L’oligarchie dispose de deux armes pour réduire la liberté d’expression : l’accusation de fascisme, qui sert pour les médias, et l’accusation de secte, qui sert pour la justice.
La première est utilisée massivement dans les médias mainstream pour maintenir le grand public dans un enclos mental qui permet à l’oligarchie de continuer à dominer, exploiter et punir.
La seconde est utilisée pour transformer une personnalité ou un collectif de résistance en entreprise de soumission mentale, et parfois physique. Il est alors loisible de condamner les dérives sectaires, qui ne sont telles que par rapport à un ordre donné, celui qui assure à l’oligarchie sa domination.
Or, par une inversion accusatoire que toutes les personnes lucides connaissent, c’est l’oligarchie qui fonctionne de manière sectaire, avec une dérive permanente par rapport à la démocratie et aux valeurs proclamées de la République, qu’elle viole structurellement.
Elle incarne aussi objectivement le fascisme d’aujourd’hui, avec son monopole de la vérité et de la violence. Le pouvoir exécutif du Président correspond au ministère de la Vérité, le pouvoir répressif de l’Intérieur à celui de la Violence.
Devant la tyrannie sanitaire établie par les gouvernements en lien avec les multinationales du Big Pharma et du Big Tech depuis 2020, ceux qui ont tenté de résister ont été qualifiés de terroristes ou de sectaires. Devant la défiance croissante de la population, qui refuse aujourd’hui massivement de se faire « vacciner », une loi, établie par la même coproduction politico-multinationale, cherche à interdire le refus de gober les médicaments et les pseudo-vaccins industriels. Le soin alternatif, l’automédication et l’indépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique sont évidemment visés derrière cette loi.
Un homme symbolise la reprise en main de sa santé au détriment du Big Pharma, c’est Thierry Casasnovas. Persécuté depuis le début du covidisme pour avoir tenu un discours libre qui ne cadrait pas avec le Nouvel Ordre sanitaire, il fait aujourd’hui l’objet d’une attention toute particulière du ministère de la Violence.
La presse, qui a perdu toute indépendance et toute crédibilité, appuie la violence gouvernementale par une désinformation permanente, qui la mène pourtant à la faillite. C’est pourquoi résister, même quand on a l’air de perdre, est si important : toute résistance affaiblit le Système médiatico-politique, la violence croissante de ce dernier en est la preuve.
Un Système accepté par tous, c’est-à-dire solide, n’a pas besoin de la violence pour se maintenir. La violence est donc consubstantielle à la fragilité d’un Système. Depuis les Gilets jaunes, le macronisme, cette extension politique de la Banque, a montré toute sa faiblesse. Un jour, pour se maintenir, devra-t-il tuer des Français ?
J'entends dire que l'article 4 de la loi sur les dérives sectaires est un article « anti Casanovas ».
C'est donc un article visant à criminaliser mes partages vidéos depuis 2011 avec pour but de me faire condamner.
Preuve donc que ce que j'ai fait depuis 2011 ne tombe pas sous…
— thierry casasnovas - RGNR (@thierrycas) February 15, 2024
Quand on écoute Brigitte Liso, on pourrait croire qu’elle parle des effets secondaires nocifs des faux vaccins Pfizer ou Moderna !
"Scandaleux" : la colère de @brigitte_liso après le refus de la plupart des groupes d'opposition de créer un délit spécifique pour punir l'incitation à abandonner un traitement médical. #DirectAN Récit et détails : https://t.co/ysHYDdqddM pic.twitter.com/PPHuXLUrQj
— LCP (@LCP) February 14, 2024
Cette désinformation manifeste n’est que le fruit de la corruption du politique. Brigitte Liso, avant d’être élue député Renaissance, a été visiteuse médicale – un bel euphémisme – au service du groupe GlaxoSmithKline. C’est tout naturellement qu’elle prend la tête de la défense cachée des intérêts du Big Pharma.
.@brigitte_liso présente l'amendement de rétablissement de l'article 4, au travers d'"une nouvelle rédaction des nouveaux délits de provocation à l'abandon ou à l'abstention de soins et à l'adoption de pratiques qui exposent la personne à un risque grave pour sa santé". #DirectAN pic.twitter.com/Hk2EFGseAX
— LCP (@LCP) February 14, 2024
Pour info, le fameux article 4 avait été en première instance rejeté par la majorité des députés présents. Yahoo ! actualités écrit :
Mais la veille, son rejet par 116 voix contre 108 avait suscité la colère du monde médical. « Prime est donnée aux charlatans », « une union sacrée protégeant ainsi charlatans et gourous allant du groupe LFI et RN en passant par LR », « le lobbying anti science est très grand dans notre pays », s’insurgeait-ils contre les députés qui avaient voté pour la suppression de cet article 4.
Dans le détail, 88 députés RN, 35 Insoumis 24 Républicains, 2 Horizons, 3 GDR (Communistes), 2 LIOT, 2 non inscrits avaient voté pour la suppression de cet article, initié par la majorité. Le Sénat avait également voté contre cet article 4.
Heureusement pour le gouvernement et le Big Pharma, un nouveau vote a permis à l’article 4, légèrement remanié, de passer (en force).
« Le lobbying anti science est très grand dans notre pays », pleurnichent les députés soumis. Par « science » dans leur bouche, il faut évidemment comprendre Big Pharma.