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Les pauvres ne veulent pas du végan : ils veulent de la viande

Ces pubs sur TikTok pour les buffets à volonté illustrent plusieurs choses. Vous ne pensez tout de même pas qu’on allait vous balancer ces clips juste pour le plaisir des yeux ou du ventre.

 

 

Le boom du buffet à volonté est le signe d’une société qui se replie sur elle-même et sur les fondamentaux : la bouffe, la famille et la maison. Il faut d’abord survivre en période néolib, synonyme de chaos social.

Pour la majorité des Français, manger bien, c’est-à-dire cher, devient un problème quasi insoluble. Alors, si on ne peut pas voler dans les supermarchés, surveillés comme des complotistes par la police politique, il reste à privilégier la quantité sur la qualité. D’où le buffet. On ne vient pas manger dans un restaurant en amoureux, on vient se remplir la panse pour deux ou trois jours, façon python.

 

 

En avant les pythons !

Dans ces vidéos qui pullulent sur Tok, pas de place pour les cinq fruits et légumes à la con : on se rue sur la prot’ et le sucre, rapide et lent. Le reste, c’est pour les bobos.

 

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Pendant ce temps, à contre-temps, nos élites essayent de nous ôter le goût de la viande. Elles ont raison, c’est le Diable qui nous demande de manger des insectes à la place...

 

 

Est-ce que vous vous rappelez de la start-up qui était en pointe dans la fabrication de farine d’insectes ? On avait lancé un sale buzz en révélant que le Système voulait nous faire bouffer du ver de vase pulvérisé en douce, tout ça parce que l’élevage foutait prétendument la planète en l’air...

Eh bien la plus grosse société française en la matière en termes de levée de fonds – Ynsect – est proche du dépôt de bilan. C’est Schwab, Soros et Gates, qui voulaient nous faire manger de la merde, qui vont être contents ! Certes, il y a 200 emplois en jeu, mais c’est pas de notre faute. Heureusement, cette usine pilote se situe à Amiens. Gageons que le Château lui donnera sa chance...

Ynsect crée en 2011, emploie actuellement 214 salariés en France, dont une quarantaine sur l’usine de Damparis près de Dole, le reste à Amiens dans la Somme où a été construite une grande ferme verticale de 48.000 m2. Ynsect, est implanté aussi à Evry en région parisienne pour la recherche et le développement. Ynsect comptait encore 360 salariés il y a deux ans, avec une antenne aux Pays-Bas et dans le Nébraska, détaillent Les Echos.

 

La raison de ce flop n’est pas alimentaire : c’est juste que les investisseurs volages ont lâché le scarabée pour l’IA. Quand on voit que Trump a mis 500 milliards de dollars sur la table pour enfoncer les Chinois et DeepSeek...

Malgré tout, le Système médiatico-politique n’en démord pas : les pauvres ne doivent plus manger de viande. Le Monde, toujours à la pointe du fayotage et du relais oligarchique, nous explique ça :

Dans cet article, on voit que ce sont les ados qui sont les plus influençables pour la propagande.

« Quand on parle de plats végétariens à certains de nos clients, on s’entend parfois répondre qu’ils ne sont pas des oiseaux et des mangeurs de graines. » Carole Galissant, directrice de la transition alimentaire chez Sodexo, a bien conscience que, selon que l’on s’adresse à des collégiens et lycéens, à des résidents d’Ehpad, à des entreprises, à des établissements pénitentiaires, etc., les messages ne peuvent pas être les mêmes. À des adolescents préoccupés par l’environnement, la présentation de menus « bons pour la planète » paraîtra très attractive. De leur côté, les personnes âgées seront plus facilement convaincues de se tourner vers des assiettes végétales si l’on insiste sur les atouts pour la santé et la nécessité de manger plus de fruits et légumes frais. Les plus attachés à leur entrecôte seront, eux – peut-être –, tout simplement séduits par un plat appétissant. « On doit adapter nos messages et faire autant de scénarios qu’on a de clients », explique la nutritionniste.

Pas sûrs que les douze millions de Français touchés de près ou de loin par la pauvreté seront sensibles au message de restriction oligarchique. On ira dans un des buffets à volonté pour voir de nos propres yeux ce que les Français préfèrent manger.

Mais avant cela, ce second paragraphe du Monde qui sent très fort l’agenda 2030...

C’est parce que l’alimentation est au croisement des enjeux de lutte contre le réchauffement climatique et l’érosion de la biodiversité, de protection de la santé, de lutte contre les inégalités sociales, mais touche aussi au plaisir et à la convivialité, que l’Institut pour le développement durable et les relations internationales (Iddri), associé à l’Institute for Climate Economics (I4CE), présente, lundi 3 février, un travail original de prospective sur l’évolution des assiettes des Français à l’horizon 2035. Pensée comme complémentaire des nombreuses études déjà existantes sur la transition des modèles agricoles, cette analyse vise à dépasser l’idée reçue selon laquelle on ne pourrait rien faire pour faire bouger le contenu de nos assiettes et que toute action serait forcément liberticide.

