A la porte de la Chapelle, Paris 18e, en bordure d’un boulevard de ceinture, des immeubles destinés à l’origine à abriter bureaux et bobos ont été construits près d’un projet de gare de marchandises, en soi estimable
Flambant neufs, les locaux n’ont semble-t-il pas été loués au prix souhaité. Les prix ont donc baissé. Cependant, ces logements ne semblent pas avoir attiré le chaland, le quartier étant carrément envahi de migrants, assez proche de l’ancienne colline du crack, dispersée ailleurs en ville ou en Ile de France, pour l’occasion.
En me promenant dans le secteur, j’ai pu constater que, au moins dans une de ces tours en excellent état, tous les logements ou presque étaient occupés par des gens du sud global, avec des noms arabes en général. sur les boîtes aux lettres. Quelques noms à consonance française quand même. Gardiennage efficace, l’ordre semble y régner. Dans le secteur, ne circulent que des personnes au teint foncé. Les équipements les concernant : salles de sport, associations d’aide aux oiseaux migrateurs, etc. montrent des visages plus foncés que ceux des naturels du pays, uniquement. Les "espaces verts", petits squares très peu verts, garnis de quelques arbustes et de grandes allées vides, sont annoncés par des pancartes : "ne pas jeter de déchets qui attirent les rats".
Il y a aussi une gare de marchandises supposée, interdite d’accès au public, gardée par des personnes au teint foncé.
Voilà quelques faits constatés avec les yeux et les pieds.
Cet immeuble est très proche d’une préfecture bien connue des "demandeurs d’asile".