Washington ne démord pas de la thèse selon laquelle le coronavirus est parti d’un laboratoire de Wuhan, et que la Chine aurait pu éviter l’épidémie. Après Donald Trump jeudi, son chef de la diplomatie Mike Pompeo a déclaré à son tour dimanche avoir connaissance de « preuves immenses ».
(...)
« Il existe des preuves immenses que c’est de là que c’est parti », a insisté le secrétaire d’État américain sur la chaîne ABC, refusant de dire s’il pensait que le virus avait été libéré intentionnellement par Pékin.
(...)
Mike Pompeo a par ailleurs dit regretter le manque de coopération des autorités chinoises afin de faire la lumière sur l’origine de la pandémie.
« Ils continuent d’empêcher l’accès aux Occidentaux, aux meilleurs médecins », a-t-il dénoncé. « Il faut que nous puissions aller là-bas. Nous n’avons toujours pas les échantillons du virus dont nous avons besoin. »
Lire l’intégralité de l’article sur ouest-france.fr