Si un mot peut résumer cinq ans de macronisme, c’est transition.
Transition dans tous les sens du terme : transition économique, d’une économie disons mixte à une économie 100 % néolibérale ; transition numérique, c’est-à-dire dématérialisation à tous les étages, on l’a vu avec l’école et le travail à la maison, cette expérience de laboratoire du confinement, cette folie, tout un peuple emprisonné chez lui ; transition de l’État lui-même, qui sous-traite de plus en plus de prérogatives à des entités privées (Kinsey), qui perd sa graisse mais aussi ses muscles à vitesse grand V ; et enfin transition sexuelle avec cet encouragement LGBTiste à changer de sexe dès qu’on se sent mal dans sa peau, ce qui est le cas de 99 % des jeunes.
Et n’oublions pas la transition énergétique, ce passage des énergies fossiles aux énergies vertes, celles du vent, du soleil, soit pas grand-chose si l’on exclut la fusion et la fission de l’atome, ce qui était une expertise française (avec un peu de Westinghouse, tout de même).
Depuis peu, le transitionniste en chef nous vend la « transition démographique » :
Macron nous explique que répartir les migrants dans nos campagnes est une « formidable opportunité » dans le cadre de la « transition démographique » des prochaines années : tout est dit ! #GrandRemplacement pic.twitter.com/a2Ly9YuhCe
— Gilbert Collard (@GilbertCollard) September 20, 2022
Ce qu’il faut comprendre, c’est que cette élite qui a mis la main sur l’État avec la complicité des médias et des grands groupes économiques, sans oublier les forces occultes déguisées en démocratie, des groupes de pression qui n’ont théoriquement pas mandat à faire ce qu’ils font (et défont surtout), ne veut pas détruire la France, elle veut la changer, la transitionner. Lui changer son sexe, sa nature, sa vocation.
C’est pourquoi toutes les transitions pré-citées tiennent ensemble, car elles ont la même racine, cette volonté de couper les couilles du pays pour en faire une première putain de l’Empire, on n’a pas trouvé d’autre mot. Pourtant, aujourd’hui, avec la résistance d’une Chine et d’une Russie qui ont relevé la tête en 20 ans, même en transitionnant la France, l’Empire ne gagnera pas facilement. La France est un symbole, celui de la liberté, c’est pourquoi elle doit être mise au pas. Mais progressivement, comme un homme qui devient une femme, enfin, ce qui ressemble de loin à une femme, à coups d’opérations chirurgicales et de shoots d’hormones.
Sous l’égide de Macron, la France libre est en train de devenir l’esclave de toutes les forces les plus malignes, au vrai sens du terme, intérieures et extérieures. Elles travaillent en termites contre la France, et on peut le constater tous les jours, quand on voit par exemple « notre » production culturelle officielle.
Ce mur de l’escroc Buren est parfait pour la démonstration : c’est censé être de l’art, ce sont les murs d’une prison. Macron est censé être le président de tous les Français, il est le larbin de l’Empire placé là pour transitionner la France, lui ôter tout ce qu’elle a de profondément français. On dira qu’il s’agit d’une défrancisation. Notre-Dame a failli périr pour cela.
Les annonces de Macron en novembre 2018 sur la transition écologique
La transition administrative
La transition sexuelle des jeunes macronistes vue par Élisabeth Lévy
Les psychopathes en marchent : "la stratégie diabolique de macron pour gagner les présidentielles" (reportage tourné en 2016 et diffusé sur France 3 au lendemain du second tour de l'élection présidentielle, en mai 2017) pic.twitter.com/6dskybukNx
— P. (@Vpauline006) September 12, 2022