C’est François Ruffin, bien avant de devenir député, qui interroge un financier eurocynique. Ce dernier explique, tout sourire, que si François Hollande – qui sera élu dans la foulée – n’obéit pas à la loi du Marché, il subira une forte pression, ce qui dessine l’arrivée ou la fabrication d’un homme politique plus eurocompatible. Celui-là parachèvera l’alignement de la France sur le néolibéralisme de l’Union européenne. Nous sommes en mars 2012, juste avant l’élection du pseudo-socialiste François Hollande, « l’adversaire de la finance »... La vidéo prouve que Macron n’a pas atterri là par hasard : il a été placé par des forces même pas occultes.
« Dans les marchés, on ne va pas s’embarrasser de finasseries, on va aller directement au point. Donc, de rouler les électeurs français, c’est un mot peut-être excessif... »