Le Covid-19, s’il avait été soigné par des traitements qui ne coûtent rien, n’est qu’une banale maladie – même si son agent, le coronavirus, n’est probablement pas qu’une banale mutation mais plutôt un artefact de laboratoire. Mais obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) est impossible pour un médicament (un vaccin est un médicament au sens des textes en vigueur) qui n’a pas terminé les protocoles de tests obligatoires et au parcours dument fléché. Reste l’AMM conditionnelle qui, comme son nom l’indique, est aussi conditionnée par l’inexistence de toute alternative thérapeutique. C’est bien pour cela qu’il fallut qu’il n’existât point de traitement, jamais.
On ne le répètera donc jamais assez, mais cette conditionnalité est la preuve, le canon encore fumant de l’arme du crime – le smoking gun des anglophones –, que la finalité de toute cette mythologie autour du SARS-CoV-2 était dès l’origine, le vaccin. Bien sûr d’autres raisons ont motivé le projet ou tout simplement, d’un point de vue moins complotiste, sont venues s’agréger à l’inespéré virus : fichage des citoyens, numérisation du monde, flicage, contrôle des populations, etc.
Les parties importantes sont soulignées en gras par nous (NDLR)
du 29 mars 2006
relatif à l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de médicaments à usage humain
Article 4
Exigences
1. Une autorisation de mise sur le marché conditionnelle peut être accordée lorsque le comité constate que, bien que des données cliniques complètes concernant la sécurité et l’efficacité du médicament n’aient pas été fournies, toutes les exigences ci-après sont satisfaites :
a) le rapport bénéfice/risque du médicament, tel que défini à l’article 1er, point 28 bis), de la directive 2001/83/CE, est positif ;
b) il est probable que le demandeur pourra fournir par la suite les données cliniques détaillées ;
c) le médicament répond à des besoins médicaux non satisfaits ;
d) les bénéfices pour la santé publique découlant de la disponibilité immédiate du médicament concerné sur le marché l’emportent sur le risque inhérent au fait que des données supplémentaires sont encore requises.
Dans les situations d’urgence visées à l’article 2, paragraphe 2, une autorisation de mise sur le marché conditionnelle peut être accordée, moyennant le respect des exigences énoncées aux points a) à d) du présent paragraphe, également lorsque les données précliniques ou pharmaceutiques sont incomplètes.
2. Aux fins du paragraphe 1, point c), on entend par « besoins médicaux non satisfaits » une affection pour laquelle il n’existe pas de méthode satisfaisante de diagnostic, de prévention ou de traitement autorisée dans la Communauté ou, même si une telle méthode existe, pour laquelle le médicament concerné apportera un avantage thérapeutique majeur aux malades.
Ce qu’on peut donc avancer avec une grande certitude, car ce sont de simples faits, c’est l’opposition radicale et immédiate qu’il fut fait à tout traitement. Aussitôt que le professeur Raoult (LE grand scientifique français dont on louait toutes les compétences et la renommée internationale à longueur de plateaux de télévision à peine quelques mois auparavant), aussitôt donc que celui-ci proposa un traitement à base de molécules banales et peu chères, il fut voué aux gémonies instantanément. Et pourtant à l’époque aucun vaccin n’existait et on savait que plusieurs années étaient nécessaires à leur édification, leurs tests puis leur mises sur le marché.
À partir de ces premiers mois de 2020, toute proposition de traitement qui ne relevait pas du doliprane et du repos dans son lit – avant l’hypoxie heureuse, l’étouffement, la mise sous respiration artificielle inutile, la réanimation et la mort – fut écarté de manière parfaitement agressive, signant ici une double volonté évidente : faire peur par l’égrainage des morts qu’une telle politique entraîne nécessairement et parallèlement maintenir une absence totale d’alternative thérapeutique au vaccin.
Ainsi donc, lorsque les vaccins apparurent, sortis miraculeusement et à une vitesse jamais vue des laboratoires, l’AMM conditionnelle fut demandée et donc aussitôt acceptée par les gouvernements, mais aussi par les populations épouvantées de ces morts par absence de traitement. Le vaccin est la cause finale de l’aspect pharmaceutique de toute cette histoire.
Mais alors les dégâts particulièrement nombreux engendrés par cette crise sanitaire sont tout sauf sanitaires. Bien sûr, il y eut des morts du Covid-19, mais (hors obésité, grande vieillesse ou comorbidités) essentiellement par manque de soin !
Les vrais ravages sont ailleurs, car même quelques dizaines de milliers de morts (et encore les chiffres sont abusivement généreux) ce n’est rien en comparaison des dégâts sociaux entraînés : suspension de salariés non vaccinés, contraintes sur les déplacements ou sur les corps, guerres intra-familiales, soupçons entre collègues, tensions entre individus dans l’espace social, dépressions, troubles anxieux généralisés, psychotropes (légaux ou illégaux), suicides, etc.
Les diverses forces à l’œuvre derrière tout ce montage, qu’il soit organisé ou qu’il se soit mis en place par le regroupement d’intérêts communs politiques ou financiers, ont sacrifié des millions d’individus pour leur agenda.
Cette courte vidéo en est une des dernières illustrations en date. Anecdotique en soi, mais significative du degré de folie atteint par des citoyens devenus complétement fous en raison de la peur instillée dans leur conscience depuis des mois. Qui n’a pas connu l’expérience d’un individu conformiste vous demandant de bien remettre votre masque sur le nez ou faisant un pas de recul quand vous lui dîtes que vous n’êtes pas vacciné ?
Le Covid-19 est un billard à plusieurs bandes où le virus n’est que la première : indispensable au résultat final mais sans intérêt propre.