Bon excuse-moi, je vais être un peu brutale :
Mahorais et Comoriens ne font que faire ce qui est dans leur atavisme.
ce que tu décris de la forme sociale à Mayotte est typique de toute zone du monde habitée majoritairement par des noirs, que l’on parle de l’Afrique du Sud ou de Detroit. Les sociétés noires organisées sur des bases autres sont l’exception. Toute société noire présente un taux de violence extraordinairement élevé par rapport à une société asiatique ou blanche (même les plus violentes parmi ces dernières).
A partir de là, 2 solutions :
soit on intervient et on est amené à faire régner un ordre social qui n’est pas le leur, ça fonctionne moyen et en plus ça nous coûte un pognon monstrueux (je te rappelle que la colonisation, qui a consisté à faire, entre autres, ce que tu préconises, nous a coûté plus qu’elle ne nous a rapporté). Et ça finit toujours par nous retomber sur la tronche.
soit on s’en tape et on se borne à faire en sorte qu’ils ne nous approchent pas (ils adorent faire la manche auprès des blancs mais adorent aussi haïr les blancs surtout quand ils vivent près d’eux).
Départementaliser Mayotte a été une erreur monstrueuse.
Les hausses fiscales que tu te prends servent aussi à payer la facture Mayotte et à financer là-bas : des infrastructures, des écoles qui ne les intéressent pas, des allocations pour tous (avec lesquelles ils achètent préférentiellement un écran plat mais surtout pas des chaussures ou des cahiers à leur marmaille), les maternités (pour que toute l’Afrique vienne y accoucher ?), l’équivalent CMU...
De deux choses l’une : soit il y a de la valorisation à faire à Mayotte et c’est une colonie de Français qui le fera (avec protection adéquate), soit il n’y en a pas et dans ce cas on peut conserver la propriété de ce territoire mais on arrête les frais et surtout on coupe toute route d’immigration (de Mayotte vers France incluse).
Mais les prendre en main, comme tu le proposes, d’une part entre en contradiction avec leur façon de faire, d’autre part ne nous conduira qu’à mettre de plus en plus d’argent et à finir par faire le boulot nous-mêmes mais pour pourvoir à leurs besoins. Je préfère un deal clair : là c’est vous, là c’est nous et pas touche les uns les autres.