Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Marseille : 300 "antifascistes" contre 80 militants de l’Action française

Qui agresse qui ?

D’un côté, 80 militants de l’Action française, réunis pour leur rentrée, de l’autre 300 riverains et antifascistes qui souhaitent leur départ du quartier.

 

 

[...]

Côté royalistes de l’Action française, on déplorait des attaques telles que « le jet d’une grenade à fragmentation, d’acide et le dépôt de balles de Kalach’ dans la boîte à lettres », comme le détaillaient Luc et Anna, les deux porte-parole. Lesquels évoquaient aussi la dernière rixe en date – la qualifiant même de « véritable tentative de meurtre » – survenue dans la nuit de vendredi à samedi, et de laquelle deux de leurs militants qui surveillaient le local sont sortis avec fractures des bras et plaies au crâne, sans que pour l’heure la police n’ait pu déterminer les responsabilités. « Ils veulent nous éradiquer mais nous, on n’a rien contre eux, on a même des points communs comme l’anti-capitalisme, des orientations sur le temps de travail... », glissaient-ils. Un sentiment peu partagé par les « antifas », au vu des accointances avérées entre les nostalgiques de Maurras et certains groupuscules de l’extrême droite la plus radicale.

 

Lancer la vidéo pour constater l’inversion accusatoire et la réécriture de l’histoire antifascistes :

« Pas de fachos dans notre quartier, pas de quartier pour les fachos »

Le rendez-vous avait été fixé : d’un côté, par les militants de l’Action française – venus de toute la région – qui annonçaient par des affiches leur réunion de rentrée ; de l’autre par leurs opposants de la Plaine, via un événement Facebook. Si celui-ci a attisé l’intérêt de près de 900 internautes, ce sont environ 300 militants de gauche, sympathisants et autres riverains du quartier qui sont venus hurler leur souhait de voir les identitaires plier bagage du secteur et de ce local, rue Navarin (6e arr.), acheté il y a deux ans.

 

 

Lire l’intégralité de l’article sur laprovence.com

Les « antifas » empêchent la jonction naturelle et traditionnelle
entre la question nationale et la question sociale,
lire chez Kontre Kulture :

En lien, sur E&R :

 






Alerter

38 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #1576419

    A quand une petite descente chez bhl ? !

     

    Répondre à ce message

  • #1576458
    Le 10 octobre 2016 à 23:36 par STEF de MARS
    Marseille : 300 "antifascistes" contre 80 militants de l’Action (...)

    Un antifa, c’est un gauchiste avec un QI négatif.

     

    Répondre à ce message

  • #1576552
    Le 11 octobre 2016 à 06:42 par alunissons
    Marseille : 300 "antifascistes" contre 80 militants de l’Action (...)

    Ces antifas sont autant de bombes à retardement réglées par l’oligarchie du pays.

     

    Répondre à ce message

  • #1576561

    Franchement, que ces jeunes abandonnent le terrain et se replient dans des régions plus patriotes. Marseille c’est du suicide. Laissez donc antifas et immigrés entre eux. C’est triste à dire mais un français n’a plus sa place dans cette ville. On essaie pas de retenir un édifice qui tombe.

     

    Répondre à ce message

    • #1576669

      Pas si sûr. J’ai vécu longtemps à Marseille, il y a bien sûr énormément de Magrébins (à mon avis pas loin des 40% dans le centre-ville), mais il y subsiste aussi une importante classe populaire blanche qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle se trouve surtout en périphérie de la ville, mais pas seulement. C’est la dernière grande ville française qui ne soit pas boboïsée. Il existe une culture marseillaise ancrée et fière, pas du tout dans la repentance. En revanche La Plaine où s’est installée l’AF est le seul quartier de la ville qui regroupe beaucoup d’antifas ou punks à chien ! A part ça les gauchistes n’y sont pas grand chose, surtout comparé à des villes comme Rennes par exemple.
      La fierté marseillaise est instinctive, en revanche je n’ai jamais entendu parler de royalisme là-bas.

       
    • #1577368

      Pouvez-vous nous indiquer les notions suivantes :

      Un immigré ?
      Un Français ?

      Car je suppose que dans le mot immigré il y a le mot d’origine étrangère, même s’ils sont Français.

      Ne mélangez pas tout, votre nationalisme est rattaché au blanc, donc communautaire donc raciste.
      Si vous reprochez quelque chose aux antifascistes commencez par argumenter, et à montrer ce qui n’est pas acceptable chez eux. Peut-être que le seul argument que vous avez c’est l’antifascistes qui défend l’immigré. Sachez qu’à Marseille les enfants d’immigrés sont Français. La réconciliation n’est pas pour demain et avec vos propos, en tant que Française Musulmane, je m’orienterai naturellement vers des personnes qui aiment les autres, leurs prochains, ce qui n’est pas votre cas.

       
    • #1577758

      Anonyme : sauf que si guerre civile il y a, les français d’origine étrangère, et surtout si musulmans, à votre avis, ils vont se sentir toujours français ou ils iront dans le camp qui les arrangera finalement ?? Et c’est en cela que la communauté est dangereuse, et les blancs comme vous dites, n’ont jamais fonctionné en tant que communauté, d’autant plus que la france est blanche, au même titre que les chinois sont jaunes, les africains noirs, etc.... et aucun racisme la-dedans, juste un constat historique.

