Les féministes de Nuit Debout à Lyon sont impayables : leur discours de gauche paléolithique méritait bien un coup de pouce médiatique.
Mais on ne saurait leur tenir rigueur longtemps de ces errances de pensée. Le modèle dominant n’étant pas ce qu’on peut appeler très élevé, qualitativement. Jugez vous-mêmes...
Attention à ne pas confondre les perruches involontairement rigolotes de Rebellyon avec le magazine sérieux du même nom, ou presque. Les unes sont le copier-coller de l’idéologie dominante qui colle les jeunes dans une double impasse de pensée et d’action – ce qui explique leur rejet instinctif des idées non-alignées – tandis que l’autre propose une alternative de pensée et d’action fondée sur une connaissance précise des mécanismes sociaux, que les premières caricaturent, par incompétence et par peur de sortir des chemins balisés par la dominance. On espèce avoir été clairs.
Maintenant, admirez la phraséologie de ces jouets de la gauche caviar, qui ne mettra jamais les pieds dans la boue, elle. Nous avons mis en gras les mots et expressions caractéristiques de cette pseudo-pensée transgenre post-socialiste... Et bien sûr laissé les fautes d’orthographe (probablement de droite) à leur état originel. Pas question de retoucher ce texte historique... L’humour est chose délicate.
Hier soir, lors de la première #NuitDebout place Guichard, un groupe de féministes a décidé d’y créer un espace féministe « safe ».
Ce fut chose faite, et installé.e.s sous l’arbre à lampions, deux espaces furent mis en place côte à côte. L’un féministe et l’autre féministe intersectionnel (contre les oppressions de race, classe, genre).
Pourtant, quelques heures après leur installation, elles sont prises à partie par quelques hommes blanc aux revendications sexistes. Ceux-ci vont alors agresser verbalement les groupes féministes de manière très violente et les sommer à se justifier sur les pancartes ou étaient affichées des slogan prônant la non-mixité.
Ces masculinistes ont ensuite vociféré dans le micro à quel point ils assumaient leurs « couilles et leur bites » et que ces regroupements féministes n’était qu’une division communautariste qu’il fallait combattre !
Sous les applaudissements de l’assemblée, ils ont aussi menacé ces groupes féministes de création de groupes masculins non-mixte.
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