C’est logique : la liberté de parole sur les réseaux sociaux énerve au plus haut point non seulement les tenants du pouvoir profond (les forces occultes qui ne sont pas en première ligne) mais aussi leurs larbins, ceux qu’on voit tous les jours à la télé, et que les Français abhorrent.

Sachez que le dernier baromètre en date donne Macron à 11 % de popularité. On en revient à 2017 où le type ne devait pas voler plus haut, en termes de voix. Mais une poussée magique de dernière minute le hissera en première place au premier tour, la magie de l’élection présidentielle...

Ceci étant dit, passons à 2025. Depuis que les médias mainstream se sont effondrés, et qu’ils ont été maintenus sous perfusion par le pouvoir visible, qui leur refile deux milliards par an (et là on ne parle que de la presse servile, pas du service public audiovisuel, qui nous coûte quatre milliards d’euros chaque année pour défendre les narratifs indigestes ou dangereux du pouvoir), les réseaux sociaux ont explosé, à la fois quantitativement et qualitativement.

Ce n’est pas parce que des rigolos et des zigotos croisent des gens sérieux sur X, YouTube ou TikTok qu’il faut les confondre. Mais c’est ce que fait le pouvoir pour décrédibiliser la contre-information sérieuse. Comme ils ont les moyens de la répression quadricéphale (économique, juridique, policière et médiatique), ils peuvent empêcher les gens de s’exprimer librement, c’est-à-dire de critiquer les voleurs et les menteurs qui servent de dirigeants. Et qui travaillent objectivement pour la Banque (c’est-à-dire la dette, ou l’usure), les très grandes entreprises et l’oligarchie euromondialiste. Sans oublier les lobbies qui sous-tendent les gouvernements successifs, dont la qualité diminue mandat après mandat. C’est marrant, ces gens-là ne produisent que de l’effondrement, même chez eux !

La guerre contre l’information libre, 25 ans après l’avènement du Net en France, est donc déclarée. C’est officiel : c’est dans la bouche du Président et de ses perroquets. On commence par le numéro un, et on passe à la n-1.

« La liberté d’expression, ce n’est pas la fausse information, la rumeur, le complotisme. »

C’est une guerre asymétrique, parce que les gens libres n’ont pas de pouvoir, une guerre de vitesse aussi, car le programme 2030 (en cours) s’accélère. Ils veulent la guerre, nous voulons la paix ; ils veulent le chômage, nous voulons le travail ; ils veulent le chaos, nous voulons l’harmonie. C’est bien, les choses sont claires. Les spectateurs de ce conflit, comme dans tout grand conflit, seront bientôt obligés de se déterminer, et d’entrer dans la danse. Car le mouvement de l’histoire les y invitera.

En attendant, il faut profiter de la plus petite lucarne de liberté pour dire aux Français encore indécis, mais inquiets – et il y a de quoi ! –, de nous rejoindre, malgré notre réputation, une réputation fabriquée par les pires dirigeants que la France ait connus. Qui n’ont pas encore de sang sur les mains, mais cela ne saurait tarder. Quoique...

Résistance !