Décidément, la dénonciation est dans leur ADN. Les pseudo-journalistes de StreetPress auraient fait de bons collabos en 42, pour dénoncer les juifs et les communistes. Aujourd’hui ils s’en prennent à la branche nationale & sociale que nous représentons.
Maintenant que les choses ont un peu changé, ils dénoncent les principales cibles du pouvoir du jour, à savoir Égalité & Réconciliation et Kontre Kulture. Ces auxiliaires fouillent partout, toutous collés à nos basques, retournent les tiroirs à la recherche du papier ultime, de la preuve, de mouvements d’argent insolents... Pourtant, les vrais flux financiers ne sont pas chez nous, ils sont chez leurs soutiens ! C’est la Haute Banque et tous ses employés serviles qui s’en prennent à notre petit business !
Ils ont appelé la Banque postale pour en savoir plus sur notre discrimination économique.
Hélas, les médiocres limiers de StreetPress n’ont rien déniché, du coup ils ont replacé trois paragraphes de leur livre-enquête (un romanquête à la BHL) sur Soral, et n’ont pu que relayer bêtement, la queue basse mais frétillante, la censure bancaire que subit notre mouvement.
On ne va pas se le cacher, c’est matériellement désagréable. De plus, si on lit bien nos confrères de StreetPress (repris par Libération-Rothschild), on ne devrait pas gagner d’argent. Enfin, ce que les procès nous laissent, ou laissent à Alain Soral. Non seulement c’est de l’argent durement et dûment gagné, mais en plus, il faudrait y renoncer parce que nous ne sommes pas du bon côté du manche ! Seuls les riches ont droit à l’argent. Suivez notre regard...
La vie est plus facile chez les collabos de StreetPress, qui sont du bon côté du manche, et qui s’en servent. Malheureusement, personne ne lit leur e-torchon, et c’est nous qui les sauvons du néant éditorial. Sans nous, que deviendraient-ils, qui dénonceraient-ils ?
Heureusement, tout se retourne, et quand la Libération arrivera, StreetPress devra fermer ses portes. Mathieu Molard (l’auteur de la délation du jour) sortira de l’officine sous les huées et les crachats. D’un geste chevaleresque, nous empêcherons alors la foule en colère de le raser ou de lui faire des trucs un peu trop cochons. Grands seigneurs !
Voici maintenant les découvertes des enquêteurs téléphoniques de StreetPress. Accrochez-vous, les révélations vont vous secouer.
Jointe par StreetPress, La Banque Postale confirme la clôture imminente des différents comptes. Elle précise que le contrat signé au moment de l’ouverture dudit compte lui permet de le fermer, sans avoir à donner d’explications. Nous n’en saurons pas plus quant à leurs motivations. Sont concernés par ces clôtures les comptes détenus par la société Culture pour tous et l’association Égalité & Réconciliation.
Comme il n’y a pas grand chose à se mettre sous la dent, on ressort du réchauffé avec, faute de mieux, de l’extrapolation :
« En 2012, elle déclarait un chiffre d’affaires de 640 400 euros. Les années suivantes, l’entreprise s’est affranchie de l’obligation de communiquer ses résultats. Mais un relevé détaillé de son compte courant [celui-là même qui va être clôturé], portant sur octobre 2014, révèle que, ce mois-là, elle a encaissé 170.000 euros. (…) Ce qui, sur un an, équivaudrait à plus de 2 millions d’euros de chiffre d’affaires. »
On rappelle à ce stade de la compétition, comme ça, en passant, que BHL possède une fortune estimée à 100 millions d’euros, et que le Canard enchaîné est assis sur un matelas à peine plus maigre. on dit ça comme ça, pour donner un ordre d’idées des masses... Pourquoi BHL et le Canard ? Parce qu’ils appartiennent à la famille de pensée de StreetPress, celle de la délation pour le pouvoir profond.
La fin de l’article fait lever un immense espoir chez les antifascistes autoproclamés, qui sont les fascistes d’aujourd’hui, délateurs et protégés. Protégés par la police, la justice, et le pouvoir politique, profond ou pas.
« Alain Soral disposait, à compter de début septembre 2017, de 60 jours pour trouver une autre banque susceptible de l’accueillir. Mais la rente de son facho business n’est visiblement pas la bienvenue dans les banques françaises : selon Égalité & Réconciliation, en 2013, ils auraient contacté 6 établissements différents, afin d’y ouvrir des comptes. Aucun n’avait accepté. »
Le feuilleton StreetPress contre E&R et Alain Soral continue. Qu’ils ne se réjouissent pas de la disparition, peut-être, un jour, d’E&R et de Kontre Kulture : ils pointeront au chômage avec leur job de délateurs devenu inutile. Quant à nos idées, elles diffuseront sous les radars et deviendront, par effet d’interdit, cent fois plus puissantes. On parie ?
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La réponse de Mathieu Molard, le bien nommé :
Les sbires de Soral n'aiment décidément pas qu'on parle de son tiroir-caisse... :) https://t.co/euXEE7lnRv
— Mathieu Molard (@MatMolard) 3 octobre 2017
La réponse de la Rédaction d’E&R à Mathieu :
On préfère mille fois être les « sbires » d’Alain Soral et souffrir de et pour la liberté d’expression que d’être les sbires de BHL et sa clique qui essayent de privatiser ou détruire la liberté d’expression (des autres) !
Pour en savoir plus et aider Alain Soral :