Dans son billet matinal sur France Inter, l’humoriste Daniel Morin, spécialiste du jeu de mots (de gauche), ironise sur la France « Front national », en enfilant tous les clichés possibles sur l’extrême droite vichyste, en empruntant une voix très« actualités 1940 ».
Pauvre Morin, en retard d’une guerre, comme tous les faux résistants de la confortable gauche de service public, qui conspue l’occupant d’il y a 75 ans – une prise de risque insensée – et qui ne voit pas l’occupant d’aujourd’hui. À la fin de son billet, aussi peu drôle que ceux de François Morel (on imagine le fayot maison – de la radio – préparer sa chronique en gueulant sa rage suite aux résultats de la veille), il passe le micro à Patrick Liste Noire Cohen. Si ça c’est pas de l’aveuglement, c’est quoi ? Ah, de la lâcheté.
Daniel Morin tente de sauver la France... Inter :
En d’autres temps, le 28 septembre 1982, Luis Rego avait, avec le talent de Charlot qu’on lui connaît, dans l’émission Le Tribunal des flagrants délires, ironisé en présence de Jean-Marie Le Pen, très amusé, sur « la journée d’un fasciste ».
Luis Rego, qui fait rire Jean-Marie Le Pen (non flouté sur cette vidéo) :