Interrogé par la radio suisse RTS sur son travail et son positionnement politique, le dessinateur Marsault refuse de renier et Soral et Dieudonné. Pour cela, il a été viré du journal Zélium qui propose l’actualité en dessins et en bandes dessinées.
La partie de l’entretien qui concerne Soral, E&R et Dieudonné se trouve de 11’06 à 13’26.
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Pour un seul dessin repris par le site E&R qui n’a pas révolté le dessinateur, Marsault a été considéré comme un « facho » par l’équipe de Zélium qui applique il est vrai à la perfection le vieux catéchisme de gauche. La preuve par la soirée et le discours très MJC des représentants du journal :
Et comme tout le monde sait très bien à gauche qu’un petit dessin vaut mieux qu’un long discours, voici une affiche parlante à tous points de vue :
Un concentré d’idéologie poussiéreuse qui n’a pas changé d’un iota depuis 50 ans. Au moins à Hara Kiri, il y avait du talent, de la créativité, de l’audace ! Chez Zélium l’ennemi c’est le beauf, le facho (les skinheads sont une espèce en voie de disparition en France mais un ennemi fantasmatique permet à cette gauche antifasciste de croire à sa propre utilité), le catho, bref le fascisme sous toutes ses formes... Tout y est « anti », rien n’est positif, on ne propose rien, ne construit rien, c’est l’application bête et méchante du « cordon sanitaire » établi par le CRIF et ses obligés socialistes dans les années 80.
Un dessinateur comme Marsault qui est sorti de cette idéologie aussi poussiéreuse que fausse ne peut qu’être pris pour un ennemi de la « cause ». Et pendant que Marsault vend ses albums comme des petits pains, les dessinateurs de Zélium font la manche. Une sorte de justice immanente qui devrait mettre la puce à l’oreille de ces tristes curetons de gauche. Il ne leur manque plus que Philippe Val pour aller au bout de leur logique...