Voilà où passe notre fric, celui que nous produisons chaque jour en travaillant. Notre plus-value est là, dans la portion de camembert rouge. Georges Marchais avait à moitié raison lorsqu’il éructait que « l’argent, il faut le prendre là où il est ». Il ne pensait évidemment pas à Moscou, mais au centre du capitalisme financier. Or le capitalisme financier n’a pas de centre, ou plutôt il en a plein : Wall Street, la City, Francfort, Tel Aviv…
Du coup, le projet communiste de partage de la valeur est assez compliqué à réaliser. On chope les banksters, OK, mais une fois entre nos mains, on en fait quoi ? De la pâtée pour chats, des prisonniers, du ballast, des conseillers d’un nouveau gouvernement populaire ? Et que fait-on des forces de l’ordre payées par nos soins pour protéger l’élite qui vit sur notre dos ?
On les met dans notre poche, comme dans toute révolution réussie.
Les banksters peuvent, on le sait, compter sur les pilotes de l’Opinion dispensateurs du Grand Mensonge, grassement payés pour culpabiliser le peuple et dégager ses revendications légitimes en corner. BFM –Trahi–TV n’est que la caricature de cet intermédiaire entre l’élite et le peuple qui trompe en permanence l’intérêt commun pour servir des intérêts très privés, justement ceux du capitalisme financier.
Les médias préféreront mourir avec l’élite plutôt que de servir le peuple.
Le problème, c’est que ces intermédiaires doivent mentir de plus en plus pour tenir le peuple en respect, noyer sa lucidité dans l’encre noire de la pieuvre mondialiste (expression limite, NDLR), et le diviser du matin au soir en réactivant les pseudo-différences : hommes/femmes, homos/hétéros, riches/pauvres, Français/étrangers, desouche/immigrés, chrétiens/musulmans, juifs/goyim, travailleurs/chômeurs, privé/public, gauche/droite…
Contre cette attaque placée, une seule solution : la convergence des oppositions artificielles !
Dans la sous-lutte « Noirs contre Blancs », cette opposition factice créée par le superpouvoir (l’oligarchie mondialiste qui donne ses ordres aux oligarchies nationales), il s’agit d’exacerber la souffrance noire passée pour rabattre le caquet du petit Blanc, ramené à l’état de colonisateur cruel. Or les colonisateurs cruels du jour sont les Israéliens, et tout ce ramdam sert à camoufler leurs exactions et leurs crimes contre l’humanité.
Il faudrait que les membres de la Ligue de Défense Noire se réveillent à ce sujet.
Vous verrez donc ça dans la presse...
Mais jamais ça.
Pourtant, quelques isolats humains résistent à ce bombardement de fake news destinées à cacher la vérité crue, comme le maire de Bezons qui vient d’inaugurer une allée « Nakba », du nom de la catastrophe qui s’est abattue sur les Palestiniens en 1947, qui ont été massacrés et déportés. Heureusement, les instances juives veillaient, comme l’écrit Le Parisien...
Comme punition, le SuperPouvoir envoie aux peuples récalcitrants qui refusent d’avaler leur bol de poison quotidien des vagues ininterrompues d’agents dénationalisateurs, ces soldats nu-pieds inconscients venus d’Afrique qui courent vers une vie meilleure bousiller celle qui a été érigée ici. En vérité, ils courent droit vers des batailles de rues contre les autochtones, qui prendront les armes un jour, le jour où le vase débordera. C’est donc les envoyer à la boucherie, car les Européens ne sont pas que douceur et tolérance.
Mais pour ça, il faudrait qu’ils ouvrent un de nos livres d’Histoire, un pas trop pourri par les idéologues pédophiles de l’Éducation nationale...
Ici c’est un autochtone de couleur blanche qui a voulu ramasser une grenade envoyée par les forces de l’ordre blanches, et sa main a été arrachée. Pour l’instant, la lutte sociale des pauvres sans uniforme contre les pauvres en uniforme – encore un conflit organisé et entretenu par la pointe du triangle – ne fait pas de morts, mais on ne voit pas, avec l’avancée foudroyante du libéralisme destructeur, comment il pourrait y échapper. Macron & Philippe, les deux Homo mondialicus, font le forcing pour transformer la France en putain de l’Empire, dit aussi AIA (axe israélo-américain), mais on prend le pari que les traîtres à la Nation ne seront pas gagnants. Et pourquoi ? Parce que l’Amour n’est pas de leur côté.
Et c’est toujours l’amour qui finit par triompher.
L’amour, c’est malheureusement un des nombreux euphémismes dans la bouche de ce diable de LICRA, qui donne ses ordres à l’exécutif français. Eux qui sont l’organe de répression numéro un en France contre les patriotes, les penseurs pluralistes et en gros tout ce qui n’est pas licratisé (ou licratisable), s’amalgament à Martin Luther King qui n’est évidemment pas là pour leur cracher à la gueule. Si Martin incarne l’Amour, alors la LICRA incarne la Haine, et inversement.
Dans tous les cas c’est pas du tout raccord !
Quelle meilleure façon de terminer ce tour du monde de la Haine et du Chaos avec sa représentante idéale, Caroline Charlie Fourest, la gouine sioniste figure de proue du Fascisme islamophobe. Il faut l’imaginer, devant le navire amiral du Mondialisme, fendre les eaux en insultant tout ce qui n’est pas LGBTo-siono-compatible. La BHLienne pose ici pour son film à venir dans le désert marocain en tenue de colon juif en territoire occupé.
Kadhafi avait ses amazones, Netanyahou a ses folles du désert...