Emmanuel Macron est sous pression. Pas celle des Gilets jaunes, celle de l’État profond. Pris en tenaille entre l’affaire Benalla et l’affaire Finkielkraut, le président de la République a-t-il cédé aux injonctions liberticides du lobby israélien lors du 34e dîner du Conseil représentatif des institutions juives de France ?
L’affaire Benalla et l’affaire Finkielkraut ont cela en commun qu’elles sont deux événements [1] surexploités par le lobby israélien en France pour contraindre Emmanuel Macron et le pouvoir exécutif. Les contraindre à quoi ? À s’aligner sur les intérêts et les directives d’un réseau inquiet de la montée de la contestation populiste en France et nerveux à cause de sa perte de pouvoir à l’international.
En clair les sionistes veulent que la France adopte totalement leur vision des choses, c’est-à-dire le soutien militaire et économique indéfectible à l’État d’Israël et la soumission idéologique à la théorie du choc des civilisations.
Mais ce prétentieux de Macron ne l’entend pas de cette oreille, il a été mis en poste pour une autre mission : achever la pressurisation économique de la France dans le cadre d’une unification fiscale à visée transatlantique. Et depuis son élection de mai 2017, l’euromondialiste Macron résiste relativement aux demandes incessantes et totalitaires des atlanto-sionistes...
Demandes incessantes et totalitaires qui sont explicites : dissoudre les « groupes constitués qui prêchent l’antisémitisme » (E&R, la communauté musulmane, les Gilets jaunes ?), restreindre la liberté d’expression sur Internet, pénaliser l’antisionisme. Des demandes explicites mais anti-populaires au possible et juridiquement intenables... Sauf à basculer complètement dans la dictature communautaire.
Si Macron n’a toujours pas cédé malgré la pression, ce n’est pas qu’il soit un fervent défenseur de la cause antisioniste, c’est que le représentant de Rothschild en France a, contre toute attente, bon espoir de rester en place.
Une certaine frange de l’oligarchie tient en effet à reprendre la barre en orientant la contestation populaire et sociale vers le national-sionisme, cette arnaque identitaire et raciale. Une autre frange mise sur la dénationalisation et la désocialisation des revendications du peuple soit une réduction de la dimension révolutionnaire à l’escroquerie antifasciste et sociétale.
Dans les deux cas (Marine Le Pen et l’union des droites zemmouriennes d’un côté, Jean-Luc Mélenchon et sa VIe République progressiste et maçonnique [2] de l’autre), la République communautaire sera sauvée et les veaux français seront bien gardés.
Sauf que face à ces incertitudes et ces calculs, Macron et son entourage se disent qu’ils ont encore les moyens de tenir.
L’avenir nous dira prochainement si l’État profond ira jusqu’à remplacer ce président ultra égocentrique qui risque de livrer en pâture les « élites » à la colère du peuple...
Si Macron refuse encore de se Vallsiser (donc d’affirmer son ultrasionisme) et de se Sarkozyser (donc de masquer son ultralibéralisme), il y a fort à parier que le quarantenaire prophète de la win attitude se fasse lâcher en rase campagne avant de se faire lyncher en centre-ville.
L’affaire Benalla est à ce titre plus qu’emblématique. Quelques heures avant son discours au dîner du CRIF, le président de la République a été directement pointé du doigt par la commission d’enquête du Sénat qui a parlé de « dysfonctionnements majeurs » au sommet de l’État. L’ex-collaborateur d’Emmanuel Macron était donc en détention provisoire et passible de poursuites au moment où son patron était sommé de prendre des mesures fortes contre l’antisémitisme... Sans compter la saisine de la justice sur les déclarations des principaux collaborateurs du Président, à commencer par Patrick « Monsieur flashball » Strzoda.
Il revient désormais au bureau du Sénat de décider des suites judiciaires à donner. C’est donc Gérard Larcher, président de la haute assemblée et premier remplaçant de Macron en cas de destitution/démission, qui a la main. Figure de l’establishment français (comprendre la franc-maçonnerie) et intime de Sarkozy, le protestant par conversion Larcher a certainement dû écouter du premier au dernier mot l’allocution présidentielle aux côtés d’autres élus.
Malgré les envolées lyriques et intellectuelles (Jupiter 1er se prend pour un philosophe), on a senti l’auditoire décontenancé, déçu. On peut même imaginer que ceux qui attendaient « des actes et des lois » grincent des dents. Car en dehors de la communication sur un ton grave et solennel, malgré les déclarations sur « une résurgence de l’antisémitisme inédite depuis la Seconde Guerre mondiale », le chef d’État a temporisé en repoussant les mesures liberticides exigées.
Une proposition de loi destinée à « lutter contre la propagation de propos haineux sur Internet » sera bien déposée devant le Parlement au mois de mai 2019. Mais comme cela paraît loin et abstrait pour les tenants hystériques de la sanctuarisation communautaire ! [3]
Le Président a également annoncé la mise en œuvre « prochaine » par la France de la définition de l’antisémitisme à laquelle œuvre l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste. Une définition qui implique des dispositions qui définissent comme « antisémite » le fait de tenir collectivement les personnes de confession juive pour responsables des actions de l’État d’Israël ou le fait de nier le droit à l’autodétermination des juifs. « L’antisionisme est une des formes modernes de l’antisémitisme » a-t-il déclaré, les yeux mouillés.
Enfin, il a demandé au ministre de l’Intérieur « d’engager des procédures visant à dissoudre des associations ou groupements qui par leur comportement nourrissent la haine, promeuvent la discrimination ou appellent à l’action violente ». Trois organisations ont été explicitement mises en cause par Emmanuel Macron : Bastion social, Blood & Honour Hexagone et Combat 18...
Pas de dissolution d’E&R, pas d’emprisonnement pour Alain Soral et Dieudonné, pas de loi pour criminaliser l’antisionisme ! À quoi sert de mobiliser tous les médias pour créer une ambiance de terrorisme de masse si c’est pour quelques mesurettes ? Décidément les prochaines semaines vont être étouffantes pour le plus jeune président de la Ve République qui n’a pas l’air de comprendre où se situe son intérêt.
En attendant que Macron craque ou se fasse éjecter, la pression belliciste sioniste est toujours présente et elle ne s’exerce pas seulement sur le sommet de l’État. Hier, l’homme soupçonné d’avoir proféré des injures à caractère antisémite envers Alain Finkielkraut était décrit comme un « musulman pratiquant, proche des milieux salafistes, radicalisé ». Ce même jour, un « historien spécialiste des mouvements sociaux » indiquait sur TF1 que l’un des « agresseurs » d’Alain Finkielkraut était proche de Dieudonné. Un mensonge de plus auquel l’artiste a répondu :
Surtout, la volonté de faire taire les leaders de l’insoumission politique française, au premier rang desquels Alain Soral et E&R, ne faiblit pas, au contraire elle s’hystérise. Les persécutions s’intensifient à mesure que le Système vacille et nous entrons dans une période de turbulences inédites.
Soyons-en sûrs, tout sera fait pour empêcher la jonction naturelle et effective entre les Gilets jaunes et l’analyse soralienne des différentes strates de la domination oligarchique.
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