Dans le genre inversion accusatoire avec son livre d’avertissement sur le « fascisme », cette grande démocrate est en marche pour le podium.
Avec ses mains pleines de sang, cette menteuse et voleuse invétérée devrait être non pas à la place du juge mais de l’accusée. Pourquoi le tribunal international ne la condamne-t-il pas pour toutes les saloperies qu’elle a faites et assumées ?
Cette femme au masque de haine est aussi répugnante à l’intérieur qu’à l’extérieur.
Cette traduction (E&R) nous apprend surtout que le pouvoir profond ne renonce jamais.
L’ancienne secrétaire d’État Madeleine Albright a déclaré : « De tous les présidents de l’histoire des États-Unis que j’ai étudiés, Donald Trump est le plus antidémocratique. »
Albright, dont le nouveau livre Fascism : A Warning paraîtra dans les prochains jours, a déclaré lundi à la National Public Radio que les États-Unis sous Trump ne remplissent pas leur rôle de chef de file de la démocratie dans le monde.
« Je suis convaincue de la ténacité de la démocratie aux États-Unis, et du fait que les gens sont sceptiques vis-à-vis de ce qui se passe actuellement. Mais, ce qui me fait peur, c’est que rien n’est jamais vraiment acquis », a-t-elle déclaré.
Pour Albright, les offensives de Trump contre le système judiciaire, le processus électoral et les minorités, tout comme sa volonté de discréditer les médias, témoignent de ses pulsions antidémocratiques.
« Le témoin doit témoigner, comme on dit. Or, je suis témoin de choses que d’autres pays ont connues. Il faut donc, selon moi, non seulement témoigner, mais agir », a-t-elle déclaré. Puis d’ajouter : « Nous avons pris l’habitude de croire le président. Ce qui m’inquiète, c’est sa façon de déformer les choses. Les gens le croient sur parole, puisqu’il s’agit du président, alors que ce sont des mensonges délibérés. »
L’ancienne haute diplomate du gouvernement Clinton avait déjà critiqué Trump par le passé, notamment l’année dernière lorsqu’elle déclara que son « mépris de la diplomatie » avait causé le départ de nombreux membres du département d’État [= ministère des Affaires étrangères, NDT] et mis en danger « la sécurité nationale ».