Assa Traoré, animée par une haine tribale inextinguible (on se demande quel est son modèle) pour la France, les Français et l’État français, continue, grâce au soutien du pouvoir profond et des médias socialo-sionistes, à détériorer la justice et la police françaises.
On se demande sincèrement où sa haine racialiste et sa soif de vengeance s’arrêteront : jusqu’à la dissolution de tout le corps de la gendarmerie ? Jusqu’à l’obtention d’une indemnité à vie pour elle et sa fratrie bourrée de délinquants ? Jusqu’à un poste de secrétaire d’État à la discrimination positive des minorités opprimées par l’homme blanc fasciste ?
En ces temps de bien-pensance nocive et de faillite de l’État, désormais représenté par une bande de kapos corrompus, plus rien n’est impossible.
Les trois gendarmes accusés d’avoir provoqué la mort d’Adama Traoré avaient porté plainte pour atteinte à la présomption d’innocence contre la sœur du défunt après que celle-ci les avait accusés en divulguant leurs noms. Ils ont perdu le procès et devront lui verser 2000 euros, indique la décision judiciaire partagée par Assa Traoré.
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Les trois militaires avaient intenté un procès suite à la diffusion de cinq messages sur la page Facebook « La vérité pour Adama » entre le 19 septembre et le 19 novembre 2019. Ils avaient été nommément accusés de meurtre envers Adama Traoré, alors que l’enquête est toujours en cours.
Objectant la présomption d’innocence, les intéressés ont eu recours au juge des référés en décembre 2019 pour faire retirer les messages accusatoires et obtenir le versement de 15 000 euros de dommages et intérêts à chacun d’eux, ainsi que le remboursement des frais pour cette procédure judiciaire.
Cette demande a été déclinée et qualifiée de procédure abusive, selon le jugement signé le 3 juillet, qui semble apparaître sur ce cliché :
« Il serait inéquitable de laisser à la défenderesse la charge des frais irrépétibles qu’elle a dû exposer ».
Un versement de 2000 euros à l’attention d’Assa Traoré a été statué « en application de l’article 700 du code de procédure civile ».
En légende, celle-ci a qualifié la décision de « victoire » pour son clan et a exprimé sa résolution à continuer de « dénoncer ces trois gendarmes [...], qui ont écrasé Adama Traoré avec le poids de leur corps ».
Pour elle, le jugement rendu est « un camouflet » et « une humiliation judiciaire pour ces gendarmes ».
Ce procès fait partie de la bataille engagée par la sœur d’Adama Traoré, mort en 2016 à la suite d’une interpellation à Beaumont-sur-Oise. Épaulée par une vingtaine de proches et de militants, elle réclame « vérité et justice » pour son frère, dénonçant les violences policières et le racisme. Plusieurs expertises médicales et contre-expertises ont eu lieu dans le cadre de l’enquête en cours.