Conclusion : les Français, qui sentent le rationnement arriver, focalisent sur la bouffe, la quantité et les protéines animales. Pas fous, les Gaulois.

Bonus on avait raison

L’oligarchie s’immisce dans notre assiette

 






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59 Commentaires

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  • #3487965

    le peuple mangeait d’ ordinaire , jusqu’ à l’ assassinat final de la paysannerie.. des soupes !
    alors quand on dit des soupes , il s’ agissait le plus souvent de bouillons de légumes accompagnés de viandes salées , fumées , séchées , d’ œufs , de poissons , de pain , de lait , de fromages et de fruits.. et bien sûr de gibier braconné et de champignons de saison .

     

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  • #3487973
    Le 3 février à 23:05 par Cathare VI
    Les pauvres ne veulent pas du végan : ils veulent de la viande

    Le véganisme est un caprice de riche !

    Notre société le permet car on a l’abondance du choix, soyez bien certain qu’après trois jours de jeûne un végan se jettera sur un steak s’il n’a rien d’autre à bouloter .

    Si comme moi vous êtes taquin apprenez par cœur la recette du "rotis sans pareil" qui n’est que pas moins de 17 gibiers et volailles imbriqué les uns dans les autres à la façon des poupées gigogne . Une sorte de cauchemar culinaire qui fait toujours sont petit effet en société .

     

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  • #3487974
    Le 3 février à 23:12 par Cathare VI
    Les pauvres ne veulent pas du végan : ils veulent de la viande

    Le véganisme est un caprice de riche !

    Notre société le permet car on a l’abondance du choix, soyez bien certain qu’après trois jours de jeûne un végan se jettera sur un steak s’il n’a rien d’autre à bouloter .

    Si comme moi vous êtes taquin apprenez par cœur la recette du "rotis sans pareil" qui n’est que pas moins de 17 gibiers et volailles imbriqué les uns dans les autres à la façon des poupées gigogne . Une sorte de cauchemar culinaire qui fait toujours sont petit effet en société .

     

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    • #3488245

      Vegan depuis 15 ans et tjrs pauvre.

      J’ai fait un jeune de 29 jours et aucune envie de bouloter du cadavre.
      Vous avez parfaitement le droit de manger ce que vous désirez, mais évitez de dire des conneries...
      Car je je vais penser que manger trop de viande rend bête...

       
    • #3488366

      Pareil, jeûne de 10 jours fait il y a 2 ans, et aucune envie de viande à la fin. Et avec 2 jours de jeûne sec pour commencer, sans eau, rien.

      C’est fou le niveau de biais de confirmation de certains, qui projettent leur idéologie sur la réalité, alors qu’ils n’ont jamais rien observé dans le réel à ce sujet. Ça parle sur du flan.

       
    • #3488373
      Le 4 février à 23:10 par Bisimilaye
      Les pauvres ne veulent pas du végan : ils veulent de la viande

      Genial ce thème :

      les gueux s’entre-déchirent pendant que l’on sert les petits fours à l’élysée et au sénat

      Je reprends des spaghettis à la tomate

       
    • #3488447
      Le 5 février à 08:33 par pleinouest35
      Les pauvres ne veulent pas du végan : ils veulent de la viande

      FAUX ! Enfin, pas totalement vrai.

      J’ai 69 ans, je suis "VEGAN" depuis 1974 (je ne mange que BIO), soit depuis plus de 50 ans, et je vis avec une retraite de 700 euros par mois !

      Ps : je n’ai jamais vacciné, je n’ai jamais été malade, et je ne prends aucun médicament !

       
    • #3488498

      j’ai l’expérience de l’Inde depuis plus de trente ans, et j’ai vu les transformations alimentaires d’un pays qui était végétarien plus par nécéssité que par religion on idéologie. (à part les brahmanes 5% de la population,toutes les autres castes n’ont aucun interdit alimentaire). les gens restent principalement végétariens par tradition culinaire mais ils ils mangent maintenant de la viande et du poisson deux à trois fois par semaine et cela se voit bien dans le développement des enfants : rien ne remplace les protéines animales. personnellement je n’ai rien contre le veg puisque je l’ai toujours pratiqué en Inde : mais il y a un truc de sûr : question cuisine c’est d’une pauvreté affligeante si on se passe de graisses animales (beurre crème fromage) comme les Jaïns ou les bouddhistes veg et je ne parle pas de l’immonde pseudo cuisine vegane.
      les indiens, eux, ont une cuisine veg qui utilise les produits laitiers , alors ça va : ça a du goût.
      le problème du pur veg pour le travail physique c’est que tu ne peux pas passer un repas où tu perds toutes tes forces (question de calories). sur les chantiers, tu sais que c’est midi, pas parce que tu as faim mais parce que tu n’arrive plus à être efficace, tu fatigues

       
  • #3488018
    Le 4 février à 05:23 par The blue horse
    Les pauvres ne veulent pas du végan : ils veulent de la viande

    Ceux qui souffrent d’anémie ou pertes mensuelles de sang, doivent manger de la viande à cause du fer qu’elle contient. Supplements ou injections de fer, ne sont pas aussi efficaces que de manger de la viande.

