Quand on est dans l’erreur, et qu’on persiste, est-ce de la folie, ou une stratégie ? Ils veulent vraiment la guerre ? Qu’ils la fassent ! La stratégie macronienne et européenne est perdante, à tous points de vue. Et ce sont encore les peuples européens qui vont payer les pots cassés par ces Folamour.

Errare humanum est, perseverare autem diabolicum

L’UE, à la traîne des démocrates américains tendance Clinton-Obama (avant leur convocation à la rentrée) et de l’OTAN depuis toujours, s’enfonce dans une crise morale, économique et politique sans précédent ni fin. On peut dire qu’elle n’existe plus, pour les pays émergents, qui regardent ailleurs.

D’ailleurs, Poutine, en marge de ses rendez-vous obligatoires de Washington, prend langue avec les leaders du Sud global, ce nouveau monde qui ne demande qu’à vivre et à se développer, si possible en paix, et sans les leçons de morale déplacées des pseudo-démocrates européens qui sont tous déglingués moralement.

Macron, qui n’existe plus sur le plan international, et que plus personne ne prend au sérieux après expérience, tente la menace de la guerre européenne contre la Russie, qui ne discute même plus avec l’entité européiste et ses paquets de sanctions à effet rétro. Il reste les mots, creux, les attitudes, ridicules, comme cette main dans la poche en signe de rébellion à côté de Trump pendant le photo call.

La paix, un « désastre » pour BHL

Il faut voir la rage du vampire-philosophe devant la perspective d’une paix, quelle qu’elle soit, avec un découpage de l’Ukraine qui est acté depuis dix ans déjà. L’Ukraine ne s’appartient plus depuis que l’OTAN et la CIA ont mis la main sur ce malheureux proxy, tout juste bon à freiner le réveil de la puissance russe.

Face à cela, l’Europe, ou l’Union du même nom, est la trahison exacte de tous ses idéaux de départs, le ver – américain – étant déjà dans le fruit.

Ségolène Royal flingue la diplomatie erratique de Macron

Cette posture hostile est contre-productive. Ce n’est pas soutenir la paix que de commencer à parler à la place des autres. La diplomatie consiste justement à faire changer d’avis les protagonistes, sauf si le souhait non dit c’est que la guerre continue pour faire diversion sur les difficultés nationales. Les postures conseillées par les mauvais conseils en communication sont catastrophiques . Ce sont des solutions qu’il faut apporter, des propositions, pas du dénigrement. Un accord c’est toujours un compromis et négocier ce n’est pas capituler. Les peuples veulent la paix, en premier et massivement le peuple ukrainien, et on doit les aider. Les dirigeants doivent suivre les peuples, pas leur propre pulsion. Ceux qui veulent la guerre sont toujours ceux qui savent qu’ils ne risquent rien. L’économie européenne a déjà payé un lourd tribut, il faut aider les efforts de paix, c’est notre intérêt. Les egos doivent s’effacer devant la tragédie humaine de la guerre, que l’Europe aurait pu empêcher si elle n’avait pas suivi aveuglément l’administration Biden et les errements de l’OTAN de l’époque. Elle aurait dû s’interposer comme force de médiation. Cette opportunité étant hélas derrière nous, soutenons les efforts de paix d’où qu’ils viennent sans calcul ni arrière-pensée car c’est difficile.

Contribution : pourquoi l’Union européenne ne veut pas la paix

Après le sommet d’Alaska entre Donald Trump et Vladimir Poutine, l’ancien président américain a immédiatement fixé un rendez-vous crucial avec Volodymyr Zelensky pour ce lundi 18 août 2025.

Dès cette annonce, une réaction coordonnée a secoué Bruxelles, Paris, Berlin et Londres : les élites européennes ont exigé que Zelensky soit le seul autorisé à négocier les territoires. Mais là se cache le mensonge central.

Le problème de légitimité de Zelensky

 Les élections présidentielles d’avril 2024 en Ukraine ont été annulées par Zelensky lui-même, sous prétexte de guerre.
 Si un accord de paix est signé, l’état d’urgence prend fin → Zelensky n’est plus président légitime.
 Juridiquement, ce serait donc au prochain président élu de négocier les territoires. Et ça, les mondialistes européens le savent parfaitement. Mais ils s’accrochent à Zelensky parce qu’il est leur pion docile.

Pourquoi une paix réelle fait trembler les élites

Un accord de paix sonnerait la fin d’un immense système de prédation :
 Macron & von der Leyen verraient leur rhétorique « résistante » s’effondrer.
 Starmer et Merz, tout juste élu, apparaîtraient sans stratégie.
 Marc Rutte à l’OTAN passerait de « chef de guerre » à bureaucrate inutile.

La guerre permet aujourd’hui :

 Des rétro-commissions massives sur les armes et l’énergie.
 Une peur permanente pour pousser l’Europe vers une fédération totalitaire.
 Une justification pour saigner les peuples européens par l’impôt et l’inflation.

La paix, c’est l’effondrement de leur pompe à fric.

La panique des élites mondialistes

 Les réactions hystériques des dirigeants européens montrent une panique totale.
 Ils ne veulent pas la paix.
 Ils veulent un cessez-le-feu, un simulacre qui leur permet de continuer la guerre par d’autres moyens.

Comme dans 1984 d’Orwell : la guerre doit être permanente pour justifier le contrôle et la répression.

Et si la guerre continue sans les Américains ?

Trump a été clair :

 Les États-Unis n’assureront que la logistique.
 Les Européens devront payer eux-mêmes et acheter… des armes américaines.

Résultat :

 Facture astronomique pour les peuples européens.
 Impôts, austérité et dettes pour financer une guerre qu’ils n’ont pas voulue.
 Racket géopolitique assumé : Washington vend les armes, l’Europe paye la note.

Et si la paix devient réalité ?

L’Ukraine sortira en ruines :

 Économie effondrée.
 Infrastructures détruites.
 Dépendance totale à l’aide extérieure.

Qui paiera ?

 Les contribuables européens via Bruxelles.
 Les contribuables américains via le FMI et la Banque mondiale.

Qui profitera ?

 Les grands fonds financiers comme BlackRock, déjà positionnés pour rafler la reconstruction.
 Les multinationales américaines qui transformeront l’Ukraine en marché captif.

Conclusion

La manœuvre est claire :

 Trump avance sa stratégie avec ruse : d’abord un tête-à-tête avec Zelensky à 13h00, puis seulement à 15h00 une réunion avec les Européens.
 Poutine a mis les choses au clair : « Pas de négociation des territoires avec Zelensky, car il n’est plus légitime en cas de paix. »
 Les mondialistes européens, eux, ne veulent pas la paix. Ils veulent la guerre éternelle, car c’est leur fonds de commerce, leur machine à détruire les peuples et à renforcer leur pouvoir sous le drapeau de l’UE fédérale.

La vérité est là : la paix mettrait fin à leur racket. Voilà pourquoi ils la sabotent.