       
  • #1576576

    Ils paniquent :

    Alors que la France patriote se réveille...

    ...Les anti-fas sont en voie de disparition !

     

    Répondre à ce message

  • #1576580
    Le 11 octobre 2016 à 09:04 par Patriote syndiqué
    Marseille : 300 "antifascistes" contre 80 militants de l’Action (...)

    Les antifas, la tourbe du milieu syndical et social, voilà qui ne fait aucun doute. Par contre, de là à dire qu’ils empêchent" la jonction naturelle entre la question sociale et la question nationale"... mouais... c’est à mon sens leur donner trop d’importance, et cette jonction, même à la grande époque de Berth et du cercle Proudhon, elle s’est faite entre quelques individus, jamais de manière massive et pourtant à l’époque les antifas, non plus que les "fas", n’existaient.

     

    Répondre à ce message

  • #1576582
    Le 11 octobre 2016 à 09:09 par Patriote syndiqué
    Marseille : 300 "antifascistes" contre 80 militants de l’Action (...)

    Pour compléter mon premier message, si on peut gloser à l’infini et se moquer, avec raison, de la faiblesse doctrinale des "antifas", on peut tout autant rire des "roycos" issus en général de la bourgeoisie, qui n’ont jamais travaillé de leurs mains et qui parlent du peuple qu’ils ne connaissent pas en sortant la carte "joker", pardon "union nationale", à chaque fois que la lutte des classes est abordée.

     

    Répondre à ce message

  • #1576629
    Le 11 octobre 2016 à 10:33 par jacquesdechante
    Marseille : 300 "antifascistes" contre 80 militants de l’Action (...)

    Le paillasson miné du mouvement libéral-libertaire : l’antifascisme. Globalement, tout le capital est représenté et il va de la bulle du chewing-gum inutile mais effective( bobo-médias)à la bulle de 8,6° salutaire de lumpenprolétariat ( sous-prolétariat). Le tout en une arme de destruction massive de la conscience collective et plus particulièrement de la strate radicale visant l’émancipation totale du prolétariat.
    En résumé le capitalisme n’est qu’une bulle de violences et de mensonges mais aux yeux du public attablé tous les soirs au 20h, il reste encore dans ses aspirations oniriques une sorte de parenthèse enchantée, une belle promesse, un lendemain meilleur.
    Il y a un nécessaire équilibrage entre l’humanisation et l’hominisation...Cet équilibrage est par contre la mort des plus faibles et des plus forts ( les dominants de la meute doivent être anéantis). Le désir d’une société pacifiée passe par l’élimination des rugosités. L’acide, créé par le capitalisme et ce en la substance des allocataires et des bénéficiaires du RSA, est la lame de fond sociale et moralisatrice qui attaque tout ce qui lui résiste. Voila ce qui arrive quand on confit la constitution à des barbares illuminés et avides de pouvoirs et de luxe ! Ils intiment l’ordre aux esclaves les plus dépendants de leur système à mourir pour sauvegarder leur condition de vie misérable. Et entretenus de la sorte, ils en deviennent très virulents car complètement aliénés par la faim, la soif et leur dignité qui se confond avec celle du chien.
    Le capitalisme a fait de l’orgueil son cheval de bataille, laissant l’amour à la seule résignation du moins mal- vivre. Il suffit de voir la gueule de Hollande lorsqu’il est tribun pour s’apercevoir en un regard de ce qu’est la résignation du moins mal-vivre, cette tête de condamné puante de faiblesse mais qui pourtant incarne le pouvoir.

     

    Répondre à ce message

  • #1576652

    La gauche a renoncé à la révolution politique et sociale depuis le virage libéral des socialistes en 1983 et la longue agonie du PCF qui s’ensuivit. Elle a aussi abandonné toute idée d’internationalisme, car aujourd’hui l’électeur moyen de gauche crache sur les "dictateurs" arabes progressistes (Assad, Kadhafi) et n’est même plus choqué de voir le régime de Hollande entretenir les meilleures relations qui soient avec l’Arabie saoudite ou le Qatar. Comme il est totalement indifférent pour ne pas dire hostile chez certains, à la révolution bolivarienne latino-américaine. Que reste-t-il donc à cette gauche pour croire qu’elle existe encore ? L’anti fascisme. Revivre virtuellement la guerre civile espagnole des années 1930 avec des drapeaux noirs et rouges de la CNT, c’est finalement assez rassurant. Ca leur permet de s’auto-persuader que le cadavre putréfié de la gauche bouge encore. Et tant pis s’ils n’ont pas compris que la guerre civile qui annonce le conflit majeur qui vient se passe en Syrie et non plus en Espagne. Interrogez-les sur la Syrie, ils vous répondront qu’Assad est la réincarnation de Franco et que les jihadistes takfiris sont les nouvelles "brigades internationales". Preuve qu’ils ne comprennent rien à l’époque dans laquelle ils vivent
    Laissons les morts enterrer les morts !.

     

    Répondre à ce message

  • #1577293

    Toujours cette manie de vouloir empêcher ceux qui ne pensent pas comme eux de manifester, les "Antifas" .....
    Et pourtant ils se considèrent comme de parfaits démocrates !!!

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents