Mathieu a un ami imaginaire, il s’appelle Alain. Alain ne veut pas de cette amitié mais Mathieu le marque à la culotte du matin au soir. Mathieu vit sur le dos d’Alain, et pourtant, il se plaint tout le temps de lui ! En fait, Mathieu lutte pour le maintien de l’oligarchie en place, Alain pour la libération du peuple français. Normal que ça achoppe, des fois.
Victimisation et mendicité
Pour combler le trou financier chronique de StreetPress, ce site sans stats, Mathieu utilise les menaces de morts qu’il aurait reçues (« y a des périodes c’est que 3 ou 4 par semaine ») pour se victimiser et faire passer son officine de délation pour un vrai site d’information et d’enquêtes qui serait l’objet de toutes les menaces des ennemis de la liberté.
Le problème, c’est que son job, objectivement, consister à persécuter et dénoncer les têtes de série des patriotes français. C’est ça qui énerve les patriotes des réeaux sociaux (que nous ne commandons pas), pas le fait que StreetPress soit une officine sioniste. Il y en a tellement, on finit par ne plus y faire attention. Imaginez une antenne d’E&R en Israël qui viserait du matin au soir les patriotes locaux, dénonçant les nationalistes religieux...
Avec les menaces et insultes qui lui pleuvent sur la tête et qui restent au stade de l’écrit, c’est toujours moins douloureux qu’un licenciement pour résistance, Mathieu cherche à se faire passer pour un résistant à une menace qui serait fasciste. Hélas, le fascisme, s’il existe, est celui du parti dominant qui ne partage pas, cette ligne socialo-sioniste qui tient le pouvoir depuis 40 ans, depuis l’avènement de la gauche, la droite n’y ayant par intermittence rien changé. Alors le prestige du résistant, pour un Mollard bien du côté du manche, il repassera.
On sait tous que son site n’est pas financé par ses lecteurs, comme nous. Pour ça, il faut travailler dur, produire de l’information, rester dans le réel, pas planer dans un imaginaire tortueux et victimaire. Récemment, Mathieu a fait une vidéo pour accuser ceux qu’il persécute de... persécution. Dans son monde à l’envers, les collabos sont des résistants et les résistants des collabos. C’est effectivement plus confortable : on est du côté du manche, de la répression, de l’Argent, et on joue les victimes. Le beurre, l’argent du beurre et le cul de la crémière, et tout ça, sans souffrir.
Dans cette vidéo datant de janvier 2022, Molard qualifie Faits & Documents de « feuille de chou » avec « des trucs qui sont lus par 200 ou 300 personnes ». S’il savait...
Quand Molard parle de « l’extrême droite », il faut traduire, car il n’est pas contre l’extrême droite militaire au pouvoir en Israël. « Extrême droite » veut dire ici patriotes français. Là, tout s’éclaire. Nous vous invitons donc à regarder la vidéo du site pour abrutis Konbini avec cette traduction en tête.
Si Molard était vraiment journaliste, il élargirait sa palette, et ne ferait pas que des articles dénonçant les patriotes en général et Soral en particulier. Il parlerait, par exemple, des machines à voter au Brésil, de l’état dramatique de la psychiatrie publique française, des faux migrants mineurs venus d’Afrique, des églises qui brûlent par miracle, des subventions publiques aux officines communautaires françaises, des réseaux pédophiles dans le show-biz, de la persécution des Gilets jaunes, ou des soignants et pompiers suspendus...
On nous dit dans l’oreillette que StreetPress et Mollard ont travaillé sur les Gilets jaunes, bon point ! Attendez, on nous dit aussi que le sujet était les antifas contre les fachos...
Le bon point, il est dans le docu sur la répression d’État contre les valeureux Gilets jaunes, et là on applaudit. Ça c’est du boulot, et on n’est pas ironiques : on salut confraternellement le travail. Même si ce doc n’est pas exempt d’une pointe de racisme antiflics... C’est le côté extrême gauche qui est ici valorisé, alors que les Gilets jaunes mêlaient justement au départ gauchistes et patriotes, France sociale et France nationale.
Mathieu, quand il abandonnera son obsession antifrançaise, et qu’il se concentrera sur les vrais sujets qui font du bien aux gens, et pas à l’oligarchie, alors il ne recevra plus de menaces, il aura des lecteurs, pas 200 ou 300, il aura des soutiens d’en bas mais plus d’en haut, et il aura quelques ennuis avec l’oligarchie. C’est ça, la marque des vrais enquêteurs, ou chercheurs de vérités.