouloir lutter contre le communautarisme et les lobbies (lesquels ?) ose déplorer gravement la non dissolution d’E&R par Emmanuel Macron, dans son « duel » avec Gilles Finchelstein (remplaçant de Raphaël Glucksmann) !
On imagine que ce n’est qu’un début, l’« élite » montrant son vrai visage à mesure que la crise avance.
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