Comme ce fut le cas avec bien des événements liés au « terrorisme » depuis le 11 Septembre, la version officielle des attentats de Boston se révèle être un tissu de mensonge alors que des faits importants voient le jour. Il s’avère que le FBI a menti à propos de sa connaissance des deux suspects, Tamerlan et Dzhokhar Tsarnaev, lesquels sont déjà présentés comme coupables, non seulement par les médias de masse, mais aussi par le président étasunien.
[...] On ignore ce qui s’est réellement passé à Boston et qui a perpétré les attaques même si les médias mainstream rapportent que Dzhokhar Tsarnaev a admis sa culpabilité. Nous sommes certains cependant que la version officielle des attentats de Boston est truffée de mensonges et que depuis le 11 Septembre et dans le contexte de la fallacieuse « guerre au terrorisme », les gouvernements, les agences de renseignement et les médias dominants occidentaux ont prouvé qu’ils n’étaient pas des sources d’information fiables en ce qui a trait aux présumés « attaques terroristes » et « complots déjoués ».
La complicité du Canada dans la guerre au terrorisme
Trois jours après le confinement de Boston, envahie par un appareil militaro-policier dans une « chasse au teenager » surréelle, la Gendarmerie royale du Canada (GRC) a fait une annonce à point nommé : elle avait – selon ses dires – déjoué un complot terroriste ciblant un train de passagers Via Rail.
Lors d’une absurde conférence de presse où trois officiers de la GRC répondaient à maintes reprises qu’ils ne pouvaient « commenter parce que l’enquête est en cours », la seule information qu’ils semblaient impatient de révéler était que les suspects avaient reçu « des directives d’Al-Qaïda en Iran ».
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