C’est la bonne blague karmatique du jour. La Gaîté Lyrique est occupée depuis des mois par 200, 300, puis 400 migrants, qui dorment à même le sol. Ce que ces futurs chercheurs en ingénierie biologique ou nucléaire ignoraient, c’est que StreetPress, la métastase de la fondation Soros, a ses locaux dans l’immeuble.
« Nous levendiquons un logement poul tous, et la santé poul tous et le tlanspol poul tous ! »
Abou, mineur isolé de moins de 35 ans, nous explique sa lutte
contre le mauvais français
Mathieu Molard, celui qui fait en permanence la retape et la manche pour cette officine de délation liée à la Kommandantur, fait un nouvel appel au pognon. Car son média hautement nécessaire a dû déménager dans l’urgence. Ce qui est étrange, puisque les StreetPress sont censés être pro-migrants, pro-invasion, pro-submersion migratoire. Décidément, tout se retourne.
Le JDD nous apprend que la Ville de Paris a saisi la justice pour évacuer les migrants, mais rien ne se passe : on dirait que la police est paralysée. Et le Molard nous a fait de la peine :
« La nuit, la tension monte parfois entre les occupants », déplore ainsi Mathieu Mollard. Un incendie s’est même déclaré dans les sanitaires du théâtre, mettant en danger ses occupants. La Gaîté Lyrique n’a en effet pas été conçue pour loger les quelque 400 migrants qui s’y trouvent actuellement, dormant à même le sol. Pour StreetPress, cette situation difficile est due en partie aux forces « réactionnaires », qui déverseraient leur « propagande raciste ».
Oui, tout cela semble monté de toutes pièces par les fascistes, qui ont envoyé un bataillon entier de migrants à la Gaîté pour perturber StreetPress et les empêcher d’enquêter sur l’extrême droite. Ça se tient, hein, la logique gauchiste. Mis à la rue par des sans-papiers et sans-domicile venus d’Afrique, les potes du Molard ont heureusement trouvé un refuge, mais ça leur a coûté « des milliers d’euros ». L’extrême droite, c’est vraiment des fachos.
La photo de une est tirée de Kombini,pardon, Konbini, qui a interrogé avec une complaisance confraternelle ce petit agent de la Kommandantur.
Cela tombe bien, on a un petit cadeau pour Konbini.
De quoi le média @KonbiniFr est-il fait ? pic.twitter.com/9PBO4BsVjK
— Faits & Documents (@faitsetdocs) March 4, 2025
Ça alors, tous ces petits donneurs de leçons sont liés à des puissances financières ! Moralement, c’est assez embêtant, Mathieu. Comment ensuite oser demander de l’argent à des étudiants (le public probable de StreetPress), qui sont déjà dans la panade, surtout quand ils sont de gauche, alors qu’on tapine pour Soros ?
Merci à Konbini et StreetPress de nous répondre sous 24 heures, sinon on va encore croire à un complot.