     

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    • #3488080
      Le 4 février à 08:57 par toto l’asticot
      Les pauvres ne veulent pas du végan : ils veulent de la viande

      Nos anciens utilisaient des couteaux en acier qui rouillent, ou plantaient des clous dans les pommes pour qu’ils rouillent et augmentent ainsi la quantité de fer dans leur alimentation.
      Les abats contiennent , dit on, énormément de fer. Le boudin aussi.
      P.S.:ils retiraient les clous avant de manger les pommes ....

       
    • #3488082
      Le 4 février à 09:00 par toto l’asticot
      Les pauvres ne veulent pas du végan : ils veulent de la viande

      Nos anciens utilisaient des couteaux en acier qui rouille, à chaque coupure un peu de fer était ainsi ajouté à l’alimentation. De même qu’ils plantaient des clous dans les pommes pour que la pomme récupère de la rouille.
      Les abats, dit on, contiennent plus de fer ainsi que le boudin.

       
  • #3488027

    J’ai découvert le végétarisme en même temps que René Guénon il y a une quarantaine d’années. Même dans mes périodes de disette financière comme au RMI, je n’ai jamais varié. D’ailleurs, il est plus économique d’être végétarien que carnivore, à condition d’en rester aux produits-base.
    Le véganisme est une variante moderne et progressiste du végétarisme, ce dernier étant d’une existence ancestrale. On le retrouve dans maintes religions, y compris dans le christianisme comme la congrégation des Pères Chartreux (vers Grenoble). Après cela, vouloir l’imposer à tous, c’est du totalitarisme tout comme mes gros abrutis de parents voulaient que je bouffe de la viande pour être fort et croyaient que seul le travail manuel avait de la valeur.
    Que le peuple veuille de la bidoche, du cul et des jeux, c’est son affaire. Moi et d’autres, nous marchons sur des chemins peu fréquentés mais où on rencontre tout de même : Léonard de Vinci, Michel de Montaigne, Jean de La Fontaine, Isaac Newton, Voltaire, Benjamin Franklin, Arthur Schopenhauer, Victor Hugo, Alphonse de Lamartine, Émile Zola, Richard Wagner, Henry David Thoreau, Léon Tolstoï, Jack London, Albert Einstein...

     

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  • #3488036
    Le 4 février à 06:54 par GERARD R.
    Les pauvres ne veulent pas du végan : ils veulent de la viande

    Carnation et véganisme peuvent être parfaitement compatibles. Ainsi, mon boucher, qui fabrique sa propre tête pressée, avec de bon gros morceaux de viandes et tout l’assaisonnement qui va avec. Je lui en achète un gros morceau, au moins une fois par mois. Je la coupe en grosses tranches, moi-même et je remarque qu’il y a des petits éléments verts-feuille, qui sont probablement des herbes aromatiques, sans doute du persil. Et voilà ! Je mets tout le monde d’accord. Je suis un viandard qui tolère le véganisme. Consommateurs en tout genre, que la paix soit avec nous !

     

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  • #3488064

    Mangez de la viande, et de qualité si possible !
    D’après l’Association L214, 8 animaux abattus en France sur 10 sont issus d’élevages intensifs ! Donc ne vous laissez pas berner par l’inscription "Origine France". Le mieux est vraiment d’acheter à des éleveurs "bio". Et mangez des organes, mangez toute la bête pour récupérer tous les nutriments. Préférez le foie de boeuf brouteur au foie de veau.

    Les bovins sont faits pour manger de l’herbe et uniquement de l’herbe, pas des céréales. Le fait qu’un animal soit nourri aux céréales et ne sortent pas dehors réduit sa qualité nutritionnelle, voire même change les nutriments disponibles...

     

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  • #3488136

    A ce propos j’avais vu une image totalement éloquante, dans l’une de ces réunions ou l’on prône les privations pour le peuple au nom de la planète.

    On y voit un buffet avec d’un coté des mets "végan" et de l’autre des plats de viande.
    Il n’y avait absolument personne devant le buffet végan.

    Dans ces endroits, on ne sert pas aux convives des insectes ou de la viande synthétique au déjeuner, mais bien des côtes de boeufs de la meilleur qualité .

     

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  • #3488223

    Quand les gouvernements interdisent l’essentiel, pour du superflu idéologique et onéreux, mais que le peuple veut simplement de l’essentiel par nécessité vitale et économique.

     

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  • #3488446
    Le 5 février à 08:28 par pleinouest35
    Les pauvres ne veulent pas du végan : ils veulent de la viande

    FAUX ! Enfin, pas totalement vrai.

    J’ai 69 ans, je suis "VEGAN" depuis 1974 (je ne mange que BIO), soit depuis plus de 50 ans, et je vis avec une retraite de 700 euros par mois !

    Ps : je n’ai jamais vacciné, je n’ai jamais été malade, et je ne prends aucun médicament !

     

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