Le nombre d’actes sionistes dans les rues, sur les réseaux sociaux et dans nos médias a explosé ces dernières années. Ils ont littéralement été multipliés par mille.
Le phénomène date du début des années 2000, alors que l’entité israélienne a été confrontée à une seconde Intifada, que les organisations internationales ont condamné les massacres de Palestiniens, qu’un mouvement de boycott contre les produits israéliens des colonies s’est levé dans le monde bref, que l’image d’Israël est devenue (ou redevenue) définitivement négative. Le crédit d’image post-Seconde Guerre mondiale était épuisé.
Il fallait inventer une nouvelle persécution des juifs pour relancer la machine à mentir au monde et à générer de l’image positive dans l’opinion, tenir la presse mondiale ne suffisant plus. Cela se fera dans le principal pays où l’influence culturelle est supérieure à l’influence politico-économique : la France. La France deviendra le laboratoire du nouvel « antisémitisme », celui qui redonnera ses lettres de noblesse à la Souffrance juive.
Il aura fallu pour cela transformer le moindre acte, la moindre parole, la moindre pensée ayant un lien ténu avec l’antisémitisme, ou l’antisionisme, voire le non-sionisme [1] en crime contre l’humanité. Les médias de masse et la classe politique sous contrôle feront le job, avec réticence au départ, puis avec l’enthousiasme pervers des nouveaux convaincus de la soumission acceptée.
Aujourd’hui, 17 ans après un 11 Septembre qui permettra de criminaliser le monde musulman en général et les Palestiniens en particulier, dont le statut passera opportunément de celui de résistants à celui moins envié de « terroristes » – l’Amérique sous influence mettant leurs organisations de résistance sur la liste des organisations terroristes – la machine à antisémitiser le peuple de France fonctionne à plein régime et ce, paradoxalement, dans une France où les actes et paroles antisémites ont dramatiquement chuté, pardon, drastiquement chuté.
Le vrai terrorisme en France
Nous sommes bien en présence d’une ingénierie formidable qui consiste à sacraliser les Français de confession juive, enfin, plutôt la communauté juive organisée (qui a déjà dans l’Histoire sacrifié sa base à ses intérêts), à la mettre au-dessus des lois et à faire obéir un peuple terrorisé par la pire accusation qui puisse exister : l’antisémitisme. Qui a pourtant quasiment disparu.
Oui mais, il y a un mais : à forcer d’antisémitiser le peuple de France, ce dernier s’est rendu compte – il faudrait être complètement con ou totalement aveugle pour ne pas le voir – qui dominait, qui dirigeait les débats, les orientait, les concluait ou les refusait.
La France, ce pays des débats éternels, n’a plus le droit de discuter. La répression est là, féroce, et prend tous les visages : social, médiatique, juridique, économique…
Au fur et à mesure que les actes antisémites baissaient, les actes sionistes augmentaient. Et s’il y avait corrélation ? Et si la pression à l’antisémitisme sur les Français – cette fake news à l‘échelle d’un pays – servait à raffermir le pouvoir sioniste en France ?
Le Point, magazine peu suspect d’antisionisme (il héberge la fameuse chronique de BHL dans ses pages), a repris les statistiques officielles 2017 du ministère de l’Intérieur :
« Le bilan global de la place Beauvau fait état de 950 actes racistes, antisémites et antimusulmans en 2017, contre 1 128 en 2016, soit un repli de 16 %. Dans le détail, les actes antimusulmans connaissent la plus forte baisse (- 34,5 %, avec 121 faits) devant les actes racistes (- 14,8 %, avec 518 faits) et les actes antisémites (- 7,2 % avec 311 faits). »
Le paragraphe qui suit frise le délire, il heurte la logique, surtout dans un pays de 66 millions d’habitants :
« “Cette baisse globale ne doit cependant pas masquer l’augmentation des faits [...] d’actions violentes”, celles qui obligent policiers et gendarmes à intervenir, souligne le ministère de l’Intérieur. La Place Beauvau s’inquiète notamment de la hausse “préoccupante” des actions violentes à caractère antisémite, passées de 77 en 2016 à 97 en 2017. Le Premier ministre Édouard Philippe a dénoncé mercredi “une nouvelle forme d’antisémitisme violente et brutale”, deux jours après l’agression d’un garçon de 8 ans portant une kippa à Sarcelles (Val-d’Oise). Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a de son côté reconnu “constater” une “reprise d’actes antisémites particulièrement forts” depuis le début de l’année. “Toutes ces actions constituent de véritables insultes à la République, qu’il nous faut sanctionner et continuer de combattre sans relâche”, observe le ministère dans son communiqué. »
Traduire « République » par « pouvoir sioniste » pour une meilleure compréhension.
Condamnation éternelle de la France
Il ne resterait qu’un seul croche-pattes sur un collégien à kippa, que la France serait encore considérée comme un pays « fasciste », « nazi », « pétainiste », « nationaliste », choisissez le qualificatif infamant que vous voulez.
Où l’on comprend que la répression sioniste d’État (l’État français dont la classe dirigeante corrompue sert les intérêts de ce même lobby) n’a plus rien à voir avec un antisémitisme qui est de plus en plus fantasmé, et à dessein : 311 faits (actes ET menaces) sur une population de 600 000 Français de confession juive, cela donne moins de 0.05% de personnes touchées en raison de leur religion.
On se demande alors où passent les 100 millions d’euros de la DILCRAH... à part pour neutraliser toute forme de résistance au mondialisme.