Les agents du pouvoir profond (PP ou P2, comme la loge du même nom) sont mis en avant dans les médias mainstream pour relayer la parole de la répression, de la censure et de la guerre, tout en appelant ça défense de la démocratie, ou de la république, au choix.

On remarque qu’il y a une fonction croissante entre l’insanité du discours et le niveau moral et intellectuel des exécutants des basses œuvres : plus le discours est mensonger ou déconnecté du réel, plus les agents envoyés en première ligne sont idiots, tordus ou tenus. Mais ça revient au même.

Par exemple, sur le masque, le pass sanitaire ou le vaccin, le P2 a envoyé au front des Marty, des Deray, des Mégarbane, qui voulaient piquer les enfants, jusqu’aux bébés. Derrière, il y avait des Fischer, des Hirsch et des Buzyn qui tenaient la laisse. Les agents sont aujourd’hui brûlés, les responsables en sécurité.

Même l’équipe de TPMP !, qui est là pour mettre de l’huile dans les rouages du pouvoir et faire le lien entre la France d’en haut et la France d’en bas, se braque contre la vaccination, à laquelle évidemment plus personne ne se soumet, à part l’incorrigible Gilles Merguez.

On retrouve exactement la même relation sur le dossier ukrainien : les employés du P2 envoyés sur le front médiatique pour défendre une hypothétique guerre contre la Russie sont, du fait même de l’inanité du projet, forcément idiots ou menteurs.

Dans le genre, Manuel Valls bat tous les records.

L’homme des années de sang (2015-2016), qui se faisait traiter d’assassin devant les familles niçoises martyrisées, qui se faisait gifler en public, et qui s’était fait probablement promettre la présidence par le P2 contre des opérations de terreur (Dieudonné & Soral, Daech) censées faire basculer l’opinion, est revenu de nulle part pour entrer dans la danse ukrainienne.

Ce faux socialiste détruit par une ambition dévorante a été la marionnette sanglante des ingénieurs sociaux du P2. Le résultat humain est catastrophique : les images parlent d’elles-mêmes.

Alors, des volontaires pour défendre l’indéfendable et finir comme Manuel ?