Lorsqu’il a publié son célèbre ouvrage Le printemps des sayanim, Jacob Cohen fit prendre conscience à l’Occident encore chrétien de deux choses par trop négligées depuis la création de l’état d’Israël :
Un entrisme proprement sioniste dans la franc-maçonnerie où, la présence juive était dès l’origine très largement répandue, notamment au Grand Orient (et ce, indépendamment du B’nai Brith…)
L’existence d’un recrutement actif par le Mossad d’une véritable « cinquième colonne sioniste » en Occident faisant de tout juif de sensibilité sioniste, approché et convaincu, un informateur du Mossad, voire un agent dormant (sayan) au service d’Israël !
Ces aspects sont également évoqués par Gilad Atzmon dans son ouvrage Quel Juif errant ?.
Certes, les opérations du Mossad n’avaient pas toujours été couronnées de succès et certaines de ses méthodes se sont avérées dès l’origine pour le moins contre-productives, comme dans le cas de la célèbre affaire Lavon, en Égypte, montée contre le régime émergeant de Nasser peu de temps après l’indépendance d’Israël, qui se conclut par le retentissant fiasco de l’opération « Susannah ».
Ce fut le prélude aux grandes manœuvres devant initier la désastreuse affaire de Suez où l’Occident commença à pratiquer une activité, alors nouvelle pour lui, mais qui aller compter un nombre inattendu de participants à travers toutes les chancelleries : jouer à être l’idiot utile du sionisme !
Par la suite, en France, le militantisme pro-sioniste allait devenir institutionnel au CRIF…
On ne s’étonnera donc pas aujourd’hui de voir Europe-Israël, blog franco-israélien de propagande sioniste en France, relayer froidement cette information de Israël-Info : Tsahal lance, hors frontières, une campagne de recrutement d’informaticiens de haut niveau !
Information fièrement titrée : « Israël recrute des cybers guerriers juifs en diaspora
Et relatée ainsi (en copier/coller, fautes incluses) :
« Un nouveau programme de recrutement de jeunes juifs étrangers désirant servir dans les unités Cyber et au sein de la direction informatique de Tsahal. Ce programme de recrutement a été baptisé Lotam (guerrier implacable).
Ces derniers jours, l’armée Israélienne a lancé une campagne de recrutement aux Etats-Unis afin d’attirer des recrues potentielles.
En mai, l’armée devrait organiser un premier séminaire d’orientation pour ceux qui auront décidé de participer au programme.
Lors du séminaire, les recrues potentielles seront soumises à des tests, ceux qui réussiront les tests seront invités en Israël cet été.
Pendant six mois, ils participeront à un programme « Masa » qui combinera l’apprentissage sur Israël ainsi qu’un apprentissage technologique enseigné par des officiers de la Direction Informatique de Tsahal.
En Mars 2018, les recrues s’enrôleront et seront affectées à des tâches en fonction de leurs capacités.
Les plus qualifiées seront affectées dans les unités de Cyberdéfense.
Les responsables de Tsahal ont souligné que la première tranche du programme expérimental « Lotam » sera composée de 30 recrues en provenance des États-Unis mais en cas de succès, le programme sera étendu à d’autres pays. »
(sic !)
Sans surprise l’exemple viendra donc des États-Unis où après « Big Brother », hérité de l’anglo-indien George Orwell, les Étasuniens nous avaient offert à travers « Big Apple » les premiers systèmes et algorithmes de surveillance et de veille informatique…
Le marketing sioniste aidant, voici maintenant surgir « Big Sabra ».
Pas sûr qu’il ne soit totalement indigeste !
Mais nous sommes prévenus : demain tout ressortissant de la communauté, partout dans le monde sera susceptible de se retrouver détenteur d’une technologie informatique de pointe en matière de détection et de fichage, au service des autorités israéliennes…
Le printemps des cyber-sayanim donc !
À nous d’agir en conséquence !
Certains d’ailleurs se flattent déjà de la stigmatisation possible – grâce aux « hackers » – des récalcitrants à la domination des nouveaux maîtres, désignés aussitôt à la vindictes des milices en place et des nervis divers dévoués à leur cause !
L’article qui suit est particulièrement significatif de cet état de chose et représentatif de la complicité honteuse des dirigeants de notre pays qui encouragent, au moins par leur laxisme sinon par leur bienveillance, le développement de la terreur communautariste.
(Comme toujours nous respectons scrupuleusement le texte en copier/coller, fautes incluses)
« Refusant de respecter la loi,
l’antisémite Jean-Claude Lefort voit ses coordonnées publiées sur la toile ! »
Il y a quelques jours, la Brigade Juive publiait un ultimatum simple à ceux qui font la promotion du boycott raciste de l’Etat juif :
« Ou bien vous laissez les juifs faire leurs courses tranquilles, ou bien nous publierons les listes de vos militants. »
En d’autres termes : « soit vous arrêtez d’aller manifester pour le boycott des produits fabriqués par des juifs israéliens… Soit nous vous dénonceront ! »
A cet ultimatum, les fachos de BDS ont rigolé.
Maintenant que les listes sont en ligne, ces mêmes nazillons ce plaignent :…/…
Voilà qui n’est pas du goût de la Brigade Juive. Et pour se venger, elle publie des informations privées (comme les numéros de téléphone) concernant Jean-Claude Lefort, sa fille Elsa, et son gendre – l’archi-terroriste Salah Hamouri.
Suit la liste des personnes concernées avec leurs coordonnées téléphoniques…
Or un site internet avait déjà été créé par le hacker Ulcan, nostalgique de l’heureux temps des dénonciations et des liquidations « anti-juives » pratiquées par les tueurs de l’Irgoun et du groupe Stern.
Il avait lancé une grande campagne de dénonciation des « antisémites » sur un site où chacun pouvait venir cracher sa haine du goy en y dénonçant des « actes antisémites » avec les noms et coordonnées des « auteurs » supposés.
Pompeusement baptisé « annuaire des antisémites », ce site a tout de même été aussitôt interdit sous cette forme par les autorités, et ses listes effacées ! (Aujourd’hui son nom de domaine est à vendre pour 1 495 $ !)
On imagine sans peine le niveau que cette inquisition pourra atteindre demain avec un réseau international structuré par Tsahal et aux ordres du Mossad…