- L’ultradroite m’a tuer !
(Photo prise sous l’Arc de Triomphe)
Pendant que les Français manifestent pour leur survie économique et sociale, les policiers et les antifas cassent sur ordre. Mais cette écume manipulatoire ne tiendra pas : la lame de fond est trop forte. Une digue a cédé !
« On est beaucoup plus nombreux que ce qu’ils veulent dire dans les grands médias type BFM, CNews, enfin i>Télé tout ça.
On est beaucoup plus nombreux : là ce qu’il faut savoir c’est qu’on est bloqués sur l’arc-de-Triomphe, tous ceux qui sont arrivés plus tôt ils sont sur l’Arc de Triomphe, et on est cernés par les CRS et beaucoup de Gilets jaunes sont bloquées sur les grandes artères qui mènent sur la place de l’Étoile. On est beaucoup plus nombreux que ce qu’ils veulent faire croire !
Et là on est totalement pacifistes, pas un casseur, ça ne fait que gazer et canons à eau depuis ce matin ! On est libres de rien, la police est une milice privée à la solde du gouvernement, tout simplement ! »
« Macron-Attali, ils veulent la guerre civile ! »
Les Gilets jaunes eux-mêmes ne sont pas dupes des pièges oligarchiques et dénoncent l’axe entre le pouvoir profond et le pouvoir visible :
Si le couple Philippe-Macron (par ordre de popularité) ne peut plus retenir le mouvement, il essaye de le casser. Mais ses tentatives de contrôle via de faux Gilets jaunes ou via la presse qui a crié au complot d’« ultradroite » ont fait chou blanc : la lame de fond perdure et ne sera pas confondue avec la police politique infiltrée et les antifas présents – c’est la même chose – qui cassent pour la galerie, pour le 20 Heures. pour effrayer le peuple qui hésite à s’engager, à suivre le mouvement. C’est pas l’envie qui manque !
Petite analyse sur les violences attribuées aux Gilets jaunes, qui permettent à un pouvoir en panique de montrer à tout le pays que toute révolution ne peut que finir dans la casse et le sang. L’ordre bourgeois macronien doit régner !
Les propos orduriers des ministres de la République dans cet excellent résumé ne seront pas oubliés. Toutes les paroles resteront, et ils en répondront tôt ou tard, pacifiquement bien entendu. On pense aux prochaines échéances électorales, où le peuple va littéralement se venger de toute cette violence oligarchique, médiatique et policière. Il faudra que les policiers choisissent aussi leur camp.
En attendant que tout cela décante, on remarque qu’un Dieudonné peut se balader tranquillement dans les rues jaunies, sans aucune crainte, malgré ce que notre justice aux ordres a décrété : le dangereux humoriste qui n’est plus un humoriste génèrerait partout où il passe un « trouble à l’ordre public ». Inversion accusatoire, quand tu nous tiens...
C’est pas Macron qui pourrait se balader en toute quiétude dans les rues de France aujourd’hui !
Et encore moins BHL, qui a pondu une rimbambelle de tweets qui resteront dans l’histoire de la déconnexion délirante :
« On a été gazés », répètent, en boucle, sur toutes les chaînes, les #GiletsJaunes... Savent-ils ce que « gazé » veut dire ?
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 1 décembre 2018
Face à l’infamie de ce qui se commet, aujourd’hui, en leur nom, les #GiletsJaunes ont une chose à faire et une seule : s’en désolidariser collectivement, massivement, sur tous les réseaux sociaux et dans toutes leurs prises de parole. Le reste est, pour l’heure, sans importance.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 1 décembre 2018
Les forces de l’ordre défendent les symboles de la République. Mais Mélenchon, lui, s’en prend aux forces de l’ordre. Honte à lui. #GiletsJaunes #GiletsBruns #GiletsRouges #Mélenchon
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 1 décembre 2018
#GiletsJaunes, #GiletsBruns et #GiletsRouges se rassemblant autour de la tombe du Soldat Inconnu : odieuse scène de profanation républicaine.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 1 décembre 2018
On dirait qu’en haut lieu, la panique gagne !