@Peter
Gardez vos sarcasmes pour vous, j’ai l’impression de débattre avec un ado.
Maintenant que j’ai évacué 80% de votre message, je vais m’attaquer à ce qu’il en reste, une comparaison hasardeuse.
Père et mère vous dites ?
Ça veut dire que ceux qui n’ont pas deux passeports sont orphelins d’un parent au moins ?
La double-nationalité ( ou la ’’ double-culture ’’ comme disent les Élites-médiatiques) pose le problème de la double-allégeance.
C’est le fond du propos.
Dans un pays qui fonctionne bien, la question ne se pose pas.
Traditionnellement, et dans des pays homogènes ethniquement, le peuple fait bloc, et la question ne se pose pas.
Encore dans les années 60’s la question ne se posait pas.
Et dans les pays où elle se pose, ceux qui ont rallié le mauvais camp doivent faire un choix regardez le sort réservé aux Harkis.
Vous savez quel sort leur était réservé en Algérie après la guerre ? Vous imaginez si des Harkis ou des pieds-noirs étaient restés sur le sol Algérien ?
Impossible d’y remettre les pieds sans se faire insulter. Et dans un sens, je le comprends.
C’est tout le problème posé ici. Vous prenez tout ça avec beaucoup de légèreté.
Je vous ai très bien lu, ici et sur d’autres publications, vous prenez systématiquement le parti de l’immigré.
Il est normal que des Français, de souche ou assimilés, soient inquiets de voir autant de bi-nationaux sur leurs sols.
On est même pas sûr d’être en sécurité sur notre propre sol si un jour ça devait chauffer militairement entre l’Algérie et la France.
Si les images des Champs-Élysées cet été, avec des types scandant ’’ Vous nous avez colonisé, c’est à notre tour ’’ ne vous ont pas affolé, c’est peut-être que votre place est effectivement de l’autre côté de la Manche ou de la Méditerranée.
Moi je n’ai qu’une seule patrie, si demain ça pète, j’ai pas d’autres passeports m’offrant un pays de repli.