@ Ole,
Merci pour ton commentaire.
Pour reprendre ce que je disais dans le mien : ne soyons pas cyniques -penser tout de suite que ce témoignage est bidon- mais juste vigilants -pourquoi et comment ce genre de témoignage peut-il nous parvenir ?
Des analyses de son langage corporel ont été faites et elles donnent des résultats positifs quand à la sincérité de cet homme. Je crois d’ailleurs moi-même qu’il est sincère.
Cependant l’analyse du langage corporel n’est pas une science exacte et ce que je crois n’est qu’une opinion subjective.
Tu parles du nombre et de la cohérence de ce genre de témoignage, effectivement c’est un très bon paramètre à prendre en compte. Mais quand tu parles d’esprit honnêtes qui reconnaissent la vérité, désolé, là on retombe dans l’appréciation subjective.
Oui, ce qu’il décrit existe et le public averti le sait très bien.
On peut même récapituler :
Les services secrets sont des acteurs importants voire principaux dans la criminalité de très haut niveau.
Les masses sont manipuléees par des techniques d’ingénieurie sociale.
Le trouble de la personnalité qu’est la psychopathie a eu un impact incommensurable sur l’humanité.
Les sacrifices rituels existent bel et bien.
Les doctrines du mal sont pratiquées par certaines élites.
Ces doctrines vénèrent la récompense matériel.
Elles cherchent à recruter et à créer des psychopathes.
On pourrait continuer ainsi cette liste et même plus en détail, ce serait instructif.
Ensuite, on doit aussi se demander :
Pourquoi a-t-il été torturé au lieu d’être tout simplement éliminé ?
Pourquoi n’a-t-il pas été exposé aux sacrifices rituels avant d’arriver à un si haut niveau ?
A-t-il trouvé une manière de se protéger contre son meurtre, comme par exemple avec des documents qui feraient surface dans le cas d’une mort violente ?
A-t-il donné de nouvelles informations qui nous font avancer ?
Quels sont les résultats de ce témoignage -de portée virale dans la toile- sur la communauté de la résistance au NOM ?
Vous voyez, il faut arrêter de penser de manière binaire (j’aime/j’aime pas, vrai/pas vrai) parce que c’est comme ça qu’on se fait manipuler, et ceci depuis trop longtemps.
Il faut mesurer les implications de cette confession pour voir s’il pouvait y avoir éventuellement un désir pervers derrière celle-ci.
Même si on retrouve le bonhomme "suicidé" demain, il faudra se demander comment "on" a pu le laisser vivre jusque là en encourant le risque de le voir parler.