Dans le cadre de nos investigations et recherches sur les caisses de Sécurité sociale, nous avons obtenu les statuts d‘APRI RSA et de la RAM, dont le directeur commun était Stéphane Lecocq (ainsi que de la GAMEX).
Ces associations à but « non lucratif » permettent aux sociétés privées d’assurance de s’accaparer la totalité du marché de la santé.
La liste est très longue nous retrouvons AXA, ALLIANZ (ex AGF), AVIVA, GROUPE AZUR, GAN, CGU FRANCE, MONCEAU, GENERALI, GROUPAMA, SWISS LIFE, MMA, etc.
Nous y retrouvons donc la société AXA.
Rappelez-vous qu’UBER offre gratuitement une assurance complémentaire santé AXA à ses chauffeurs (ils n’ont pas le choix), les chauffeurs UBER doivent se demander alors quelles en sont les vraies raisons, car souvenez-vous que l’URSSAF a perdu son procès contre UBER, voulant requalifier les chauffeurs en salariés.
On peut se demander pourquoi UBER a un accord avec la société AXA qui fait partie de la Sécurité sociale, dont il dépend directement par le recouvrement des cotisations via l’URSSAF.
UBER propose donc gratuitement aux chauffeurs professionnels indépendants une couverture en cas d’accident pendant une course et entre-temps le ministre des Transports avait donné jusqu’à fin mars 2018 aux conducteurs ne disposant pas du statut pour se conformer à la loi. Il s’agit maintenant d’une profession bien réglementée et des cotisations en conséquence sont encaissées.
La sécurité sociale est donc un pool d’assureurs privés qui mutualisent un risque. Les sociétés d’assureurs possèdent la totalité du marché de la santé.
Nous considérons que malgré la pression des lobbies sur le gouvernement (et les syndicats) qui ont permis cette situation, ceux-ci en sont les acteurs et sont donc coupables de haute trahison envers la France, permettant à des sociétés privées de s’enrichir en asphyxiant l’économie française, au détriment du bon fonctionnement de notre État.